Les goyim vivent-ils moins longtemps ? – par Laurent Glauzy

Pour étayer ses affirmations sur le bien-être des populations et sur les soi-disant avancées technologiques, le corps médical et les médias affirment que la durée de vie ne cesse de croître. Pouvons-nous en douter ?

Des documents peu connus par les magazines de santé et de médecine attestent qu’à la fin du XVIIIe et au XIXe siècle, de nombreux hommes ont atteint des âges aujourd’hui inégalés.

À cet effet, l’Abbé Fulcran Vigouroux (1837-1915) (Dictionnaires de la Bible, 1895, article Longévité) rapporte : en Angleterre, le paysan Effingham, mourut à 144 ans, un autre paysan Thomas Parre est mort à 152 ans ;
Continuer la lecture de « Les goyim vivent-ils moins longtemps ? – par Laurent Glauzy »

Semer sa propre récolte : bientôt un délit ?

« La chasse aux contrefaçons va-t-elle s’étendre jusque dans les champs ? Semer sa propre récolte est pourtant un acte perpétué depuis des millénaires dans l’agriculture. Seulement voilà, le Sénat a adopté le 20 novembre dernier une proposition de loi visant à renforcer la lutte contre les contrefaçons. Et parmi les produits ciblés, on trouve les semences agricoles. Les paysans qui resèment pourraient donc s’exposer à de lourdes amendes….
[…]
Aujourd’hui, la preuve de l’utilisation légale d’une semence doit être apportée par le semencier mais avec cette proposition de loi, ce serait l’inverse. Les agriculteurs devront prouver qu’ils sont en règle à chaque fois que l’Etat ou qu’un semencier leur demandera des comptes. » (source et reportage)

Le puissant et nocif lobby agroalimentaire travaille dur en ce moment !

Importation de mœurs étrangères : la souffrance animale

Alors que tous les porte-paroles de l’écologie officielle s’époumonent contre le racisme, l’antisémitisme et le réveil de la bête immonde dont le ventre est encore fécond, ils refusent de voir la conséquence de l’importation massive de populations étrangères à notre continent.

Dernier exemple en date : la sordide affaire d’abattoir clandestin à La Courneuve.

Il y a une semaine, une opération conjointe de la police et des services vétérinaires a démantelé cette filière de production de viande à destination des restaurants chinois de la région.

Les pauvres bêtes «étaient entassés sans eau ni nourriture, dans la pénombre. Le poste d’abattage était couvert de sang, du sol au plafond», d’après Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigite Bardot qui a pris en charge les animaux.
Continuer la lecture de « Importation de mÅ“urs étrangères : la souffrance animale »

Etude chinoise : l’avortement accroît fortement les probabilités de cancer du sein.

enceinteCoup de tonnerre dans le milieu médical, mais évidemment non relayé par les médias français en pleine promotion de la mise à mort des enfants à naître.
Selon une méta-analyse d’une ampleur jamais atteinte, les scientifiques chinois ont conclu que des « millions et des millions de femmes en Asie » ont été ainsi affectées par une opération présentée comme « sans danger » pour elles.

La propagande présentant l’avortement comme sans danger pour la future mère est aussi montrée du doigt.

La méta-analyse s’est en fait attachée à recouper et à mettre en corrélation 36 études du lien entre avortement et cancer du sein réalisées en Asie.

Les conclusions sont accablantes.

Pour une femme ayant subi un avortement, le risque de développer une telle tumeur est 44 % plus important que chez celles n’ayant jamais avorté.

Pour deux avortements, le risque s’accroît de 76 %

Pour trois avortements, il augmente de 89 %…

Source Jeanne Smits

Radioactivité : la France n’a rien à envier au Japon…

Depuis des années, sans qu’un mois soit épargné, des accidents à caractère radioactif se produisent sur le territoire français.

Le 31 octobre dernier – et sans que la presse du Système ne s’en émeuve particulièrement – a eu lieu un des plus graves accidents « nucléaire » : une fuite de 30kg d’oxyde d’uranium radioactifs sur le site de Tricastin, géré par Areva.

Continuer la lecture de « Radioactivité : la France n’a rien à envier au Japon… »

Après le scandale du saumon norvégien, le « Frankenfish » canadien

Il sera bientôt difficile de manger du poisson sain…

Nous évoquions récemment le scandale du saumon norvégien.

Et voilà que maintenant, le Canada vient d’autoriser la production d’œufs de saumon transgénique grossissant « deux fois plus vite » que le saumon naturel.

