Quelques échos de « la France d’après »

Un petit coup d’oeil à trois extrémités de notre doux pays, pour observer l’actualité locale.

Dans la belle Alsace : une émeute a lieu à Wittelsheim dans la nuit de jeudi à vendredi. « Un groupe de jeunes » a brûlé des voitures puis caillassé les pompiers venus sur place. Se déplaçant, ils sont ensuite allés sur un pont et ont « jeté des pavés et des pierres » sur une route très fréquentée. Les policiers ont du couper la circulation puis appeler des renforts pour « pacifier la zone ». Aucune arrestation cette nuit-là.
Les raisons de la colère des « jeunes » ? 5 de leurs congénères avaient été interpellés quelques jours plus tôt, pour une histoire de viol collectif sur une fille de moins de 15 ans…. (source)

En Flandres, la boulangerie de la place de Béthune à Lille existe depuis 500 ans. La semaine prochaine, Myriam et Alain Sieuw arrêtent. C’est un kebab qui prend le relais. (source)

A Avignon, a lieu un procès avec des jeunes immigrés. Les plus malchanceux d’entre eux vont s’en tirer avec quelques mois de prison, qu’ils ne feront probablement pas.
« Le 7 janvier 2009, Serge Juillard, qui rentrait chez lui a été ralenti par un embouteillage dû à la neige. Au niveau de la Barbière, des jeunes de la cité s’amusaient à lancer sur les voitures des boules de neige « farcies avec des pierres ». Après avoir entendu un choc, M. Juillard est sorti constater les dégâts. Il a alors été victime d’une agression sauvage. Une dizaine de jeunes l’ont insulté, fait chuter au sol et l’ont passé à tabac. »
Il lui ont baissé son pantalon pour mieux le frapper dans les parties génitales. Ils le maintenaient écartelé pour mieux le frapper à coup de barres de fer, en commençant par la tête.
« J’ai essayé de faire le mort mais vous savez c’est difficile », témoigne avec une vive émotion M. Juillard, aujourd’hui cloué dans un fauteuil roulant. « Ils m’ont bourré la bouche avec de la neige, j’arrivais plus à respirer. » « Aujourd’hui, son quotidien, ce sont des crises et des souffrances terribles qu’il soulage avec de la morphine et le soutien indéfectible de son épouse.  »
Une dizaine de suspects ont été interpellés mais seulement trois ont été renvoyés devant le tribunal pour enfants. (source)
Notons que la motivation « raciale » – si souvent invoquée contre des Français -, n’a pas été retenue par la « justice » dans cette affaire.
Pourtant, les mots dont se souvient la victime et qui résonnent encore dans sa tête sont « Finissons cette face de craie »

A quand la révolution nationaliste ?!