C’était un 5 août…

1884 : pose, par la Grande Loge de New York, de la première pierre du piédestal de la statue de La liberté éclairant le monde, sur l’île Beldoe du port de New York.
Son auteur est le franc-maçon français Frédéric Auguste Bartholdi.
La statue (dans un rapprochement avec Lucifer, « le porteur de lumière ») symbolise l’expansion de l’idéologie maçonnique à travers la planète.
Et ce, si nécessaire à la lumière des bombes atomiques ou au phosphore…

1895 : mort de Friedrich Engels, philosophe communiste et mécène de Marx.
Coauteur de la plupart  de ses ouvrages, il ne travailla quasi jamais, étant le fils d’un très riche industriel luthérien du textile.
Il mena une existence schizophrénique, se séparant entre action révolutionnaire et exploitation de ses prolétaires.

Résultat de recherche d'images pour "jules lemaitre"1914 : décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).
Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre « Ligue des droits de l’homme », dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle il ne survécut d’ailleurs pas (tout comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissout en 1904.
Lemaître était toutefois surtout antimaçon.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une œuvre diverse et solide dont Les contemporains (4 volumes), des contes et histoires de Noël et une biographie de Chateaubriand.

C’était un 5 août… (bis)

1914. Décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).

Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre Ligue des droits de l’homme, dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle elle ne survécut d’ailleurs pas (comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissoute en 1904.
Lemaître était toutefois plus antimaçon qu’antisémite.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une oeuvre diverse et solide comme Les cmpoonterains (4 volumes).

L’affaire Sentier II en délibéré au 2 février

Mais bien sûr, parler de « mafia juive » serait antisémite.

« C’est le 2 février seulement que la cour d’appel de Paris rendra son verdict dans l’immense affaire d’escroquerie dite Sentier II, du nom de ce quartier occupé de la capitale française. Depuis la France et vers Israël près de 200 personnes au moins (parmi celles qui ont été identifiées) avaient mis en place un réseau de blanchiment d’argent et de détournements massifs de fonds.

Seules 9 personnes avaient fait appel, dont plusieurs réfugiées en Israël, qui refuse de les livrer.

L’avocat général a requis globalement des peines supérieures à celles infligées en première instance, allant de 6 ans de prison à seulement quelques dizaines de milliers de francs d’amende. »

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