Les jeunes Français seraient les n°1 de la défonce…

Pays en ruine, déchristianisation, société de consommation et esprit de jouissance, les causes sont probablement nombreuses. Toujours est-il que la jeunesse de notre pays serait la plus droguée d’Europe…

Alors que près de 15% des jeunes européens ont déjà fumé au cours de l’année, les Français, eux, sont 22%. Près de 41.5% des 17 ans ont déjà fumé du cannabis dans leur vie et 6% en font une consommation régulière.
Environ 4% des 15-16 ans ont déjà pris de la cocaïne et des amphétamines. Au rayon ecstasy, 3% d’entre eux ont succombé. Si l’âge moyen pour prendre son premier rail est de 22 ans en Europe, près de 3% des jeunes français de 17 ans en ont déjà pris. Soit trois fois plus qu’il y a dix ans. Pourquoi ce boom de la cocaïne chez les lycéens ?Ils suivent juste la tendance générale d’une banalisation de cette drogue due à une offre plus grande et des prix plus bas, justifie le rapport de l’OFDT.

Source : Le Figaro étudiant

Les enfants ne reconnaissent plus les légumes….

A force de manger des plats préparés, des frites et autres pizzas, les enfants ne connaissent même plus le goût et la « couleur » des aliments. Selon une étude menée sur 910 enfants dans la région PACA par l’Association Santé Environnement France (Asef) :
– 87% des enfants interrogés ignorent ce qu’est une betterave,
– 20% d’entre eux ne connaissent pas les abricots,
– Seulement 28% de l’échantillon ont une idée de la composition des pâtes,
– 40% ne savent pas d’où proviennent chips, le jambon et les nuggets….

Agroalimentaire : la viande fabriquée en laboratoire…

Pour justifier de produire de la viande en labo de manière totalement artificielle, les promoteurs de cette folie ne font que reprendre les arguments utilisés pour vendre les OGM.

Les arguments en faveur de ce savoir-faire ne manquent pas. On parle de réduction de la consommation d’eau et d’énergie dans le monde, de réduction des émissions de méthane et d’autres gaz à effet de serre, sans parler de l’arrêt de l’abattage des bovins.

La technique de production est la suivante : le bifteck est assemblé à partir de morceaux de tissu musculaire cultivés en laboratoire…
Konstantine Lyssenko, rédacteur en chef du magazine Agrarnoe obozrenie (Revue agraire) ose ajouter :

« La situation est telle que les gens seront bientôt obligés de s’habituer au fait qu’ils recevront des protéines d’origine artificielle »

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Ce que valent et ce que pèsent nos aliments…

Pour accroître leurs marges sans faire fuir leurs clients, les commerçants misent désormais sur la balance : en jouant sur le poids des articles vendus, nombre d’entre eux parviennent à alourdir la facture sans que la différence soit réellement perceptible pour le consommateur. C’est ce qu’on appelle l’inflation masquée.

Plusieurs techniques ont aujourd’hui cours. Certains fabricants allègent le contenu de leurs produits sans modifier le prix, d’autres utilisent des additifs controversés pour retenir l’eau contenue dans les aliments, ou bien en modifient la composition. Enquête :

Le coca-cola lui a fait perdre toutes ses dents !

« Un Australien de 25 ans du nom de William Kennewell a perdu toutes ses dents et se voit obligé de porter un dentier. La cause ? Une consommation effrénée de Coca-Cola : de six à huit litres par jour pendant trois ans ! C’est ce que rapporte le site australien Adelaide Now.

Les Australiens ont décidément une attitude passionnée et violente avec le Coca-Cola, ce célèbre soda gazeux apparu en 1886, et dont un milliard et demi de bouteilles se vendent chaque jour dans le monde. On se souvient qu’en février 2010 Natasha Harris, une Australienne de 30 ans, est décédée prématurément d’une crise cardiaque après avoir bu huit à dix litres de Coca-Cola par jour. Une overdose ? « Probable » selon le rapport médical, qui statuait que c’est la consommation excessive de cette boisson qui aurait « vraisemblablement » entraîné sa mort.
Aujourd’hui, si l’on en croit le site Adelaide Now, c’est un Australien du nom deWilliam Kennewell, âgé de seulement 25 ans et habitant de Salisbury, qui connaît de sérieux déboires à cause du Coca-Cola. La boisson ne lui a certes pas été fatale, mais il se voit déjà obligé de porter un dentier. Et ce en raison d’une consommation de Coca de six à huit litres par jour et pendant trois ans… qui lui a donc coûté ses dents. L’intéressé s’explique : « J’ai commencé parceque je n’aimais pas beaucoup l’eau. Et travaillant dans l’industrie hôtelière, j’avais toujours du Coca sous la main ».

