Pour créer sa chaîne « NoA », France 3 verse une fortune à… Yannick Noah

Une fortune prise aux contribuables, pour satisfaire la vanité et l’avarice de cet énergumène.

Yannick Noah, militant de gauche et ouvertement remplaciste

Lu chez Capital :

« Les affaires sont les affaires. Selon une information du Canard Enchaîné, publiée mercredi 18 septembre, le chanteur Yannick Noah aurait reçu 54.000 euros de la part de France Télévisions. La raison ? La similarité phonétique entre le nom de famille de l’ex-tennisman et NoA, l’antenne locale de France 3 en Nouvelle-Aquitaine. Lancée en septembre 2018, la chaîne aura payé chèrement son baptême. Et pour cause, le chanteur avait protégé son nom, via un dépôt de marque à l’Institut national de la propriété industrielle (INPI).

Contacté par Capital, France 3 confirme l’existence d’une transaction financière avec le chanteur. “Nous avons passé un accord au printemps 2018. Yannick Noah avait déposé une marque que nous souhaitions utiliser”, détaille la chaîne, qui refuse de confirmer le montant de la transaction, en invoquant sa confidentialité. France 3 se dit également surpris du timing de la révélation du Canard Enchaîné, plus d’un an et demi après la signature de l’accord.

Homme d’affaires avisé, Yannick Noah a parfaitement réussi sa reconversion depuis sa retraite de tennisman professionnel. Après avoir fait carrière dans la chanson et vendu plusieurs millions de disque, il a été nommé capitaine de l’équipe de France de tennis, avec laquelle il remportera la Coupe Davis, en 2017. Parallèlement, il a multiplié les partenariats avec les marques et les expériences commerciales, avec plus ou moins de succès.

Un redressement fiscal d’un million d’euros

Le chanteur a aussi connu quelques déboires avec le fisc pour s’être déclaré résident suisse, alors que l’administration le considérait comme résident français. Visé par un redressement fiscal de plus d’un million d’euros sur ses revenus de 1993, il s’est lancé dans un long combat judiciaire pour contester cette procédure. Sans succès, puisque le Conseil d’Etat l’a définitivement débouté de sa demande, en 2017. »