Démocratie : cette semaine, c’était la récré à l’Assemblée !

Le vice inhérent de la démocratie, c’est de sécréter des dynamiques d’intérêts partisans et d’ignorer bien souvent les intérêts supérieurs de la nation. En image, la récréation au parlement : la maîtresse a bien du mal a en siffler la fin…


Mariage gay: quand les députés craquent par LeHuffPost

Coup de force socialiste, lâcheté droitiste

assemblee-anti-nationaleLe premier article du projet de loi sur le « mariage » homosexuel a été adopté par l’Assemblée anti-nationale.

249 voix pour, 97 contre.

Il y a 577 députés dont au moins 226 dits « de droite ». Cela signifie que moins de la moitié d’entre eux a jugé nécessaire de voter contre ce texte, alors que des millions de Français se sont inquiétés de ce projet, allant jusqu’à défiler sous les intempéries par centaines de milliers.

De leur côté les parlementaires de gauche confisquent la souveraineté du peuple en imposant ce texte, alors que leurs propres voix ne constituent même pas la majorité des 577 députés.

 

Tandis que Flamby soigne sa cote de popularité chez les Maliens…

Un proche de Filippetti retrouvé mort

Les médias français ont annoncé la mort, à Venise, de Gilles Le Blanc, directeur adjoint du cabinet du ministre de la Culture, Aurélie Filippetti.
Rue89 s’émeut longuement de sa disparition…

Le « délicat » Gilles Le Blanc est mort en Italie d’un arrêt cardiaque, à l’âge de 43 ans. Ce qui est tôt pour décéder d’une telle mort, sauf dans les milieux de la politique et du show-business, où les modes de vie ne sont pas très « sains »…

D’ailleurs, les médias français ont jusqu’ici passé sous silence certaines informations pourtant diffusées par leurs homologues italiens, à l’image du quotidien Corriere Veneto : dans la poche de sa veste, les carabiniers ont trouvé un sachet de cocaïne.

Ayrault, entre discrédit et assurance : « il n’y aura pas de hausse de l’impôt »

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a présidé lundi après-midi à Matignon un comité interministériel contre les exclusions : il a assuré à son issue que l’effort prévu de 2,5 milliards d’euros d’ici 2017 serait financé par des « redéploiements » budgétaires et non par un « impôt supplémentaire ».

Un plan qui prévoit un effort de 2,5 milliards d’euros « à l’horizon 2017″ et dont le financement sera assuré sera par une « montée en puissance qui sera bien entendue inscrite dans notre budget ». Ainsi, poursuit le premier ministre, ces mesures ne « viendront pas aggraver le déficit public mais font partie des choix à faire ». Il n’y aura « pas d’impôt supplémentaire, pas de nouveau prélèvement », a insisté le chef du gouvernement : « c’est simplement à l’intérieur du budget que nous faisons des choix », a-t-il expliqué.

Nous aimerions le croire. Il reste cependant que son crédit auprès de l’opinion française est bien diminué depuis qu’il a  annoncé une hausse de la TVA, quelques temps seulement après avoir promis qu’elle n’aurait jamais lieu sous le gouvernement socialiste. Si les socialistes sont idéologiquement fans de l’impôt, il reste que la TVA est un impôt indirect qui impacte en revanche directement le caddie de la ménagère, asphyxiant ainsi les classes moyennes et les couches les plus populaires. Et ça, c’est peut être être une mesure socialiste, mais sûrement pas sociale… Souvenez-vous !

Les ravages de la parité (et du féminisme)

Pendant que le peuple souffre et la France disparaît, on s’amuse au Sénat.
Les débats d’inspiration féministe (en l’occurrence ici sur la parité, que Valls veut étendre), menés par la gauche puis toujours validés par la droite, donnent de drôles de spectacles.

Telle cette sénatrice PS, peut-être arrivé là grâce à la parité, qui se comporte comme une maîtresse d’école en mal d’autorité, parano et sans humour, et pour qui le mot « nana » est une injure misogyne beauf…

« Parrainage citoyen » des candidats à la présidentielle : Hollande renonce !

François Hollande avait exprimé le souhait, durant la campagne présidentielle, de remplacer le parrainage des candidats par 500 élus par un « parrainage citoyen » : une idée qui avait été reprise ensuite par la commission Jospin sur la rénovation de la vie politique. Celle-ci proposait de fixer le seuil des parrainages à 150.000, confiant aux préfets le soin de comptabiliser et de vérifier la légalité des signatures.

