Démocrature : Les députés adoptent un « délit d’entrave numérique »

La liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin et tous les domaines qui devraient être libres de discussion car non consensuels sont touchés. On sait que la recherche historique est très encadrée, et que simplement poser des questions gênantes (sans même esquisser de réponse) peut suffire pour être condamné par la loi Gayssot. En matière d’identité, formuler une simple remarque ou exprimer un sentiment de gêne face à l’invasion que la France subit peut vous faire condamner pour « incitation à la haine ». C’est désormais la dénonciation argumentée sur internet de l’assassinat des enfants à naître qui risque de mener à la prison.

En effet, les députés socialistes ont adopté une loi qui punira jusqu’à 2 ans de prison ferme et 30.000 € d’amende, quiconque, concernant l’avortement, n’aura pas relayé les bobards du planning familial, à savoir que tuer un bébé qu’une femme a dans son ventre est formidable (car le ventre de la femme lui appartient et elle est libre d’en faire ce qu’elle veut) et ne lui porte aucun cas de conscience. Qu’on en juge : Parmi les sites explicitement visés par cette loi, il y a celui-ci IVG.net, site dont on ne voit pas bien où il dit des mensonges ! La loi n’est pas encore en vigueur -elle doit également être adoptée par le sénat-, mais ne doutons pas qu’elle arrivera à être promulguée, d’autant que les députés de droite ont très mollement combattu ce nouvel affront à la liberté d’expression. En effet, parmi les députés seul le maire d’Orange, Jacques Bompard a opposé une vive résistance avec 53 amendements, d’autres s’y opposant plus mollement, tels M. Marechal Le Pen, J.F Poisson, et une poignée de députés « Les républicains ».

On notera que F. Fillon a brillé par son absence, bien qu’il soit député ! En fait, tout semble indiqué que, même élu président, il ne fera rien pour abroger la loi. Et c’est bien l’objectif des socialistes : Faire passer le maximum de leurs lois mortifères car ils savent que, même s’ils perdent les futures élections, leurs lois continueront à rester en vigueur car les nouveaux élus n’auront pas le courage de s’y attaquer. A l’alternance suivante, les socialistes, reprenant le flambeau, iront de nouveau plus loin, et c’est comme ça que le pays va de mal en pis, l’élection de la droite permettant -au mieux et pas toujours- un moratoire des mauvaises lois, moratoire interrompu quand la gauche accède de nouveau aux affaires.

Le seul moyen de s’en sortir serait de trouver un candidat qui abrogerait toutes ces lois (aussi bien les lois liberticides au niveau de la liberté d’expression que les lois sociétales telles la loi sur le mariage pour tous, la loi sur l’avortement etc, etc.) Mais force est de constater, hélas, qu’on n’en trouve pas, au moins parmi ceux qui ont des chances de l’emporter !

La liberté d’expression plus que jamais menacée

Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.

Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…

Le gouverneur démocrate de Virginie refuse l’enquête sur le Planning familial, de peur que l’avortement soit remis en question

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Quelques jours après la vidéo choc tournée en caméra cachée au planning familial américain, et dans laquelle la directrice de ce dernier reconnaît que son institution fait du trafic d’organes de foetus avortés, plusieurs parlementaires ont demandé une enquête.
Mais le gouverneur démocrate de Virginie, Terry McAuliffe, a refusé ces enquêtes.
Pourquoi ? Parce que cela donnerait du poids « aux attaques politiques sur l’accès des femmes aux services médicaux ».

Ce sinistre personnage révèle ici la pulsion de mort qui anime les défenseurs de l’avortement : plutôt cacher un trafic immonde plutôt que de se poser des questions sur la spirale infernale dans laquelle le vieux monde occidental s’est enfermé en se permettant de tuer des vies innocentes…
Qu’importe le découpage et la vente d’organes de bébés avortés, pourvu que personne ne se pose la moindre question.

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Vidéo : le Planning familial américain coupable de trafic d’organes de bébés avortés ?

The Center for Medical Progress a publié une vidéo, filmée en caméra cachée, dans laquelle le Dr Nucatola, directrice générale des services médicaux du Planning familial américain depuis 2009, reconnaît pratiquer des avortements par naissance partielle, une pratique totalement illégale, pour pouvoir prélever et vendre entre 30 et 100 $, des organes intacts de bébés avortés (le trafic d’organes est passible de 10 ans d’emprisonnement aux Etats-Unis et de 500 000 $ d’amende).

