Atrophies crâniennes et virus Zika : des médecins suspectent plutôt un insecticide !

« Des médecins argentins et brésiliens écartent le virus Zika dans l’apparition de graves malformations crâniennes chez les nouveaux-nés au Brésil. Et mettent en cause l’utilisation d’un insecticide fabriqué par un partenaire de Monsanto censé protéger de la dengue.

Le virus Zika ne serait pas à l’origine de la dramatique augmentation d’atrophies crâniennes et cérébrales des nouveaux-nés en Amérique du Sud. C’est ce qu’avance un groupe de chercheurs argentins, dans un rapport coordonné par le Dr Avila Vazquez, pédiatre spécialisé en néonatalogie, le 3 février dernier. Pourtant, avec 1,5 million de personnes infectées en quelques mois, le Brésil avait lancé l’alerte en novembre dernier, incriminant le virus transmis par les moustiques dans l’apparition de graves malformations congénitales et de troubles neurologiques.

« La détection de milliers de cas de malformations congénitales chez des enfants dont les mères, enceintes, habitent dans des zones où le gouvernement brésilien a ajouté du pyriproxifène à l’eau potable, ne relève pas d’une coïncidence, bien que le ministère de la Santé mette en cause le virus Zika dans ces dommages », commentent les médecins. Le pyriproxyfene est un inhibiteur de croissance des larves de moustique, dont l’emploi est recommandé par l’OMS pour lutter contre la prolifération de la dengue.

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Le ménage à trois reconnu par la loi : l’exemple du Brésil montre qu’il ne s’agit pas de science fiction

Ainsi qu’il a déjà été analysé : si l’amour consenti entre « partenaires » est le critère exclusif auquel doit se référer un maire pour procéder à un mariage, si le mariage n’est plus dès lors défini que comme la reconnaissance d’un amour partagé, alors comment s’opposer demain à la polygamie, pourvue qu’elle soit librement consentie ? Puisqu’on vous dit qu’ils s’aiment ! Nous entendrons alors les même arguments que scandent aujourd’hui les promoteurs du « mariage » homosexuel : ce qui compte, c’est leur amour, donnons leur les mêmes droits !

Ce n’est pas de la science fiction, c’est juste un raisonnement par l’absurde qui manifeste les implications ridicules des principes sur lesquels se fondent les partisans du « mariage » homosexuel…

Et surtout, n’est pas de la science fiction, puisque cela a déjà eu cours… Au Brésil. Un an après le premier mariage civil entre deux homosexuels, le Brésil a célébré en mai dernier la première union entre trois personnes. Claudia do Nascimento Domingues, notaire de Tupa, à 430 km de São Paulo, a uni en effet un homme et deux femmes : »Ma fonction n’est pas de juger si cette situation est correcte ou pas« , a-t-elle déclaré à l’AFP, précisant que rien dans la loi brésilienne n’interdisait une telle union. « C’est quelque chose de nouveau, mais je ne l’aurais pas fait si la loi l’interdisait explicitement. »

Regina Beatriz Tavares da Silva, une avocate contactée par la BBC, juge cependant que c’est « quelque chose de complètement inacceptable qui va à l’encontre des valeurs brésiliennes et de la morale« .

Puisque ça se fait dans les autres pays, et que la France n’a pas le droit d’être en retard, il faudra bien que le débat arrive un jour jusqu’à nous…

Brésil : encore un prêtre homosexuel et pédophile

Un curé polonais de 44 ans, Marcin Strachanowski, faisant l’objet d’un mandat d’arrêt de la justice brésilienne pour pédophilie, s’est livré à la police de Rio de Janeiro, a-t-on appris lundi 24 mai de source policière.

Jeudi dernier, le tribunal de justice de l’Etat de Rio avait ordonné l’arrestation du curé, arguant qu’il avait transformé la maison paroissiale où il travaillait à Realengo (zone ouest) « en prison érotique ». Continuer la lecture de « Brésil : encore un prêtre homosexuel et pédophile »