William avait certes été averti par son dentiste des graves conséquences que cette habitude hors normes pouvait engendrer, mais il n’en a pas tenu compte. A présent, il le regrette vivement : « On m’a dit qu’une personne normale possédait 32 dents, mais il ne m’en restait déjà plus que 13 et on a dû me les retirer. Et ce n’est pas tout : Mes dents étaient dans un état de décomposition si avancée que cela m’a provoqué un empoisonnement sanguin. Mais ma santé s’est améliorée avec la prothèse ». Selon une étude effectuée par le Centre de recherche australien sur la santé buccale, 56% des 16 800 Australiens de 5 à 16 ans boivent au moins une boisson sucrée (soda ou jus de fruit) par jour. »

Lu ici

Vaccins : mensonges et dangers

Nous évoquons parfois les dangers méconnus (et maintenus cachés) des vaccinations.

L’industrie pharmaceutique, puissant lobby, pousse (et parfois contraint) aux vaccinations superflues, avec des conséquences trop souvent dramatiques.

Une émission de Radio Courtoisie (encore audible ici) était consacrée récemment à ce thème, avec pour invités Michel Georget pour Vaccinations, les vérités indésirables et Sylvie Simon, auteur de Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins.

Un air de fin du monde en Russie

Ce vendredi, une météorite s’est disloquée au-dessus de la Russie et ses morceaux ont causé des dégâts notables (faisant voler en éclat de nombreuses fenêtres suite à l’onde de choc). Pis, le nombre de blessés (un millier) est un record pour ce genre d’événement.

Pepsi et le cannibalisme

[un article inédit du journaliste Laurent Glauzy]

Le 28 mai 2011, des centaines d’organisations de droit à la vie encourageaient au boycott des produits Pepsi, grand groupe américain qui a formé un partenariat avec Senomyx. Cette société, qui a bâti sa fortune dans la biotechnologie, utilise des cellules de bébés avortés pour la recherche et l’élaboration d’exhausteurs de goût, au profit de l’industrie alimentaire.

Le site de défense pro-vie Life-Site News déclare que de grands consortiums de l’industrie alimentaire comme Pepsi et Nestlé collaborent au savoir-faire de Senomyx.

Aux États-Unis, les groupes pro-vie accusent Senomyx et les grandes sociétés qui lui sont affiliées de pratiquer le cannibalisme. Ainsi, Senomyx fait de la mort de l’enfant à naître un secteur particulièrement porteur.

D’après Life-Site News, la recherche et le développement financier de Senomyx sont soutenus par Pepsi, qui a acheté la licence d’utilisation du HEK 293, un exhausteur de goût utilisé pour sa production de boissons gazeuses.

Debi Vinnedge, présidente de l’organisation américaine pro-vie CGL (Children of God for Life), dénonce depuis des années l’utilisation de la chair de bébés avortés pour la production de gammes de cosmétiques et de médicaments. Elle affirme que Semonyx et Pepsi cachent au consommateur que le HEK 293 contient ces mêmes cellules embryonnaires. Debi Vinnedge argumente que l’Occident plagie les pratiques barbares de la Chine communiste qui, à partir de ses origines dictatoriales, donne naissance à un nouveau type de capitalisme conquérant et dépourvu de toute morale.

Le 5 août 2011, un documentaire de la chaîne sud-coréenne SBS accuse les entreprises pharmaceutiques chinoises de fabriquer des pilules aphrodisiaques à partir de chair de bébés morts. Les cliniques chinoises rentabilisent les bébés morts à la suite d’une fausse couche ou d’un avortement pour faire de l’argent avec de grands groupes pharmaceutiques.
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Lourdement handicapée à cause de la pilule : combien de cas non révélés ?

Toute considération morale mise à part, rappelons que la « pilule » contraceptive (qui joue parfois le terrible rôle d’abortif sans que les femmes le sachent), est désastreuse pour la santé de celles qui la prennent : changements hormonaux avec diverses conséquences, troubles psychiques, cancers, AVC, stérilité à terme… Sans parler du mélange pilule/tabac d’une nocivité extrême. Les conséquences sont aussi néfastes pour les hommes qui consomment à leur insu le contenu des pilules qui se retrouvent dans les eaux usées.

Les médias ont parlé ces jours-ci du cas d’une jeune fille victime d’un AVC suite à la prise de la pilule, et qui réclame justice :

« Marion la jolie, Marion la brillante élève de classe préparatoire au lycée Montaigne de Bordeaux, vient de se frotter aux concours des grandes écoles de commerce. Quand, soudain, elle s’effondre, terrassée par un AVC massif. Un oedème se développe dans son cerveau, elle plonge dans un coma dont elle se réveille, trois jours plus tard, hémiplégique et aphasique. […] La nouvelle Marion est handicapée à 65 %, épileptique, sa main droite ne lui est plus d’aucune utilité (elle était droitière), sa marche et son élocution sont extrêmement laborieuses. »

La pilule c’est le progrès et la libération de la femme parait-il !

Les poissons d’eau douce immangeables

Pour rappel, en 2012, l’Agence nationale de Sécurité sanitaire conseille de limiter la consommation de poisson d’eau douce à 2 fois /mois, voire une fois/mois pour les plus fragiles. Ce qui est peu connu du grand public.

