C’était un 6 février… 1934 : le meurtre de patriotes scandalisés par la corruption

À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.

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Dimanche de la Sexag̩sime Рtextes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le connaissaient nos ancêtres), suivis de commentaires.

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« Dans les chants de la messe, mêmes accents de détresse mais aussi de confiance que dimanche dernier. L’Épître a été choisie à cause de la station à Saint-Paul-hors-les-murs ; c’est un des plus beaux morceaux de saint Paul : on y sent passer toute l’âme du grand apôtre. L’Évangile de la semence montre Dieu à l’Å“uvre dans le monde comme un semeur de bon grain, mais dit aussi les conditions nécessaires pour que ce bon grain porte en nous tout son fruit. ».

Dom G. Lefebvre

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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2 février : la chandeleur (origines et histoire)

chandeleur1Nom populaire de la fête chrétienne commémorant la « présentation de Jésus au Temple » (et, dans le calendrier traditionnel, « la purification de la sainte Vierge »), il nous vient du latin  festa candelarum (« fête des chandelles »), en raison de la bénédiction des cierges qui avait lieu ce jour-là.

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C’était un 1er février… 1908 : la monarchie portugaise assassinée par la franc-maçonnerie

Au Portugal, la monarchie est décapitée par la franc-maçonnerie : le roi Charles et le prince héritier Louis-Philippe sont assassinés en pleine rue par l’instituteur Manuel Buiça et l’employé Alfredo Costa, tous deux maçons (et membres de la Charbonnerie).

Ils ont fait feu puis bondi sur le carrosse royal. Le roi est mort immédiatement, le prince héritier a pu répliquer de quelques coups de feu (non fatals) sur les assaillants, et la reine a tenté de s’opposer à eux avec son bouquet de fleurs (voir l’illustration ci-dessus).

Dès 1910, la République est proclamée et le chef du Grand Orient du Portugal lui-même, Magalaes Lima, entre au gouvernement.

Les deux assassins ne survécurent pas à leur forfait : blessés au cours de l’attaque, ils furent tués non loin du lieu du drame par des agents de police (dont un, non identifié). Peut-être dans le but qu’ils ne révèlent rien sur les commanditaires précis ?
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C’était un 30 janvier… mort du marquis de la Rouërie et de Paul Déroulède

rouerie• 1793 : mort du marquis Armand de la Rouërie, chef de la première conjuration bretonne, à l’annonce de la mise à mort de Louis XVI.
Trahi, pourchassé, à bout de forces et malade, se reprochant de n’avoir pas agi avec une célérité capable de prévenir l’exécution du roi, le marquis meurt d’une fièvre cérébrale.

Il sera déterré et décapité après sa mort par les républicains, mais le mouvement de la Chouannerie continuera encore longtemps contre l’oppression républicaine.
Une biographie de cet homme à la vie aventureuse, retourné sur le droit chemin, est récemment sortie, signée Alain Sanders et Jean Raspail.

• 1914 : mort à Nice, de Paul Déroulède, combattant héroïque durant la guerre de 1870 et poète patriotique de la Revanche, dans ses Chants du soldat.
Il fut également fondateur de la Ligue des patriotes, l’un des principaux mouvements nationalistes de la fin du XIXe siècle.


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28 janvier : mort du bienheureux Charlemagne, roi des Francs, empereur d’Occident

Dessin de la statue de « Charlemagne et ses leudes », située devant Notre-Dame de Paris.

Charlemagne du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » dans la nomenclature qui commence avec Clovis, né en 742 et mort le à Aix-la-Chapelle, est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu’il n’en est pas le fondateur : les Carolingiens.

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Dimanche de la Septuag̩sime Рtextes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), suivis de commentaires.
Avec le Temps de la Septuagésime commence le second cycle de l’année religieuse. Le cycle de Noël s’était organisé autour de la naissance du Sauveur ; le cycle de Pâques s’organise autour de sa passion et de sa résurrection.

« « Justement châtié pour ses péchés » (Coll.), l’homme sent profondément sa détresse et implore la miséricorde divine. La liturgie du Temps de la Septuagésime, qui prélude au Carême, souligne la détresse humaine, mais elle l’exprime devant Dieu avec toute la force et l’espérance fondée sur la rédemption du Christ ; l’introït et tous les chants de la messe d’aujourd’hui, l’Épître et l’Évangile, nous pressent de répondre à l’invitation de Dieu lui-même, qui appelle tous les hommes et toutes les générations humaines, quelle que soit l’heure de cet appel, à travailler à leur salut ».

