Le cinéma, levier de la cathophobie

Hier, mercredi 3 avril 2013, est sorti en Belgique, sur les écrans de cinéma, le film « Au Nom du Fils », dont voici le résumé communiqué au public : « Quand une femme de foi, animatrice d’une tribune sur une station de radio catholique, dévouée à sa famille et a la souffrance du monde, est confrontée à la pédophilie des prêtres et au suicide de son fils, la croyance fait place à la rage et à la violence. Quand le silence de l’Église crée le chaos et la désespérance de ses brebis… »

On l’aura compris, encore une attaque en règle contre l’Église, une véritable incitation à la haine contre le catholicisme. Une facilité bien convenue dans laquelle se complaît en permanence la petite caste des journaleux et autres artistes en mal d’inspiration.

Une campagne qui ne vise donc qu’à semer la haine dans les consciences. Ainsi qu’on a pu le lire sur les réseaux sociaux, « partout, toujours et de plus en plus, les médias nous parlent de la pédomanie des clercs, des silences du haut-clergé et en concluent à la perversité du catholicisme, à la nécessité du mariage des prêtres et à l’instauration d’une éducation laïque. Le pire, c’est qu’en faisant cela, ils se donnent bonne conscience, ils croient faire œuvre philanthropique (la charité, c’est devenu ringard) voire un acte de courage mais n’importe lequel de ces histrions se débinerait comme un péteux devant l’idée de faire le même genre de film qui concernerait la pédomanie des rabbins, des professeurs de la laïque (où les chiffres sont accablants) ou des imams (qui, comme les rabbins, ne sont que des professeurs non astreints au célibat) voire, pour les suicidaires, un film sur les sectes gnostiques et/ou satanistes qui pratiquent ce genre d’abominations en masse. Cette lâcheté du « monde du spectacle » devient quelque chose d’insupportable« .

Voici la bande-annonce du film. Nous vous avertissons qu’elle est violente. Mais elle met en lumière la nature de ce film que personne d’entre nous, bien évidemment, n’ira voir…