Jeudi dernier, Terra Eco faisait état de l’autorisation du gouvernement canadien de l’autorisation de production et d’exportation de 100 000 œufs par an. C’est le premier obstacle qui est franchi.

Continuer la lecture de « Après le scandale du saumon norvégien, le « Frankenfish » canadien »

On n’arrête pas le progrès : la fin des piqûres !

Ce sont nos chères petites têtes blondes qui vont être heureuse : la fin des piqûres est pour demain.

L’objet du miracle : la nanotechnologie.

La bonne nouvelle est arrivée par l’intermédiaire de la revue Science Translational Medicine du 27 novembre 2013 : Une équipe de chercheurs américains a trouvé le moyen de transmettre de l’insuline à une souris par voie orale.

Pour ce faire, ils ses sont inspirés du mode d’absorption des anticorps maternels par les nourrissons, en copiant la signalétique moléculaire qui provoque l’entrée dans les cellules de l’intestin, et ensuite le passage dans le ou les systèmes circulatoires.
Il va donc être possible, à moyen terme, d’avaler les vaccins, et les traitements que la médecine moderne nous injecte pour le moment.

Le revers de la médaille, c’est le caractère totalement intrusif de la méthode.
Les nanorobots pourront non seulement transporter des médicaments, mais aussi tout ce que l’imagination des techniciens voudra bien y mettre.

Et il ne faut pas être très soupçonneux pour se douter d’où nous conduisent ces découvertes.

Demain, vous pourrez laisser votre portable chez vous sans soucis, vous aurez mangé vos traceurs au petit déjeuner.

Le VIH est homophobe !

Une récente étude sur la population atteinte du « virus » du SIDA prouve ce que le bon sens populaire sait depuis plus de trente ans : les malades du syndrome sont et restent avant tout les hommes aux pratiques homosexuelles.

Car oui, les chiffres le prouvent, et même Libération est obligé de s’incliner.

La maladie est marginale chez les hétérosexuels, même chez ceux se vautrant dans la luxure.

Elle est « jugulée chez les migrants » (sic).

Mais elle progresse chez les homosexuels.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que « les pratiques à risque continuent, voire augmentent chez les gays. Elles ont lieu aussi bien à Paris qu’en province, chez les jeunes que chez les vieux », selon Annie Velter, de l’Institut de Veille Sanitaire.

Le problème n’est donc pas la prévention, ou le soin, mais les mœurs mêmes de la dite communauté homosexuelle.

Tout ne se vaut donc pas, et il n’y en a qu’une seule conclusion bien terrible à en tirer :

La réalité elle-même est « homophobe ».

« On peut guérir de l’autisme ! » (Dr Tinus Smits) – par Laurent Glauzy

Un enfant sur cent naît autiste ! Cette vraie pandémie atteint dans certains États des chiffres alarmants d’un enfant sur quatre-vingt, voire sur cinquante naissances. L’autisme est un désordre neurologique du développement. Considéré comme « incurable » par la médecine allopathique et conventionnelle, elle plonge les parents dans le plus grand désarroi.

Tinus Smits, médecin néerlandais, décédé en 2010 à l’âge de soixante-sept ans, est l’auteur du livre Autisme is te genezen (l’autisme est à guérir) publié en italien sous le titre Autismo, oltre la disperazione (Autisme, au-delà désespoir) et en anglais, Autism, beyond despair. Cet ouvrage, qui contredit toutes les affirmations de la médecine traditionnelle à la solde des laboratoires et des puissances financières, au plus grand mépris de la santé, n’a pas été traduit en français. Pourtant, les explications du Dr Tinus Smits qui fonde son argumentation sur le traitement de plus de trois cents patients atteints d’autisme constitue un réel espoir. Ce médecin spécialisé dans l’homéopathie, parle sans demi-terme de guérison.

Le présent article est un entretien posthume réalisé à partir du best-seller du Dr Tinus Smits Autisme is te genezen et du site officiel géré par des collègues médecins qui, encore aujourd’hui, défendent et s’inspirent de ses travaux (cease-therapy.com), constituant une réelle voie d’espoir.

Continuer la lecture de « Â« On peut guérir de l’autisme ! » (Dr Tinus Smits) – par Laurent Glauzy »

Nouvelle cible du gouvernement : les terrains non bâtis

L’objectif de nos gouvernements « verts » ? Bétonner la France et faire disparaître le vert… Pour le bien du Capitalisme et le confort des immigrés…

Dans le cadre de la loi de finance 2014, un amendement prévoit la majoration de la taxe foncière sur les terrains non bâtis situés dans les « zones de tension immobilière ».