Dom G. Lefebvre

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

« La sainte Église nous rassemble aujourd’hui pour repasser avec nous le lamentable récit de la chute de notre premier père. Un si affreux désastre nous fait déjà pressentir le dénouement de la vie mortelle du Fils de Dieu fait homme, qui a daigné prendre sur lui la charge d’expier la prévarication du commencement et toutes celles qui l’ont suivie. Pour être en mesure d’apprécier le remède, il nous faut sonder la plaie. Cette semaine sera donc employée à méditer la gravité du premier péché, et toute la suite des malheurs qu’il a entraînés sur l’espèce humaine.

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C’était un 27 janvier…

• 1794 : exécution horrible du prince de Talmont par les républicains à Laval.
Ce chef vendéen, âgé de 28 ans, déclare au bourreau qui va le guillotiner :
« Fais ton métier, j’ai fait mon devoir ».
Puis, la tête décapitée et mutilée du jeune héros chrétien est plantée sur les grilles de son château.

• 1889 : élection triomphale du « brave général Boulanger » à Paris, après une série de partielles en province. Ses partisans attendent qu’il marche sur l’Elysée, mais le général patriote refuse. La médiocrité de ses ambitions ne le désigne pas pour le pouvoir. Menacé par le ministre de l’Intérieur, il s’enfuit vers Bruxelles, en compagnie de sa maîtresse.

• 1957 : attentats du FLN à Alger à la brasserie du Coq hardi et à la Cafétéria : 4 morts, 50 blessés.

• 1959 : décès, à Saint Quentin, du père Hanna Zacharias, de son vrai nom Hector Théry, érudit catholique qui étudia les origines juives de l’islam. « Le Coran actuel n’est qu’une prédiction juive émanant d’un rabbin de tendance pharisaïque talmudiste [ami de Mahomet et résidant à la Mecque], dont le but était de judaïser l’Arabie ».
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C’était un 24 janvier…

• 476 : mort de Genséric, roi des Vandales. Né à Séville en 406, il bâtit un immense empire et installa son peuple (germanique) en Afrique, après s’être emparé de Rome et Carthage. Arien, il s’opposa au christianisme.

• 1728 : malgré l’opposition de Louis XV, le funeste Montesquieu – philosophe des prétendues « Lumières » – est reçu à l’Académie française.

• 1857 : Gustave Flaubert est convoqué devant les tribunaux de Paris pour « atteinte aux bonnes mÅ“urs » dans son roman Madame Bovary. Après un peu plus de deux siècles de Révolution, la notion même de « bonnes mÅ“urs » a totalement disparu aujourd’hui…

• 1899 : pour réduire les tensions existant entre intellectuels à cause de l’affaire Dreyfus, plusieurs historiens, dreyfusards et antidreyfusards, proposent une « paix des braves ».

• 1939 : effondrement du front républicain espagnol dans les Pyrénées Les forces nationalistes parviennent à la frontière catalane le lendemain, provoquant un départ de militants communistes et républicains vers la France. Ces rouges venus s’installer dans le sud de la France y défendrons rageusement l’idéologie communiste pendant des décennies ; pendant « l’épuration », ils commettront de nombreux crimes et atrocités contre les patriotes français suspects de maréchalisme.

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C’était un 23 janvier : révolte gauloise menée par Vercingétorix

Statue de Vercingétorix à Clermont-Ferrand (place de Jaude)

en 52 avant notre ère, à la suite de rumeurs de troubles à Rome, le signal général de la révolte gauloise est donné, vraisemblablement à l’occasion de la fête druidique du 6e jour de la lune du solstice d’hiver, dans la fameuse forêt des Carnutes.

Les commerçants romains de Cenabum (Orléans) sont massacrés.

L’âme de ce sursaut s’appelle Vercingétorix. Il est le fils de Celtillos, qui avait tenté de faire l’unité des Gaulois, et en était mort.

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L’uniforme concocté par le gouvernement pour les élèves dévoilé : égalitarisme au menu

« Un polo blanc ou gris, un pull bleu marine et un pantalon gris anthracite. Et en maternelle, pour les plus petits, une blouse. Le Figaro dévoile le trousseau concocté par le gouvernement pour les élèves qui, à la rentrée 2024, seront concernés par l’expérimentation de l’uniforme dans les établissements scolaires. Avant d’être propulsé premier ministre, Gabriel Attal devait présenter ce trousseau. Il revient à la nouvelle ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra d’assurer le service après-vente.
Dans sa conférence de presse du 16 janvier, le président Macron a évoqué, à ce stade, «une centaine d’établissements volontaires» pour cette expérimentation de «tenue unique» qui «efface les inégalités». Soit 20 à 25.000 élèves. Pour des collectivités qui, comme Nice, Perpignan, Metz ou la région Auvergne-Rhône-Alpes, se sont rapidement déclarées intéressées par le projet de l’exécutif, dans les tuyaux depuis un an, l’expérimentation pourrait commencer dès le printemps. Certaines ont d’ailleurs élaboré leur propre trousseau, sous réserve de répondre au cahier des charges fixé par l’Éducation nationale. […] Pour les autres collectivités intéressées, le gouvernement veut leur simplifier la vie avec ce trousseau élaboré par ses soins. La tenue sera mixte «pour éviter les polémiques qu’il risque d’y avoir malgré tout», confie un proche du dossier. Pas de choix entre le pantalon ou la jupe, donc. […] (source et suite)

