Incendie de la gendarmerie de Grenoble : une revendication venue de l’extrême-gauche

Le texte fait le lien avec le procès qui se tient devant le tribunal correctionnel de Paris pour l’attaque et l’incendie d’une voiture de police en mai 2016 à Paris lors des manifestations violentes contre la loi Travail.

Le violent incendie survenue dans la nuit de lundi à mardi dans les locaux techniques de la caserne de gendarmerie de Grenoble a été revendiqué ce mardi à la mi-journée par la mouvance d’extrême gauche sur le site indymedia.org, régulièrement utilisé par ces organisations. Le texte posté à la mi-journée affirme que «cet acte s’inscrit dans une vague d’attaques de solidarité avec les personnes qui passent en procès ces jours-ci».

Huit prévenus comparaissent depuis mardi et jusqu’à vendredi devant le tribunal correctionnel de Paris pour l’attaque et l’incendie d’une voiture de police en mai 2016 à Paris lors des manifestations violentes contre la loi Travail.

«Cette revendication est une piste très sérieuse même si cela n’exclut pas autre chose», a déclaré à l’AFP Jean-Yves Coquillat, procureur de la République à Grenoble. D’autant que cet incendie «ressemble aux actions menées ces dernier mois contre des véhicules d’Enedis, de la Métropole, des services sociaux de la ville de Grenoble et qui étaient revendiqués par le même canal», a ajouté le magistrat.

Les enquêteurs de la section de recherches, à qui a été confiée l’enquête diligentée par le parquet de Grenoble, avaient cette hypothèse en tête dès le matin mais «aucune piste n’est fermée», a affirmé à l’AFP le colonel Yves Marzin, commandant le groupement de gendarmerie de l’Isère.

Des faits similaires se sont déroulés mardi à Limoges. Cinq véhicules avaient pris feu dans la nuit de lundi à mardi au sein du groupement de gendarmerie. Un acte là aussi criminel qui avait été revendiqué par le site indymedia.org, signé de la «RAGE» pour «Révolte anarchiste des Gendarmes exilés».

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2 commentaires concernant l'article “Incendie de la gendarmerie de Grenoble : une revendication venue de l’extrême-gauche”

  1. un acte de guerre civile ;

    qui ne sera pas réprimé;

    qui sera parfaitement toléré par la République maçonnique , amoureuse de tous les terrorismes, islamistes, nihilistes , marxistes ….

    « la République, c’est le mal,

    « la République, c’est la mort »

    Charles Maurras.

  2. La gendarmerie de Grenoble participe à l’enquête dans la disparition de la jeune Maëlys. Des éléments d’enquête sous scellés y sont donc conservés.
    Le journal régional « Dauphiné libéré  » évoque longuement dans un article ( http://www.ledauphine.com/isere-sud/2017/09/22/incendie-a-la-gendarmerie-l-enquete-sur-l-affaire-maelys-n-est-pas-compromise), cet incendie et l’éventuelle disparition de certains « scellés « .
    Il est donc aussi envisageable que cet incendie ait été provoqué non pas par des extremistes antifas, mais par un, ou des complices du mis en examen, ceci afin de faire disparaître ces scellés.
    Mais ne rentre pas dans une gendarmerie qui veut, mais surtout, qui pouvait avoir connaissance de l’endroit ou étaient conservés ces scellés ?
    Aussi, au delà d’une affaire de meurtre par un individu isolé, ceci nous amènerait alors à envisager une affaire bien plus lourde, celle d’un réseau d’enlèvement d’enfants, extrêmement organisé, ceux-ci étant probablement destinés à devenir les martyrs d’une élite pédophile satanique.

    P.m :
    Maëlys est âgée de 9 ans, tout comme Estelle Mouzin, disparue le 9 janvier 2003. (http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/21/01016-20150521ARTFIG00118-l-eternelle-ombre-de-fourniret-sur-l-affaire-estelle-mouzin.php)
    À noter aussi que le suspect était militaire au Camp de Suippes, situé près de Châlons en Champagne, commune sur laquelle existe un second camp militaire, à l’ouest de l’agglomération: le camp de Moumelon! Ce camp militaire est resté tristement célèbre pour une affaire de disparitions et assassinats de jeunes militaires… Entre 1980 et 1987, sept jeunes gens, six appelés du contingent et un civil, disparaissent sans laisser de trace dans un triangle compris entre le camp militaire de Mourmelon, Châlons-en-Champagne et Suippes. ( https://www.police-scientifique.com/les-disparus-de-mourmelon/condamnation-de-chanal/)

    Livre: « Les disparus de Mourmelon : Contre-enquête, Tout n’a pas été dit »

    Le dossier des disparus de Mourmelon n’aurait jamais dû être refermé ! Il doit être ouvert à nouveau, car il s’agit d’une véritable affaire d’Etat ; tout ayant été fait pour que ce scandale n’éclabousse pas l’armée, « la grande muette ». Au cours de cette enquête, on croise des militaires haut gradés et bien d’autres personnages troubles, parties prenantes dans cette affaire, et qui ne seront jamais inquiétés…

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