C’est au tour de la Belgique de discriminer sa population en faveur des clandestins

An Neve et sa fille
An Neve et sa fille

Après l’Allemagne qui chasse ses SDF pour accueillir des clandestins (voir ici), c’est désormais la Belgique qui expulse une mère et sa fille pour loger 3 étrangers… Les blancs d’Europe doivent se préparer à être victime de… leur couleur de peau…

An Neve (32 ans) est en colère. Sa frustration, elle l’a évacuée sur Facebook. Elle a été forcée d’abandonner son logement à Oostmalle (province d’Anvers) pour faire de la place aux réfugiés. « C’est le monde à l’envers », se plaint-elle. Aujourd’hui, elle se retrouve dans un « petit studio sale » avec sa fille Robine (3 ans).

An Neve, dont la publication a déjà été partagée plus de 6.000 fois sur Facebook, éprouve beaucoup de respect pour les réfugiés. Mais en tant que « Belge dans le besoin, c’est un manque d’accueil ».

« Je suis la plus désavantagée »
« Logiquement, vous pouvez occuper un tel logement pendant trois mois. Déménager, expliquer à Robine que c’est temporaire… Et puis, je reçois un appel cinq semaines plus tard. Vous devez laisser votre logement pour lundi après-midi car trois demandeurs d’asile arrivent. Bruxelles a pris cette décision », peut-on lire sur le compte Facebook d’An Neve.

« La morale de l’histoire? Moi comme Belge et mon enfant, nous pouvons être logées dans les pires conditions possibles. Il a fallu déménager toutes mes affaires. Mais dans cet immeuble, aucun demandeur d’asile n’a fait ses affaires pour m’offrir un studio décent. Sur tous les plans, je suis la plus désavantagée et j’ai dû m’adapter à cette situation inconfortable« , avoue An Neve.