Dans les faits, cela signifie une explosion de cette taxe sur tous les terrains, constructibles ou non, n’étant pas occupés par un bâtiment.

Selon un responsable syndical, 28 départements et 1 151 communes souvent péri-urbaines sont concernées.

Malgré une reculade du gouvernement suite à la revendication des bonnets rouges niçois, seuls les agriculteurs professionnels seront exonérés. Mais pas le Français moyen.

Pour lui, dans la loi de finance actuelle, une majoration de 25% de la de la valeur locative cadastrale, qui sert d’assiette à la taxe sur les terrains non bâtis, et de 5 euros par mètre carré à partir de 2014 est prévue.

Dans le cas d’une propriété de 2 km², cela signifie un passage de 400 € de taxe à 12 000 € à payer CHAQUE ANNEE.

Ainsi, il va devenir impossible pour nombre de Français qui se sont lourdement endettés pour acquérir des propriétés avec terrain de les conserver.

Outre la spoliation directe, cette mesure va avoir un second effet tout aussi pervers : dans toutes les zones concernées, seuls les agriculteurs dûment enregistrés pourront conserver suffisamment de terres pour avoir un jardin.

On peut ainsi voir que cette nouvelle invention fiscale du gouvernement dévoile un autre objectif tout aussi préoccupant : la fin de la possibilité d’indépendance alimentaire des Français.

A mettre en lien avec cette décision de la Cour de Justice de l’Union européenne sur les semences traditionnelles…

Alexandre C.

Source

Ariège : un village médiéval rasé pour installer… des éoliennes

Sur les hauteurs de la commune de Bouriège, des archéologues dénoncent la destruction partielle d’un ancien village médiéval pour y ériger six éoliennes (voir à ce sujet le livre L’imposture : pourquoi l’éolien est un danger pour la France, de Jean-Louis Butré).

La ligne de crête est parfaitement dégagée, la vue magnifique sur le Madres, le puech de Bugarach, le Saint-Barthélemy et le village de Bouriège en contrebas. Entre quelques chênes verts et des bouquets de genêts, se dressent plusieurs murs, vestiges d’une ancienne église romane datant certainement des XIe et XIIe siècles. Et puis, à une dizaine de mètres de là, dans un vaste carré, un amas de pierres dispersées s’étale sur le sol.

A cet endroit, il y a quelques semaines encore, on trouvait ce que l’archéologue Dominique Baudreu appelle « un véritable village médiéval fossilisé, avec des microreliefs qui marquaient les emplacements des rues et des maisons ». Mais ça, c’était avant que ne passe un bulldozer. Connu depuis le XIIe siècle, le village médiéval de Saint-Pierre-le-Clair, perché à 579 mètres d’altitude, a été en partie rasé à la suite de travaux de nivellement. A sa place, juste à côté des ruines de l’église, se dresseront en effet
Continuer la lecture de « Ariège : un village médiéval rasé pour installer… des éoliennes »

Agroalimentaire : des calamars issus d’anus de cochon ?

Calamar en rondelles

La députée néerlandaise au parlement européen Esther de Lange s’est un peu penchée sur les pratiques fumeuses de l’industrie agro-alimentaire en Union européenne.
Interrogée par la presse néerlandaise, elle se dit « médusée » par ce qu’elle a vu lors de son enquête.

Selon elle, de nombreux calamars qui atterrissent sur les tables n’auraient jamais vu la mer.
Et pour cause, ils sont issus d’anus de cochons.
On a beau dire tout est bon dans le cochon, c’est quand même gênant.

Autre exemple récolté par l’eurodéputée : il y a quelques années, du sel d’épandage s’est retrouvé dans la chaîne alimentaire en Pologne puis dans d’autres pays. Le sel marin n’avait pas vu la mer non plus.

Deux exemples qui en disent long sur les fraudes dans le secteur alimentaire, donc.

Source

Un apiculteur landais aurait trouvé l’arme fatale contre les frelons asiatiques

« Depuis dix ans qu’il est implanté en France, le frelon asiatique fait maintenant partie de la biodiversité malgré tout ce qui a été mis en œuvre pour l’éradiquer. Il a conquis plus de soixante départements et a été signalé en Belgique, en Espagne et au Portugal et n’a pas fini de faire parler de lui. L’intérêt qu’il porte aux abeilles, source abondante de protéines, menace l’apiculture de loisirs. Toutefois, selon Francis Ithurburu, un prédateur peut lui être opposé.

