Brest : le budget de la ville prévoit 160000 euros pour un édifice cultuel musulman !

Dans le budget 2013 de la ville de Brest qui doit être voté au cours du conseil municipal de mardi prochain, 160.000 € sont destinés à être versés à un « édifice cultuel musulman ». Brigitte Hu, élue du groupe « divers droite, s’interroge alors, dans un communiqué, sur la justification d’une telle subvention.

« La loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État énonce clairement l’impossibilité pour les communes de participer directement au financement des différents cultes religieux, précise-t-elle. Si la ville de Brest finance les travaux de rénovation de certaines églises, c’est en vertu de sa mission de propriétaire de ces mêmes locaux. Mais en vertu de quelle loi François Cuillandre a-t-il choisi d’attribuer, dans le budget 2013 de la ville, une subvention de 160.000 € sous l’intitulé « Travaux édifice cultuel musulman » ? S’agit-il d’un local privé appartenant à la communauté musulmane ou d’un local municipal mis à disposition. Dans ce dernier cas, quels types de travaux peuvent justifier l’octroi d’une somme aussi importante. »

Ce qui amène deux réflexions : d’une part, il nous apparaît bien peu efficace de s’attaquer uniquement aux symptômes du problème, c’est-à-dire à ses conséquence, sans vouloir considérer sa racine : l’immigration de masse et son incidence sur notre équilibre culturel. D’autre part, il nous semble que la stratégie qui consiste à invoquer la laïcité pour combattre l’islamisme est une erreur : car on aura vite fait de retourner l’argument contre nous en dénonçant le caractère ostentatoire de nos clochers et de nos calvaires. Or la France est chrétienne, historiquement depuis Clovis, culturellement comme en témoigne notre calendrier, et spirituellement : elle est la fille aînée de l’Église. La meilleure défense contre l’islamisation de la France, c’est donc l’affirmation sereine de son identité chrétienne.

Brest : l’imam fait du prosélytisme dans les écoles de la commune !

L’imam de Brest vient de solliciter la complicité des enseignants pour accroitre son prosélytisme auprès des enfants : profitant de la faiblesse de nos politiques, pris en otage par la culpabilisation dont ils sont menacés de faire l’objet s’ils adoptaient une attitude ferme face à l’islam conquérant, l’imam de Brest propose aux enseignant, dans une lettre datée du 19 janvier 2013, de faciliter aux enfants la découverte de l’islam en organisant une sortie pédagogique à la mosquée. Faciliter aux enfants la découverte de l’islam ? Eux qui ignorent la religion de leurs ancêtres, celle qui a façonné l’âme française dont ils sont pourtant les fils, celle qui a pourtant pénétré notre tissu social ainsi qu’en témoignent encore notre calendrier, nos clochers et nos calvaires…

 

Ironie du sort, Brest est précisément la ville dont le maire est à ce point respectueux de la laïcité qu’il a interdit le mot Épiphanie et la galette des rois dans les écoles de sa commune. Bête au point d’écarter une fête du calendrier qui, jusque là, structure toujours notre temps social. Bête au point de vouloir ignorer -du passé faisons table rase- que la religion chrétienne a imprégné notre histoire et notre mode de vie, puisque nous vivons l’année civile au rythme de ses fêtes. Bête jusqu’à vouloir écarter toute allusion à une culture, pourtant bien française, mais qui a le malheur d’avoir été modelée par la foi de ses pères. Nous sommes donc curieux de savoir comment ce maire va réagir à une telle intrusion du religieux dans l’école communale…

Jean de Rouen