C’était un 9 octobre 1793… : les républicains massacrent les Lyonnais

Massacre de Lyonnais. Voir la scène à droite : avant l’État islamique, il y eut la République…

Lyon, après un siège de près de cinquante jours, capitule devant les armées de la République.
Les Lyonnais, révoltés par la « tyrannie jacobine » et dressés contre la Convention, affamés, bombardés sans relâche par les soldats de Kellermann, se rendent à 6 heures du matin.

La répression sera terrible ; des milliers de personnes seront massacrées par les Républicains dans les semaines qui suivent.

10 commentaires concernant l'article “C’était un 9 octobre 1793… : les républicains massacrent les Lyonnais”

  1. Et hélas les Français fêtent çà le 14 juillet, jour officiel de leur déchéance.
    Les C…..

  2. J’espère qu’il reste encore des lyonnais de la trempe de ceux qui ont tenu tête à ces « tolérants humanistes » révolutionnaires.

  3. Le bleu et le rouge étaient censés représenter les couleurs de Paris encadrant celle du Roi et se « réconcilliant avec.

    Évidemment, cette signification a très vite disparu ensuite…

    Autrement, le bleu reste la couleur de la chappe de Saint Martin, qui fut le premeir drapeau Français en quelque sorte, à la bataille de Vouillé (508), et le rouge reste la couleur de l’oriflamme de Saint Denis.

  4. Voici pour ceux que celà intéresse un chant de ces héros méconnus :

    http://www.youtube.com/watch?v=VrYtfn22OnQ

    ou en plus moderne :

    http://www.youtube.com/watch?v=cwH5qLeMU7s&feature=related

    Paroles complètes :

    I. Aujourd’hui la ligue noire Vient se livrer à nos coups. Ami, verse-nous à boire Et la victoire est à nous. Triples yeux ! remplis mon verre: Le vin fait de bons guerriers; Bacchus mon Dieu tutélaire Arrosera nos lauriers.

    II. Un plat bougre nous menace, La colère est sur son front. Crancé, foutre, quelle audace ! Veut nous faire la leçon : A nous, jour de Dieu, j’enrage ! Nous le fléau des pervers, Nous dont le mâle courage Se foutrait de l’univers.

    III. Verse donc cher camarade, De soif tu me fais languir ; Verse encore une rasade, Et je veux vaincre ou mourir. J’en veux foutre cent par terre, Et de sang tout inonder. Oui je veux, dans la poussière, Rouler Albitte et Crancé.

    IV. Gauthier, scélérat perfide, Assassin du Lyonnais ; Et toi Crancé, parricide, L’horreur de tous les Français, Ambitieux sanguinaires ! Les Lyonnais sont tous prêts : Ils embrassent leurs frères, Mais puniront vos forfaits.

    V. Peut-être au sein de la gloire Un foutu morceau de plomb M’enverra sur l’onde noire, Vers ce bougre de Caron. Content, je perdrai la vie, Je m’en fous, j’aurai vaincu ; Quand on meurt pour sa patrie, N’a-t-on pas assez vécu ?

    VI. Femme nargue le veuvage Quand j’aurai rendu l’esprit ; Dis-moi, foutre, est-on moins sage Quand on n’a pas de mari? Mais garde-toi qu’un faux frère Te fasse jamais la cour ; Celui qui tremble à la guerre Est un Jean-Foutre en amour.

    VII. Tout l’univers nous contemple, Amis frappons-en plus fort ; Au monde donnons l’exemple, Aux brigands donnons la mort. Canonniers ! brûlez l’amorce ; Redoublons tous nos efforts, Faisons-leur entrer par force La vérité dans le corps.

    VIII. La liberté, la patrie, Voilà le vÅ“u de nos cÅ“urs ! Pour cette muse chérie Nous jurons d’être vainqueurs. C’en est fait, le canon gronde, Nous ne voulons plus de paix. Que tous les brigands du monde Soient aux pieds des Lyonnais!

    IX. Précy conduit nos phalanges, Les lauriers seront pour nous, Et du Rhône jusqu’au Gange On dira que sous nos coups, Des envoyés sanguinaires Ont vu près de nos remparts Une famille de frères Qui pour père a le dieu Mars.

    X. J’entends une canonnade : Vite allons à l’ennemi ! Mais avant, une rasade A la santé de Précy ; Son nom qu’annonce la gloire Seul fait trembler Montessuy. On est sûr de la victoire Quand on combat avec lui.

  5. Tchetnik

    Dans les années 191O , un franc-maçon, vénérable de sa loge, fit un discours à son neveu nouveau venu dans cette loge, le jeune homme écoeuré par ce discours, quitta la FM et révéla tout à l’abbé Tourmentin.
    Ce discours, trop long in extinso, se terminait ainsi : « Mai toi, initié à nos secrets de puissance et de grandeur; dis-toi, en riant sous cape, que le Bleu, c’est le ruban du Maître, le Rouge l’attribut du Rose-Croix,, le Blanc l’écharpe du Kadosch. Et salue ce drapeau tricolore, assemblage de couleurs de nos trois grades, qui flotte au point le plus élevé de Paris, pour montrer aux yeux qui savent voir, à qui appartient la ville conquise ».
    (Tour Eiffel, tour maçonnique s’il en est, avec le nombre trois pour nombre sacré : Trois fois cent mètres, trois étages et quatre pieds formant une croix avec des carrés et des cercles, et tu reconnaîtras le bijou de nos Rose-Croix) (SLB N° 143)

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