Jeanne Smits avait décrit il y a quelques années en quoi consiste un avortement par naissance partielle :

« Cette forme d’avortement, pratiquée à partir du 5e mois de grossesse, consiste à déclencher l’ouverture du col pendant deux jours, à faire naître partiellement l’enfant par le siège, puis à perforer sa tête par le bas du crâne et à aspirer son cerveau avant d’extraire totalement son corps de l’utérus. Le procédé répond à un double objectif : faciliter le passage de la tête, mais aussi s’assurer de la naissance d’un bébé mort. »

Tout au long de l’entretien filmé à son insu, le médecin parle d’avortements (où placer son forceps pour récupérer l’organe voulu, quelle partie écraser…) et de parties de corps de bébés à vendre tout en dégustant  sa salade – ses interlocuteurs se sont fait passer pour des acheteurs potentiels et lui ont fixé un rendez-vous au restaurant.

La vidéo, reprise par les sites pro-vie américains, commence à faire parler d’elle outre-atlantique et mériterait d’être entièrement traduite et sous-titrée en français. Avis aux amateurs. La voici, en anglais donc :

Source

Recherche : des jeunes filles payées pour avorter…

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Recherche morbide, relatée par le Dr Dickès dans Présent et relayée par le Salon Beige :

« L’ocytocine est une hormone produite par la posthypophyse. Elle sert depuis longtemps pour augmenter et régulariser les contractions durant l’accouchement. Etant un utéro-tonique, elle a pour effet de rétracter l’utérus après la naissance de l’enfant, donc éviter les saignements. Elle est utilisée quasiment systématiquement à chaque naissance. Or des chercheurs vicieux se demandent si cette action est retrouvée lors des avortements. Moyennant quoi l’Université d’Hawaï, en coordination avec celle de Washington, a décidé de recruter 166 jeunes filles de 14 ans acceptant de développer une grossesse jusqu’au deuxième trimestre. L’idée est de les faire avorter contre rétribution, afin de vérifier si l’ocytocine est capable d’empêcher les saignements dans le cadre de ce type d’interruption de grossesse.

C’est le gouvernement américain qui a décidé de diligenter et de payer une étude de cette nature. […] »

Hillary Clinton veut « changer » les « croyances religieuses » qui condamnent l’avortement

<> on April 15, 2011 in Berlin, Germany.

La prétendante à la candidature démocrate aux prochaines élections américaines en 2016, Hillary Clinton, n’a pas craint de s’en prendre directement à la foi – et notamment à celle des catholiques américains – en affirmant lors d’une conférence à New York qu’il « faut changer » les « croyances religieuses » qui condamnent les « droits reproductifs », des mots qui renvoient dans le vocabulaire de leurs promoteurs à l’avortement et à la contraception. Il s’agit bien de redéfinir les dogmes traditionnels.

Hillary Clinton s’exprimait lors du sommet de l’ONG féministeWomen in the World, jeudi dernier. « Oui, nous avons divisé le taux de mortalité maternelle par deux, mais bien trop de femmes se voient refuser l’accès – essentiel – à la santé reproductive », a-t-elle déclaré. Il y a un an, le président de la National Organization for Women américaine, Terry O’Neill, publiait une tribune dans le même sens, qualifiant l’avortement de « mesure essentielle pour prévenir le crève-cœur de la mortalité infantile »(sic).

C’est par la contrainte que Hillary Clinton veut voir les gouvernements agir en vue de redéfinir les dogmes religieux traditionnels, sous couvert de promouvoir une politique féministe : « C’est le grand chantier inachevé du XXIe siècle », dit-elle. Venant de la part d’une candidate à la présidence des Etats-Unis, ce n’est pas une déclaration à prendre à la légère.

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Idéologie du genre : et maintenant, l’avortement pour les hommes !

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On croit trop facilement avoir touché le fond… C’est dans le plus récent numéro du doyen des hebdomadaires des Etats-Unis, The Nation, fondé en 1865 pour combattre l’esclavage, que l’on peut trouver un article évoquant la revendication étrange qui demande que l’avortement ne soit plus présenté un droit des femmes. L’avortement, dit cette étonnante théorie, peut intéresser les hommes : les hommes transgenre par exemple, et encore des personnes qui ne se conforment pas à leur genre d’origine.

Pendant la plus grande partie de l’histoire, reconnaissent ses tenants, ce sont les femmes et les jeunes filles qui avortaient. « Plus maintenant. Les gens avortent. Ce sont des patients qui avortent. Il y a des hommes qui avortent. » Prétendre le contraire, c’est faire preuve de cissexisme : ce nouveau préjugé discriminatoire qui affecte les institutions et la société qui favorisent « les individus qui s’identient au genre qui leur a été assigné à la naissance (cisgenres), au détriment des individus s’identifiant à un genre autre que celui assigné à la naissance (trans) ».