En effet, au moins les grands cours d’eau français sont contaminés par les PCB (polychlorobiphényles, une substance toxique), un héritage des industrielles « Trente glorieuses » pas vraiment biodégradable…

Un reportage de France 2, pour une fois utile, refait le point en abordant le sujet sous différents angles. Il est encore visible ici.

Santé publique menacée, environnement dégradé, un tableau bien noir qui s’applique aussi, hélas à bien d’autres polluants.

L’Espagne victime d’invasion exotique

Quand « ils sont adultes, ils deviennent agressifs et sentent mauvais » explique à leur sujet Francisco José Garcia, un biologiste de Madrid qui travaille pour un programme d’éradication…

Les ratons-laveurs venus d’Amérique se reproduisent en effet à vitesse grand V et menacent sérieusement la biodiversité locale.
Un phénomène de mode consistant à offrir et adopter de jeunes et mignons ratons-laveurs, popularisés par les téléfilms US, fait qu’ils sont souvent relâchés dans la nature par leur propriétaire, après avoir grandis.

Le commerce et la possession de ratons laveurs sont pourtant interdits : l’espèce est inscrite au catalogue national des « espèces exotiques invasives » (probablement incomplet) depuis 2011.
Omnivores et voraces, s’adaptant facilement à leur environnement, ces animaux venus de loin menacent directement d’autres espèces autochtones et sont par ailleurs porteurs de maladies dangereuses.
En Allemagne, les ratons-laveurs sont déjà 400 000…

Le professeur Beljanksi, présenté par Jean-Paul Le Perlier

Jean-Paul Le Perlier, journaliste, conférencier et essayiste, présente l’œuvre du Dr Beljanski, biochimiste et biologiste, qui a travaillé pendant 28 ans à l’Institut Pasteur de Paris, dix ans à la Faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry et dix ans dans un laboratoire privé. Il a consacré de très longues années à l’étude des mécanismes de régulation cellulaire, dans la cellule saine et dans la cellule cancéreuse.
L’utilisation des produits développés par Mirko Beljanski en Europe a valu au chercheur d’être l’objet d’une véritable persécution relatée dans un ouvrage « Mirko Beljanski ou la chronique d’une Fatwa scientifique ». Le chemin de croix du chercheur a eu raison de sa santé.
Suite à l’arrêt de la production des produits en 1996, de nombreux malades ont en vain défilé dans les rues de Paris et de Lyon pour réclamer l’accès libre aux produits « efficaces et non toxiques » mis au point par Mirko Beljanski.
Enfin l’affaire fut portée devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) et le 7 Février 2002, un arrêt rendu à l’unanimité prononça la condamnation de la France. Il est intitulé: « Beljanski contre France ».

La récente sortie d’un livre aux États-Unis, témoignant de l’inétrêt des médecins et cherchers américains pour ces découvertes, relance le débat.

Industrie agro-alimentaire : du « fromage » sans lait…

Il semblerait que « Pizza Hut » se serve de cette mixture dans ses pizzas. L’industrie agro-alimentaire ne sait plus quoi inventer pour baisser le coût de production au mépris de notre santé (et du goût).

Lu sur Ouest-France : «Vous préférez quoi, dans votre Quatre-saisons ? De la mozzarella ou du Lygomme ACH Optimum ? La première, c’est du fromage. Le second, non.

Dans le Lygomme-etc., baptisé « système fonctionnel » par son créateur, Cargill, pas une trace de produit laitier. Pas une. Le géant américain aux 160 000 salariés dans cinquante-huit pays, spécialiste des céréales, des huiles et des ingrédients alimentaires, y met trois sortes d’amidons, de l’épaississant, un gélifiant…

Pas très ragoûtant ? Peut-être, mais c’est encore moins cher ¯ jusqu’à 60 % ¯ que le « fromage analogue » qui inonde déjà les pizzas industrielles avec ses petits 15% de protéines de lait. Et quasiment donné, si l’on compare avec une bonne vieille mozzarella : jusqu’à 200 % d’économie.

« Fromage » sans lait, le petit dernier de Cargill, échappe « à la volatilité » des prix des protéines de lait. Tout en gardant l’apparence, le goût et la texture de l’analogue. Ce qui n’est pas forcément un atout.

Et puis, le Lygomme-etc. est bon pour la santé : moins de calories, de matières grasses… Il a tout pour allécher les végétaliens puisqu’il n’a pas d’ingrédients d’origine animale. Peut être exempt d’allergènes, labellisé, au choix, halal ou kasher. Bref, il est plus fort que le roquefort.

« Le produit rappelle les fromages traditionnels à pâte dure tels que le gouda, le cheddar ou le gruyère », ose Cargill dans sa présentation. Mais le client ? « Il y trouve le même plaisir et la même satisfaction. » Que demander de plus ? Une bonne vieille mozzarella. »