Hé bien le chef de l’État vient d’oublier hier le souhait qu’il avait publiquement manifesté : en recevant les vœux du Conseil constitutionnel à l’Elysée, François Hollande a annoncé hier qu’il renonçait finalement à instaurer « un parrainage citoyen » pour les candidats à la présidentielle, la concertation des partis l’ayant « finalement convaincu de la difficulté de sa mise en œuvre« .

En attendant, la démocratie qu’ils prétendent vouloir défendre à tout bout de champ sera la première victime de ce renoncement. Car si au départ, le parrainage n’est qu’une démarche administrative qui vise à écarter les candidatures farfelues, il reste que cette démarche revêt toujours un caractère politique, en raison des enjeux et des intérêts en présence, des pressions exercées sur les élus : or ces élus, à la volonté desquels est suspendue l’identité des candidats qui resteront en lice, ne sont aucunement représentatifs du peuple d’où ils sont normalement issus, la proportionnelle étant étrangère aux modes de scrutin. Si peu représentatifs que 20% de l’électorat n’est pas représenté à l’Assemblée Nationale ; si peu représentatifs que lorsque 92% des parlementaires sont favorables au traité constitutionnel, 55 % des Français le rejettent !

Et cette soi disante « représentation nationale », soumise à la pression politique, doit décider qui peut ou non se présenter ou non à la présidentielle ! On sait en effet quel mal les candidats de la droite nationale ont toujours eu pour faire valider leur candidature auprès des maires, quoiqu’ils représentent 20% des électeurs : peut-on pourtant parler de candidature fantaisiste dans un cas pareil ?

PS : le parti le plus riche de France !

La Commission nationale des comptes de campagnes et de financements politiques (CNCCFP) a publié récemment certains chiffres : selon ces chiffres, le parti socialiste aurait fait 59,8 millions de recettes en 2011… ce qui fait de lui le parti le plus riche de France ! L’UMP le suit d’assez près avec la somme tout aussi astronomique de 53,1 millions de recettes.

François Hollande, le président qui disait ne pas aimer les riches, doit sûrement être mal à l’aise de savoir le PS, parti le plus riche de France. Ci-dessous, François Hollande déclare en effet : « Je n’aime pas les riches, j’en conviens ».


"Je n'aime pas les riches" F-Hollande par dindong

Hollande lèche les babouches mais néglige les chrétiens

François Hollande avait adressé fin août un message de vœux aux musulmans de France, à l’occasion de la fin du Ramadan :

« A l’occasion de l’Aïd-el-Fitr, qui consacre la fin du mois de Ramadan, j’adresse tous mes voeux de bonheur, de santé et de réussite aux musulmans de France », avait écrit le président dans un communiqué donné par l’Elysée.

La Toussaint est passée et, pour les chrétiens, rien.

Noël est passé et toujours rien.

Évidemment, nous n’avons que faire des vœux d’un tel individu et n’attendons rien de bon de lui, mais on peut noter que pour Hollande et sa clique, les musulmans méritent d’être flattés (par souci idéologique ou calcul électoral), tandis que dans ce pays, les chrétiens ne sont même plus un enjeu pour les démagogues.

Jean-Marc Ayrault viole sa promesse et augmente la TVA

Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a présenté ce mardi matin son Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi. Entre autres mesures, inspirées du rapport Gallois, figure une hausse de la TVA. Un impôt indirect qui impacte immédiatement le caddie de la ménagère et le quotidien des classes moyennes et des couches populaires. Assurément une mesure sociale, pour un premier ministre socialiste.

Mais le plus scandaleux, et qui le discrédite totalement, c’est qu’il avait promis que le quinquennat socialiste ne procèderait à aucune hausse de la TVA. C’était il y a six semaines, face à Nathalie Kosciusko-Morizet, dans l’émission « Des Paroles et des Actes », sur France 2. Il affirme alors, face à son adversaire, à propos de la TVA :  « Nous l’avons supprimée, et nous n’avons pas l’intention d’augmenter la TVA comme vous l’aviez fait parce que c’est une mesure injuste (…). Nous ne ferons pas l’erreur que vous avez faite« . C’est à la fin de l’émission :


Débat Ayrault-NKM des paroles et des actes par warrant

Bigeard poursuivi par la haine communiste

Un lecteur, militaire, nous écrit :