Attention, ce n’est pas de la transphobie, concept bien trop étroit pour dénoncer les micro-agressions et l’invisibilité structurelle dont sont victimes les personnes trans, et qui se traduisent par les « privilèges » que se réserve la « majorité transgenre ». (Je cite, évidemment.)

Il est donc urgent de cesser de parler de la « guerre contre les femmes » menée par les opposants à l’avortement, assurent quelques féministes activistes.

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« 60 000 trisomiques au Maroc. Faut-il autoriser l’avortement ? »

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C’est le titre d’un article du journal marocain La Vie éco relevé par le Salon Beige qui montre bien tout le respect de la vie humaine que peuvent avoir aujourd’hui les journalistes, sans parler de leur ignorance de la trisomie… Pour expliquer la trisomie, le journaliste renvoie à un site dit « médical » avortement.comprendrechoisir.com au cas où le lecteur n’aurait pas bien compris le titre…

En France, 96% des porteurs de la trisomie 21 sont éliminés avant de naître.

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L’Ordre des médecins refuse la suppression de la clause de conscience pour l’avortement

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Il reste quelques personnes de bonne volonté et de bon sens dans ce pays, qui s’attachent à protéger la liberté dans des débats réellement importants…

Lundi, le Conseil national français de l’Ordre des médecins a annoncé qu’il s’opposait à la suppression de la clause de conscience relative à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).

Avortement : l’ordre des sages femmes demande le maintien de la clause de conscience

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La semaine dernière, la Délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale a remis un rapport d’information réclamant, entre autres demandes, la suppression de la clause de conscience pour l’IVG et l’autorisation donnée aux sages-femmes de pratiquer des IVG instrumentales (Cf. Synthèse Gènéthique du 19 février 2015).

Ce à quoi l’Ordre national des sages-femmes a répondu par communiqué de presse en date du vendredi 20 février 2015. Il rappelle que les sages femmes sont « prêtes à s’engager auprès des femmes en accompagnant leur grossesse, qu’elle qu’en soit l’issue » mais qu’« il est important de maintenir la clause de conscience spécifique à l’IVG ».

Sur la question de la suppression de la clause de conscience spécifique à l’avortement, Jean-Yves Nau rapporte les propos du Collège des gynécologues-obstétriciens français (CNGOF) : « Pour ce qui est de la clause de conscience des médecins, c’est une disposition générale qui existe dans le Code de Déontologie et le Code de Santé Publique pour l’ensemble des actes médicaux. Il n’est donc pas possible de la supprimer pour un acte particulier, quel qu’il soit. » Il se prononce également sur un autre aspect du rapport d’information de la Délégation aux droits des femmes, celui de la suppression du délai de réflexion accordé aux femmes demandant un avortement : « Le délai de réflexion, qui peut être supprimé lorsque la situation l’exige, peut constituer une dernière aide à une décision difficile. Il peut sans doute être réduit, mais sa suppression totale ou sa réduction excessive seraient contre-productives. »

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Comme pour tout le reste, l’IVG devait rester une exception à la règle d’ordre public…

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Il y a 40 ans, l’avortement était dépénalisé, c’est-à-dire « toléré » en cas de détresse… Le gouvernement se bat aujourd’hui pour qu’il devienne un « droit fondamental »Une résolution sur l’avortement va effectivement être débattue aujourd’hui à l’Assemblée, jour « anniversaire » des 40 ans de la dépénalisation de l’IVG. Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, signe une tribune dans Le Figarovox pour expliquer en quoi cette résolution n’est pas conforme au droit et supplier la France de ne pas « sacraliser la désacralisation » de la vie…

Il met en lumière le processus trompeur et destructeur systématiquement utilisé par la culture de mort pour triompher sur la vie… Petit à petit, habituer les consciences à l’abominable, changer les mots pour tromper les intelligences, asservir les volontés pour qu’elles en demandent toujours plus…

Voici le texte.

Les premiers mots du projet de résolution affirment que « le droit à l’avortement, souvent contesté, reste fragile ».Or, le fait de parler de l’avortement comme d’un droit montre au contraire une évolution, jamais démentie, dans le sens d’un renforcement. En 1974, il n’a jamais été question de donner un droit à l’avortement, ni de le banaliser. Il s’agissait de dépénaliser l’acte, dans certains cas, pour la femme et pour le médecin. La loi Veil de 1974 reposait sur la détresse et l’exception. Considéré comme la réponse à une situation de détresse, l’avortement ne devait être permis qu’exceptionnellement et dans des délais contraints. C’est pourquoi la loi commence par rappeler le principe garantissant « le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie », avant d’accepter la dérogation de l’avortement sur le fondement d’une détresse dont la femme n’avait d’ailleurs pas à apporter la preuve.Il s’agissait donc d’une exception à une règle d’ordre public.