Ce passionné d’apiculture s’est penché sur le frelon asiatique et l’a étudié de près. Jetant un coup d’œil en arrière, il s’est souvenu que dans la cour de nos grands-pères, les volailles côtoyaient les ruches. Il a donc tenté l’expérience, sachant de plus que le jeune poulet a grand besoin de protéines pour sa croissance. »

Source et suite

Monsanto: les 10 abominations qui n’ont jamais empêché l’entreprise de continuer à nuire

1. Saccharine

En 1901, John Francis Queeny a fondé la société Monsanto Chemical Works, à St. Louis, Missouri, pour produire des substituts de sucre pour le Coca Cola . Au début des années 70, des études , dont une étude de l’Institut national du cancer Etats-Unis, a révélé que la saccharine provoque le cancer chez les rats et les autres mammifères.

2. BPC (biphényles polychlorés)

Dans les années 20 du siècle dernier, Monsanto a commencé à produire des biphényles polychlorés, un refroidissement des éléments pour les transformateurs électriques, les condensateurs et les moteurs électriques. Un demi-siècle plus tard, « l’Environmental Protection Agency US Environmental » a présenté des preuves que les PCB provoquent le cancer chez les animaux et chez les humains. En 1979, le Congrès américain interdit sa production. La Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants  interdit les PCB dans le monde entier en 2001. En 2003, Monsanto a payé plus de 600 millions d’habitants de Anniston (Alabama) où se trouvait la production de ces produits chimiques, qui ont souffert de graves problèmes de santé comme le cancer, les maladies du foie et des maladies neurologiques. Selon la recherche menée aux États-Unis en 2011, ce produit chimique continue à apparaître dans le sang des femmes enceintes, alors que d’autres études démontreraient un lien entre les PCB et l’autisme.

3. Polystyrène

1941 Monsanto s’intéresse aux emballages en plastique et en synthétique pour la nourriture.

 Dans les années 80, l’Environmental Protection Agency américaine l’a placé comme le cinquième produit chimiques dont la production génère des déchets les plus dangereux.

4. Les armes nucléaires et la bombe nucléaire

Continuer la lecture de « Monsanto: les 10 abominations qui n’ont jamais empêché l’entreprise de continuer à nuire »

L’arnaque de l’« élevé en plein air », ou comment choisir ses oeufs et poulets

« L’histoire de la vache folle et des « farines animales » a tellement écÅ“uré les populations que même les poulets sont aujourd’hui étiquetés « élevés au grain », comme si c’était un gage de qualité.

Mais vous, cher lecteur, qui aviez des grands-parents à la campagne, ou qui avez eu des « leçons de choses » à l’école primaire, vous savez que le poulet n’a jamais été un animal végétarien, et encore moins un consommateur de maïs !

Le snack préféré de la poule, c’est un ver de terre dodu. Donnez-lui la couenne de votre jambon, elle sera au ciel !

Si vous lui en laissez la liberté, votre poule passera sa journée à gratter la terre à la recherche d’asticots, d’insectes. Si elle n’en trouve pas, elle picorera des herbes, des plantes vertes, des petites pousses, des racines, et, occasionnellement seulement, des graines.

C’est ce qu’il faut à une poule pour être heureuse, en bonne santé, et faire de bons Å“ufs. Mais encore faut-il pour cela qu’elle ait l’occasion de sortir !

Poulets d’usine « élevés en plein air »

Tout l’art du marketing est de jouer avec des expressions qui trompent le consommateur, sans en avoir l’air.

Ainsi, au supermarché, vous avez remarqué que vous pouvez acheter des Å“ufs de poules « élevées en plein air ». Sur l’emballage, la photo d’une belle cocotte rousse picorant à son aise dans un pré d’herbe verte et grasse, par temps ensoleillé.

Or, voici ce qu’impose la législation pour avoir droit au label « élevées en plein air » :
« En journée, accès à un parcours extérieur en majeure partie recouvert de végétation (4 m2 de terrain par poule). »

Eh bien je prétends que seul l’expert en marketing détectera le piège caché sous cette formule.
Continuer la lecture de « L’arnaque de l’« élevé en plein air », ou comment choisir ses oeufs et poulets »