A deux semaines du dernier voyage du Général Bigeard au Mémorial des guerres en Indochine à Fréjus, des intellectuels de gauche et autres militants associatifs redoublent d’efforts pour faire avorter le projet.
Ainsi de ce collectif opposé à tout hommage à Bigeard, « 
baroudeur sans principes, utilisant des méthodes souvent ignobles« .
Intéressants qualificatifs de la part de communistes qui n’ont jamais suivi les guerres auxquelles le général a participé, sinon pour soutenir les ennemis de la France !
Ces vierges effarouchées devraient étudier d’un peu plus près les nombreux ouvrages publiés sans parti pris sur ces conflits.
Ils y trouveraient plus d’une preuve de l’estime réelle que portait Bigeard à ses adversaires (ceux qui se battaient régulièrement), et de l’admiration qu’il suscitait bien souvent de leur part à son endroit !
D’Indochine en Algérie, « Bruno » a été un excellent chef de guerre, authentiquement patriote et fidèle à des principes moraux qu’on aimerait retrouver chez les fameux gardiens de la bien-pensance gauchiste.
Le soldat Bigeard mérite amplement cet hommage (il reposera au milieu de 22000 compagnons d’armes), de par sa valeur et son engagement, même si nous ne cautionnons pas sa participation au gouvernement Chirac en 1974.

Ni son aplatventrisme devant le traître De Gaulle.

Sarkozy entendu cette semaine par la justice

L’ancien président sera notamment interrogé sur une visite qu’il aurait rendue au domicile des Bettencourt, en 2007,  durant la campagne présidentielle d’entre-deux-tours. Le juge d’instruction Gentil a en effet convoqué Nicolas Sarkozy à Bordeaux, afin de savoir si Liliane Bettencourt a contribué au financement de sa campagne, il y a cinq ans.

Décidément, que deux chefs d’État successifs soient compromis dans des affaires de corruption, voilà qui en dit assez long sur l’état du pays. Le malheur serait que la chose se banalise et que les français s’habituent, que leur capacité d’indignation s’estompe par lassitude…

Nétanyahou « satisfait » de son homme de main Hollande

Après sa visite en France, le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou a, selon son entourage, trouvé Hollande «exceptionnellement ouvert et réceptif» et «prêt à écouter» (ses ordres ?).

« La «continuité» entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, sur les deux questions prioritaires de la lutte contre l’antisémitisme et du dossier nucléaire iranien a été particulièrement appréciée par le chef du gouvernement israélien. » selon Le Figaro, qui reconnait lui-même que les présidents passent, mais l’alignement idéologiquement est le même.

Le deuxième objectif de Nétanyahou était en effet de mobiliser la France dans son combat contre l’Iran. Pour « éviter que l’Iran n’acquière l’arme nucléaire », comme si le fait qu’Israël possède de nombreuses têtes nucléaires n’était pas au moins aussi inquiétant.

C’est sur cette question qu’a porté l’essentiel des entretiens. «Je veux saluer la France pour la fermeté de sa politique à l’égard de l’Iran» [qui se fait au détriment de l’économie française, NDCI] a déclaré publiquement le chef du gouvernement israélien à l’issue de son entretien à l’Élysée, mercredi. Nétanyahou n’a pas précisé ses intentions, mais il a souligné qu’il fallait arrêter l’Iran avant qu’il ne soit trop tard, c’est-à-dire avant que Téhéran ne dispose de suffisamment d’uranium enrichi pour pouvoir fabriquer une bombe. Telle est la «ligne rouge» israélienne. «Nous sommes très près» de ce moment-là, dit-on dans l’entourage du chef de gouvernement. (source)

Alors que trop de Français connaissent la précarité et subissent la criminalité étrangère, la priorité de la République reste (on aurait envie de dire « logiquement ») « la lutte contre l’antisémitisme » et la participation à la ratonnade israélienne contre l’Iran, à qui l’on fait en réalité aussi grief de lâcher régulièrement des « bombes atomiques » sur la version officielle -quoique contestée- de la « Shoah ».

Marie-France Garaud : « La France n’est plus un Etat »

Marie-France Garaud, présidente de l’Institut International de Géopolitique, était l’invitée de Frédéric Taddéi sur France 3, dans l’émission Ce soir ou jamais. Elle y dénonce la disparition de l’Etat et de ses fonctions régaliennes de façon bienvenue, tandis que le jeune loup de l’UMP essaie de se faire passer pour un « patriote » (sic) :