« le Communisme dans l’histoire » : un livre incontournable

C’est un livre capital qui vient d’être réédité : le Communisme dans l’histoire, de l’abbé Auguste Onclair.

Dans cette passionnante étude, l’abbé Onclair nous fait voyager – parfois à notre grande surprise – à travers l’histoire, sur les traces du communisme.
Contrairement aux idées reçues, cette idéologie particulièrement meurtrière est née il y a fort longtemps.
Les différentes formulations théoriques et expériences pratiques du communisme – qu’il soit modéré ou radical – sont passées en revue, jusque dans l’Antiquité préchrétienne. La société spartiate y est par exemple décrite de façon éloquente, de même que certaines idées de Platon. L’auteur se penche aussi sur certains mythes comme celui des premiers chrétiens qui auraient prêché et vécu une forme de communisme…
Les idées influentes d’un Rousseau notamment, y sont savoureusement exposées et réfutées par le bon sens.

Publié en 1895 et enfin réédité, ce livre frappe par sa clairvoyance et, hélas, par son caractère visionnaire :
vingt-deux ans avant la Révolution d’Octobre, les malheurs qui frapperont l’humanité soumise au communisme sont annoncés.
Il s’agit d’une mine d’informations et le style véhément de l’auteur rend plaisante cette lecture indispensable pour qui s’intéresse au phénomène communiste.

L’œuvre est complétée par un texte du professeur Jean-Claude Lozac’hmeur se penchant sur les Origines occultistes du communisme, sujet fort peu connu, ainsi que par une annexe roborative du philosophe Charles Chapyguine qui nous mène aux questions les plus actuelles : extrêmement intéressant.

On peut se procurer le livre ici.

13 commentaires concernant l'article “« le Communisme dans l’histoire » : un livre incontournable”

  1. Un peu plus de sens critique , svp .
     » Après avoir été anticommuniste durant l’ère soviétique , j’ai changé d’avis en 1991 devant la révolte libérale que j’ai jugée pire que le socialisme « .
    L’auteur de ces propos n’est pas n’importe qui . Il s’agit de l’une des figures majeures de la Révolution conservatrice russe , Alexandre Douguine .
    Un dissident russe célèbre , Alexandre Zinoviev , avant de regagner son pays avait tenu des propos semblables .
    L’ennemi c’est le Libéralisme . Le communisme moderne n’en est qu’un sous-produit .

  2. le communisme est un moment de la Révolution

    la Révolution est maçonnique ;

    elle vise l’ anéantissement de la chrétienté .

    actuellement elle utilise l’ Islam , Sodome, les invasions barbares …

  3. Difficile d’opposer communisme et libéralisme ! L’un commence par tuer pour prendre les richesses l’autre fait volontairement accepter le paiement d’impôts de toutes sortes à un peuple inculte asservi qui se ruine en payant.
    Résultat: à la fin les biens et richesses sont détenus par une infime minorité qui se fait aduler par ceux qu’elle exploite !!!
    Notons au passage qu’il n’y a pas eu de consécration de la Russie telle que demandée par Notre Dame, donc… le communisme s’étend, se transforme et les oligarques se portent à merveille.
    Surtout n’oubliez pas en janvier on recommence à payer l’impôt sur le revenu ! ne dépensez pas trop pour ces fêtes , l’état a besoin de vos sous pour financer….. bon là je vous laisse deviner ???
    Tous mes vœux à chacun pour 2018 !

  4. Le communisme est bel et bien sataniste. La Douma enquête actuellement sur l’assassinat du Tsar Nicolas II et de la famille impériale qui semblent bien avoir été victimes de crimes rituels.
    Ce livre a l’air passionnant…

  5. Il faut être clair , les amis . Le prétendu communisme ne fut qu’un précurseur d’une entreprise bien plus effrayante , celle que nous voyons s’imposer dans tout l’Occident , le totalitarisme libéral .
    Plus de nation , plus de race , plus de sexe . La trinité du mal n’était pas allée jusque-là .
    Des enfants sans envergure , voyez-vous .
    Le communisme , c’était du conservatisme . Le libéralisme , c’est la Révolution , la vraie .
    – je ne plaisante pas du tout .

