Les ardeurs bellicistes de la marine israélienne ne sont pas apaisées suite à l’interception armée qui a coûté hier la vie à près d’une dizaine de militants pro-palestiniens.
« Nous ne permettrons pas à des bateaux d’arriver à Gaza et d’approvisionner ce qui est devenu une base terroriste qui menace le coeur d’Israël », a déclaré M. Vilnaï, ministre de la défense de l’État hébreux à la radio publique.
Quoi qu’il en soit, les premières réactions à l’attaque d’hier sont claires: condamnation, entre autre, de la Jordanie pour le monde arabe, mais aussi de la Chine, de la classe politique française et même de Nicolas Sarközy (qui parle « d’usage disproportionné de la force« .
Le conseil de sécurité de l’ONU a demandé une enquête internationale.
Sur quoi peut-elle aboutir? La question reste entière.
Francois Bon