« La charge mentale », ou quand les néo-féministes découvrent la responsabilité de la femme et la refusent

Extrait de la BD « Fallait demander », sur la « charge mentale » des femmes

Une tribune de Christine Dol :

« Tout faire » dans la maison et auprès des enfants est fatigant.
C’est pourquoi la femme a de plus en plus demandé l’aide de son conjoint pour accomplir certaines tâches domestiques.
Mais avoir un mari gentil et serviable ne suffirait pas selon certaines !
Car si les hommes s’investissent davantage au foyer, ils ne sont que des exécutants ; ce sont encore les femmes qui gardent, comme disent les féministes, « la charge mentale » du foyer, c’est-à-dire qui pensent, anticipent et organisent tous les besoins de chaque membre de la famille. Pour simplifier, cette « charge mentale » est, en fait, la responsabilité du bon fonctionnement au jour le jour de la maison. Même si la femme travaille à l’extérieur de celle-ci et fait appel à une femme de ménage et une nounou, l’organisation en amont lui revient, les préoccupations incessantes sont pour sa pomme.

La dessinatrice Emma a récemment mis en ligne la BD « Fallait demander », traitant de cette fameuse « charge mentale » ; cette publication a eu un immense succès sur internet et a le mérite -le seul ? – de mettre des mots sur les pressions que beaucoup de femmes ressentent.

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Quand l’idéologie homosexualiste instrumentalise Hergé…

Laurent Colonier, dessinateur de presse, sort ces jours-ci une nouvelle bande-dessinée aux éditions 12bis. Intitulée Georges et Tchang et sous-titrée Une histoire d’amour au vingtième siècle, cet album met en scène, à Bruxelles en 1934, deux personnages principaux : Hergé, créateur de Tinitin, et un jeune étudiant chinois, Tchang, fidèle ami de Tintin dans certaines de ses aventures.Et leur rencontre, sous la plume et le crayon de Laurent Colonier, scelle le début d’une histoire d’amour homosexuel…

Où l’on s’aperçoit que la propagande homosexualiste -car il s’agit bien ici d’une entreprise idéologique de banalisation de l’homosexualité- ne recule devant aucun moyen, pas même l’instrumentalisation de celui dont le coup de crayon a fait rêver plusieurs générations d’enfants, ennoblissant leurs sentiments et dessinant pour eux un idéal généreux et désintéressé…

Merci à A. Escada