    ;

  6. Albert : nous avons lu le livre, et vous ?
    Vous critiquez sans connaître, par réflexe pro-communiste. Par ailleurs, nous sommes aussi antilibéraux et c’est cohérent. Communisme et libéralisme partagent beaucoup, en revanche.
    Ps: Douguine n’est pas une référence pour nous.

  7. le communisme , c’est 100 millions de morts prouvés;

    sans doute beaucoup plus.

    le communisme a donné un moment infernal au monde entier.

    il y a un enfer éternel pour le payer.

  8. Communisme et libéralisme=syphonnage, aspiration des richesses ainsi que manipulation et anéantissement des religions afin de les remplacer par le cosmopolitisme. L’assassinat de Nicolas II et sa famille comme celui de Louis XI et d’autres dirigeants de notre époque sont des actes « signés », une « marque »… Je lirai ce livre.

  9. réponse à admin 4
    Suis-je autorisé à vous dire que vous vous méprenez ? .
    Un bon gouvernement est , à mon sens du moins , respectueux de son peuple et il en favorise les meilleurs éléments .
    Je ne rêve pas . J’ai séjourné suffisamment longtemps dans des pays de l’Asie la plus lointaine pour savoir que les héritiers présumés de Maître Kong favorisent un élitisme dont toute leur société profite . .
    – une lecture attentive du manifeste de Marx-Engels révèle que la classe révolutionnaire , c’est la finance apatride . Dois-je préciser que les adeptes du petit génie de la Judengasse de Trêves n’ont jamais rien compris à rien ? .
    Je sais que vous aurez du mal à l’admettre mais le poison marxiste sous sa forme la plus virulente a infecté l’Occident et , me semble-t-il , épargné – à des degrés divers – l’Est . Mao Zedong admirait Genghis Khan , il ne se souciait nullement des grimoires laissés par Marx et Engels .
    – Alexandre Douguine est intéressant mais il ne fait que reprendre et adapter des idées un peu anciennes . Nos contemporains ont négligé les écrits de Francis-Parker Yockey .
    Les plus lucides d’entre eux avaient compris que  » nous sommes aussi vaincus qu’on peut l’être  » ( Abel Bonnard dixit ) . Nos compatriotes ne conservent pas seulement les réactions de défense qui permettent à un animal de sauver sa peau .
    Amicalement , avec mes meilleurs voeux .

  10. Pardon, mais tout le monde avait compris qu’il s’agissait de Louis XVI dans mon propos. J’associe les meurtres publics de Kennedy, Ceausescu, Saddam Hussein, Kadhafi, et j’en oublie car il y en a d’autres, au même processus d’exécution « médiatisé » bien en vue de leur peuple mais surtout de ceux qui pourraient vouloir reprendre le flambeau et s’opposer à … »eux ». À chaque fois une partie de leur famille y est passée ce qui est une signature de mafia.

  11. J’espère en effet me méprendre mais je vois le monde bien plus simplement que vous. Je n’ai pas lu tout ces auteurs et cela compliquerait certainement ma réflexion, peut-être un peu simpliste j’en conviens. Ce n’est pas le Bien qui « régit » le monde mais le Mal. Ce Mal sous forme essentiellement de Mafias organisées et plus puissantes que des armées est beaucoup plus efficace et bien plus rapide pour coopter les richesses qu’une voie « normale » et honnête. Les richesses ainsi concentrées achètent tout, surtout les hommes quel qu’ils soient, les plus incorruptibles étant soit écartés au départ soit éliminés à la moindre menace de rébellion. Ces mafias, cette mafia qui chapeaute toutes les autres, devrais-je préciser car elle existe bel et bien, repère et installe au pouvoir des personnages en apparence charismatique mais intérieurement à tendance psychopathe, sans pitié pour autrui comme elle l’est elle-même. Pourquoi chercher plus compliqué? Lisez « Deux Siècles Ensemble » et vous y retrouverez l’origine du Mal.

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