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Forçons l’Europe à interdire les infanticides néonataux !

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Chaque année, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse (seuil biologique de viabilité). Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

Un député espagnol, Angel Pintado, avait donc demandé au Comité des Ministres, qui réunit les gouvernements des 47 Etats membres, de trouver un accord sur les mesures à prendre « pour garantir que des fœtus qui survivent à un avortement ne soient pas privés des soins médicaux auxquels ils ont droit (en leur qualité de personnes vivantes au moment de leur naissance) en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme ».

Incapables de se mettre d’accord alors que le consensus est nécessaire pour toute réponse, le Comité a affirmé au terme de débats longs et houleux, qu’il ne pouvait pas répondre. Certains gouvernements, dont la France, s’étaient effectivement opposé à cette proposition, craignant de remettre en cause l’avortement tardif en reconnaissant des droits à ces nouveau-nés.

Quatre ONG (le Bureau international catholique de l’enfance, l’Union mondiale des organisations féminines catholiques, la Fédération des associations familiales catholiques en Europe et le Centre européen pour le droit et la justice) ont alors demandé, le 1er novembre dernier, à M. Nils Muižnieks, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, de le rencontrer pour lui remettre un dossier exposant le sort des enfants nés vivants après un avortement.

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Les belles victoires des « pro-vie » américains !

Les belles victoires des « pro-vie » Américains !

Voilà des chiffres qui devraient encourager tous les militants qui tentent d’enrayer la progression effrayante de la culture de mort conjuguée à l’acharnement de nos gouvernements à détruire notre civilisation millénaire. Les efforts finissent par payer, au prix d’une lutte incessante mais surtout persévérante. Alors qu’une énième manifestation est prévue dans les rues de Paris et Bordeaux dimanche prochain, certains sont tentés de ne plus y croire… Les résultats des lobbies « pro-vie » américains prouvent qu’il ne faut effectivement rien lâcher.

Tous les indicateurs culturels de nos sociétés occidentales semblent aller dans le mauvais sens : l’immigration et l’islamisation ne cessent de progresser, la consommation de drogue explose, les gens ne se marient plus, les lois iniques se multiplient et de trop nombreux enfants sont encore tués dans le sein de leur mère… Pourtant, aux Etats-Unis où les organisations opposées à l’avortement sont particulièrement actives et efficaces, les résultats sont là : le nombre d’avortements baisse de manière significative.

Ce nombre pour 1000 femmes est en effet passé de 20,9 à 16,9 entre 2001 et 2011, chiffre le plus bas depuis 1973, année durant laquelle l’avortement a été légalisé aux Etats-Unis. Plus d’un million d’enfants sont encore avortés chaque année et le combat n’est pas gagné, mais les esprits changent : dans un récent sondage mené par l’institut américain Gallop entre 2009 et 2014, six personnes interrogées sur dix se sont identifiées comme « pro-vie », un ratio qui permet donc largement d’espérer.

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L’ONU oblige l’Irlande à un référendum sur l’avortement

Frances Fitzgerald

Le ministre de la Justice Irlandaise, Frances Fitzgerald, tête de la délégation du pays au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, a été entendu dans le cadre de l’examen de la conformité de l’Irlande avec certaines normes internationales.

Il a notamment été interroger « avec fermeté » sur le Protection of Life During Pregnancy Act (Acte de protection de la vie pendant la grossesse) de 2013, avant que l’Irlande ne soit accusée d’être en « violation de Droits de l’Homme » puisqu’il est interdit d’avorter en Irlande en cas de viol, d’anomalie foetale, ou de risques en termes de santé.

Le Conseil des Droits de l’Homme a également reproché au gouvernement de ne pas prendre intégralement en charge les dépenses de transport des femmes allant avorter à l’étranger.

Les Droits de l’Homme sont donc pour la puissante institution qu’est l’ONU, une négation des Droits de l’Enfant à naître, ce qui n’est pas une grande nouvelle. Mais non contente de le penser, elle l’encourage vivement par l’intimidation…

L’Irlande n’est en effet pas tenue de se plier à ces demandes, mais le gouvernement ne semble pas avoir l’intention de les ignorer, puisque la délégation a promis au Conseil un référendum constitutionnel sur la question.