Pédoland à la mairie de Paris : enquête ouverte contre Christophe Girard, ex adjoint à la culture, pour viol sur mineur

Christophe Girard à côté d’Anne Hidalgo, sorcière gauchiste pro-LGBT

Christophe Girard qui a été maire-adjoint à la culture jusqu’à juillet 2020, c’est-à-dire reconduit dans ses fonctions après les dernières élections municipales de juin, est accusé de viol sur mineur. Cela fait suite à la polémique concernant sa relation avec le pédomane Matzneff.

Rappelons brièvement les faits.
Fin 2019, l’écrivain Gabriel Matzneff a été convaincu publiquement de pédophilie à la suite du livre d’une de ses anciennes victimes. Le livre révélait ce que le tout Paris savait déjà, mais, cette fois-ci, l’opprobre  frappa l’écrivain (partiellement toutefois : insistant sur sa prédation envers les adolescentes et pré-adolescentes, mais pas sur ses crimes envers des garçonnets) et cela allait éclabousser six mois plus tard l’un de ses meilleurs amis, Christophe Girard, maire-adjoint d’Anne Hidalgo.
Girard, plutôt que d’assumer la réalité prétendit que Matzneff n’était pas son ami, qu’ils ne se connaissaient que très peu et cette version a été celle que Hidalgo retint puisqu’elle n’a pas hésité à reconduire Girard dans ses fonctions après les dernières municipales du printemps dernier.

Cependant, en juillet dernier, de nouvelles informations accablantes pour Girard ont été révélées.
Non seulement les liens qu’il entretenait avec Matzneff étaient étroits – Girard est donc un fieffé menteur -, mais de surcroît il a été prouvé que les deux compères mangeaient régulièrement au restaurant, et cerise sur le gâteau, la note était payée par la mairie de Paris.
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La Mairie de Paris aux couleurs LGBT !

Mairie de Paris LGBTAnne Hidalgo, à l’instar de sa famille politique, n’en finit pas de choyer une infime minorité de militants LGBT aux revendications incessantes et à la propagande destructrice, pendant que Paris se tiermondise à une vitesse effrayante.

Anne Hidalgo a décidé de « décorer » la Mairie de Paris aux couleurs LGBT pour « fêter » les « fiertés ». Comprendre la fierté des homosexuels, lesbiennes, bi, trans… qui défilent demain à Paris lors de la GayPride annuelle.

Une question se pose : fierté de quoi ? Les militants LGBT n’ont eu de cesse de répéter qu’ils ne pouvaient rien à leur sexualité pendant l’absence de débat qui a précédé le vote de la loi Taubira. Or l’on est fier de ce que l’on a accomplit.

S’ils n’y peuvent rien, il n’y a pas de quoi être fier. Personne n’est fier d’être « homme » ou « femme ».

Fierté de quoi, donc ? La vérité c’est que c’est précisément pour ces quelques militants un choix, celui de la propagande homosexualiste largement relayée par le gouvernement et ses chiens de garde.

Ils sont fiers de ce qu’ils appellent le « progrès », et qui consiste à détruire la famille, à priver des enfants de mère ou de père, à réduire toute personne à sa seule sexualité, à encourager une sexualité désorientée…

Anne Hidalgo donnait une interview à Yagg pour expliquer ce choix et rappeler « son engagement auprès de la communauté LGBT ».  

Il y a quelques jours, les Parisiens apprenaient qu’Anne Hidalgo devait trouver 400 millions d’euros pour boucler son budget 2015. En attendant, leurs impôts continuent à alimenter la propagande d’Etat et satisfaire quelques capricieux qui ne représentent qu’eux-mêmes, et auprès de qui le Maire de Paris affirme avoir des « engagements ».

Anne Hidalgo voudrait créer de l’homophobie, elle ne s’y prendrait pas autrement.

Champ-de-Mars : quand les intentions de Bertrand Delanoë sont mises à nu !

On se souvient qu’après la manifestation du 13 janvier contre le « mariage » homosexuel, Bertrand Delanoë avait adressé à la préfecture de police la facture de ce qu’il estimait être des dégâts provoqués par le «piétinement» des pelouses sur le Champ-de-Mars : un coût évalué à «au moins 100.000 euros».

Un jeune paysagiste mosellan, Samuel Bingelmann, avait alors proposé de restaurer, à ses frais, la pelouse abîmée. Il estimait que les travaux lui reviendraient «à moins de 50.000 euros». Hé bien le jeune homme s’est fait éconduire par la socialiste Anne Hidalgo ! Celle-ci, première adjointe PS du maire de Paris, a dénigré mardi matin sur RTL la généreuse proposition :«Je ne suis pas sûre que ce soit fait aussi bien», a-t-elle déclaré.

Des propos qui ont suscité l’indignation du directeur de l’entreprise Lorraine Plants, située en Moselle : «Comment peut-elle juger la qualité du travail de mes salariés? Les jardiniers de la Ville de Paris sont sûrement excellents, mais mes huit employés connaissent eux aussi parfaitement leur métier » s’est-il exclamé. Avant de poursuivre : « Je comprends bien que la mairie de Paris ne veuille pas me confier ces travaux, après tout c’est son droit, mais cela ne l’autorise pas à humilier mes employés. Je souhaiterais qu’elle leur présente ses excuses».

Il est évident que la démarche de Bertrand Delanoë est totalement partisane. D’abord, nul n’ignore son positionnement dans le débat sur le « mariage » homosexuel. Et qu’il présente comme par hasard une facture à l’issue de ce grand rassemblement, lequel était pourtant bon enfant et étranger aux violences habituelles des manifestations revendicatrices de gauche contre lesquelles le maire de Paris n’a pourtant jamais à redire, voilà qui achève de dissiper les doutes sur les intentions de Monsieur Delanoë… Et s’il fallait encore en convaincre l’opinion, c’est désormais chose faite : car si la démarche du maire de Paris était honnête et uniquement animée par le sort de la pelouse du Champ-de-Mars, il aurait dû se réjouir de la proposition que venait de lui faire le jeune paysagiste. CQFD