Oise colonisée : 600 personnes pour un enterrement, aucune contravention malgré la présence policière

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Dans l’Oise, le nombre maximum de personnes autorisées pour des obsèques est toujours de 20 personnes.
C’est assez scandaleux mais c’est ainsi.
Pendant que les Français se plient aux règles, quitte à en souffrir terriblement, on notera le mépris total qu’ici les étrangers africains et gitans (dans le cas précédent, avec 100 personnes) témoignent pour les règles et l’autorité.
En même temps, elles auraient tort de se priver car la police – bien que présente – ne fait rien, probablement par peur, et que la mairie de « droite » ne portera pas plainte, certainement pour les mêmes raisons.

Lu dans le Parisien :

« Ce vendredi après-midi, près de 600 personnes endeuillées, selon une source policière, se sont rassemblées au cimetière Nord de la ville de Compiègne. Elles étaient là pour honorer la mémoire d’un jeune homme, habitant du quartier du Clos-des-Roses, décédé d’une crise cardiaque en pleine rue, dimanche dernier. […]

« Nous sommes intervenus pour gérer le flux de voitures mais nous n’avons dressé aucune contravention, explique une source policière. C’était un moment de recueillement pour la famille et les amis. Des modérateurs étaient là, cela s’est passé dans le calme. »

C’est la deuxième fois en une semaine qu’un tel regroupement a lieu au cimetière Nord, enfreignant les mesures barrières. Samedi dernier, déjà, une centaine de personnes s’étaient regroupées, en plein confinement, pour l’enterrement d’un homme issu de la communauté des gens du voyage.

Si le maire (LR) de Compiègne, Philippe Marini, n’avait pas été prévenu la première fois, une demande de la famille était bien parvenue à la municipalité pour l’enterrement de ce vendredi. Elle demandait à dépasser le nombre de personnes autorisées.

« Il y a eu un refus de ma part, précise le maire. Je leur ai dit que c’était interdit. Mais, on ne va pas faire venir l’armée, tout de même. Et je n’allais pas y aller tout seul avec mes petits bras pour leur dire de partir. » L’édile laisse clairement entendre que la municipalité n’engagera pas de poursuites. »