 

Le gouvernement invoque un mauvais motif pour cet uniforme : « effacer les inégalités ». L’idéologie égalitariste, foncièrement contre-nature et antisociale, et fondement de la Gauche, est donc à l’Å“uvre.
On le voit bien au côté « unisexe » de la tenue. Il n’y a plus de différences, pour ces gens-là, entre garçons et filles, si tant est que ces malades admettent encore la réalité de cette altérité.

Or il est bien sûr important d’accompagner la structuration mentale des adolescents, y compris dans leur genre, au risque – entre autres – de créer des féministes et des déséquilibrés (la loi républicaine ne nous permet pas d’exprimer la réalité plus clairement)…

Les vertus de l’uniforme sont normalement :
– de développer l’esprit de corps dans un établissement
– d’empêcher la vanité vestimentaire
– d’empêcher les tenues indécentes (or le pantalon l’est souvent, chez les femmes)
– d’empêcher les tenues relâchées (car la tenue influe sur l’âme : ainsi, les baskets que présente le gouvernement – à défaut de les rendre obligatoire pour le moment – poussent, trop longtemps chaussées, à la mollesse).

On imagine que pour le gouvernement, en plus de l’égalitarisme malsain, les motifs sont d’effacer les différences sociales – pour ce qu’il en reste – et surtout d’empêcher les tenues religieuses.

De toute façon, il s’agit d’un pansement sur une jambe de bois, le problème de l’école française (d’où son effondrement) tient en trois choses principalement :

– des programmes lacunaires, mal orientés et mal ficelés, avec des méthodes nocives (telle la « méthode globale » pour l’enseignement du français)
– des enseignants gauchistes
– la tiers-mondisation par l’immigration de masse, entraînant une chute naturelle du niveau, et permettant à ceux qui ne veulent pas travailler d’empêcher de travailler ceux qui le voudraient, entre autres problèmes.

Froid : des voitures électriques qui perdent beaucoup d’autonomie, ou ne rechargent pas

D’autre part, certaines voitures peinent à se charger par très grand froid :

« Face à la vague de froid extrême à Chicago, où les températures ont atteint -19°C, les Tesla ont montré des limites inattendues. Les conducteurs ont rapporté des problèmes de démarrage de la charge aux Superchargers, un phénomène atypique pour ces véhicules électriques. Cette situation pourrait s’expliquer par la sensibilité des batteries lithium-ion aux basses températures, qui ralentissent les réactions chimiques internes. Et comme vu précédemment, réduisent ainsi l’efficacité de la charge. Par conséquent, la capacité des batteries à se charger rapidement diminue considérablement et entraîne une augmentation des temps d’attente aux stations de charge. » (source)

JO 2024 : la photo présentant la tenue des athlètes ne comporte aucun Gaulois…

« Le Coq Sportif et le CNOSF (Comité national olympique et sportif français) ont dévoilé le 16 janvier les tenues officielles des athlètes de l’équipe de France. Plus de 150 sportifs étaient réunis à la Maison du sport français, dans le XIIIe arrondissement de Paris, pour un défilé présentant les ensembles qu’ils porteront lors des compétitions de l’été prochain. » (source)

La photo de groupe rendue publique est celle-ci :

Peut-être deux Françaises, et carrément aucun Français ethnique !

Certes, le Grand Remplacement est en cours, mais certains prennent leurs désirs pour la réalité.

21 janvier : anniversaire du régicide (récit + testament de Louis XVI)

Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans.
Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.
Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire.

Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… »
Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient.
Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? »

D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…
Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ».
Certains spectateurs se barbouillèrent le visage du sang du malheureux.

On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines associations et publications ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 :
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Messe du 3e dimanche après l’Épiphanie – textes et commentaires

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivait nos ancêtres).

Le centurion romain demandant au Christ la guérison de son serviteur

« La foi en la divinité de Jésus et le recours à sa toute-puissance divine est un des enseignements les plus insistant des évangiles de ces dimanches après l’Épiphanie. L’éloge de la foi du centurion nous invite aujourd’hui à entrer nous-même dans ces sentiments de foi confiante qui doivent animer tous ceux qui veulent faire partie du peuple de Dieu.
Les chant de la messe resteront ceux des dimanches qui suivent. Par leur caractère, ils rattachent le Temps après l’Épiphanie au Temps de Noël ».

Dom G. Lefebvre

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres) Continuer la lecture de « Messe du 3e dimanche après l’Épiphanie – textes et commentaires »