Liste des participants à la conférence de Bilderberg 2012,

qui se déroule actuellement en Virginie (Etats-Unis).

Le groupe de Bilderberg (aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg) est un occulte et puissant cénacle mondialiste  qui rassemble annuellement et informellement environ 130 membres, essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. S’y décident les chemins que doit prendre l’humanité pour aller vers le nouvel ordre mondial, notamment dans le domaine géopolitique.

Ci-dessous la liste des Français (ou prétendus tels) qui y participent, puis la liste complète :
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Les « eurobonds » constituent un saut vers un Etat unique européen

Selon Jean Quatremer :

« Pour le chef de l’État, les « eurobonds » ou obligations européennes, c’est-à-dire la mutualisation de tout ou partie des dettes nationales, « font partie de la discussion », car c’est le seul moyen de rassurer définitivement les marchés en leur montrant que l’euro est bel et bien irréversible. Ce débat est devenu central depuis quelques jours avec la énième résurgence de la crise grecque : au lieu d’accumuler des « plans de sauvetage » chaque fois trop tardifs et trop limités, l’idée d’effectuer ce saut majeur vers la fédéralisation de la zone euro est défendue par la Commission (qui a détaillé les différentes options dans un livre vert présenté en novembre dernier) et le Parlement européen et s’est imposée dans la plupart des capitales européennes. […] Le hic est que le gouvernement allemand campe, pour l’instant, sur une ligne dure, soutenue par les Pays-Bas et la Finlande : « les euro-obligations ne contribuent pas à relancer la croissance dans la zone euro », a lancé Angela Merkel à son arrivée. Mais le camp allemand est très loin d’être soudé. Outre l’opposition sociale-démocrate (SPD) et écologiste (Grün), plusieurs voix se sont élevées dans la majorité conservatrice pour que le sujet ne soit pas évacué […]. »

Pour Yves Daoudal :

« Mais la première et fondamentale question n’est pas là. La question est que la mutualisation des dettes fait que l’Union européenne devient ispo facto une fédération, comme par exemple la République fédérale allemande. […] Mais avec la mutualisation de la dette, il ne s’agit plus d’une aide, il s’agit d’un pot commun : celui d’un unique Etat européen.

Source

EuroGendFor : une force paramilitaire au service de l’UE, pour mater les peuples !

Une information grave et inquiétante, même si elle n’est pas très surprenante, suivant la logique européiste que nous subissons.

Pour ne pas devoir utiliser leurs propres armées contre les citoyens du pays, la troupe paramilitaire « Force de gendarmerie européenne » a été fondée en secret – ni vu, ni connu.

En théorie, on peut faire appel à la FGE partout où l’Union européenne voit une crise. C’est fixé ainsi dans le Traité de Velsen qui règle les interventions d’EuroGendFor. La devise dans les armoiries est la suivante : « Lex paciferat » – ce qui peut être traduit par : « Le droit apportera la paix ». Il souligne « le principe du rapport étroit entre l’imposition des principes de droit [la démocratie et ce qui va avec – NDCI] et le rétablissement d’alentours sûrs et protégés ».

Un « conseil de guerre », sous forme de comité interministériel composé des ministres de la Défense et de la Sécurité des pays membres de l’UE participants, décide de la stratégie d’intervention. La troupe peut être mise en marche soit sur demande, soit après décision de l’UE.

Dans l’article 4 du Traité constitutif concernant les missions et les engagements on peut lire : « On peut recourir aux FGE pour protéger les personnes et les biens et maintenir l’ordre en cas de troubles publics. »
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Le mondialisme, par Aymeric Chauprade

Le géopolitologue Aymeric Chauprade (péripéties ici, livres ici) délivre ci-dessous sa vision du mondialisme.

2e partie :
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Même le Figaro le reconnaît

Dans un article vantant la politique économique menée par la Suède depuis quelques décennies, le Figaro lâche :
« Au-delà du satisfecit, économistes et politiques reconnaissent le contexte favorable de l’époque. Il n’y avait pas de crise généralisée en Europe, pas de pression aussi forte des marchés et la Suède avait sa souveraineté monétaire. La petite économie nordique a dévalué sa monnaie, la couronne, de 25 % pour regagner de la compétitivité. »

Merci à Marc.

L’apostasie des scouts belges

La fédération des scouts de Belgique tenait vendredi son assemblée fédérale. Elle a adopté une reformulation du texte de la Loi scoute, qui gomme la référence à Dieu, ainsi qu’un nouveau texte de Promesse, à connotation humaniste et mondialiste.

Quatre des dix articles composant la Loi scoute, qui était en vigueur depuis 1984, ont ainsi été adaptés. Le changement le plus conséquent concerne l’article 4: “Le scout se veut frère de tous, il cherche Dieu”, qui est remplacé par “Le scout est solidaire et est un frère pour tous”. La référence à Dieu est donc supprimée.
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L’Autriche bientôt libérée de l’Union européenne ?

Les Autrichiens, pour une grande partie, souhaiteraient sortir de l’Union européenne. Une « plateforme interpartis pour la sortie de l’UE » s’est constituée et a recueilli plus de 9.000 signatures nécessaires et suffisantes à une « initiative populaire » (qui entrainera un référendum) sur la sortie de l’Union européenne. Voici le communiqué annonçant le dépôt de la demande et les arguments juridiques qui la justifient :

« Les porte-paroles de la plateforme pour la sortie de l’UE ont rapporté le 20 décembre 2011 le dépôt officiel à 9 heures du matin au ministère de l’Intérieur de l’Initiative demandant la sortie de l’UE. La plateforme et les 9266 personnes soutenant officiellement demandent le rétablissement, par la voie démocratique et de droit public, d’une Autriche libre et neutre et d’en finir avec l’adhésion ruineuse à l’UE, qui n’a rien apporté à la population.
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Si la Grèce sort de l’euro, c’est l’Allemagne qui explose en premier

Le débat fait rage chez les économistes allemands. La Bundesbank, qui possède 465 milliards d’euros de créances sur l’Eurosystème, est de plus en plus exposée à l’éclatement de la zone euro.

Lors de la création de l’euro, les pays ont gardé leur banque centrale, bien qu’ils entraient dans une monnaie unique. La structure formée de toutes ces banques centrales et de la Banque centrale européenne (BCE) se nomme « l’Eurosystème ».

Il s’agit d’une bizarrerie, normalement à une monnaie doit correspondre une seule banque centrale. Une étude d’Eric Dor de l’Ieseg met en lumière les effets délétères de cette construction baroque.
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Mobilisation politico-médiatique contre la Hongrie

De Jeanne Smits dans Présent via lesalonbeige.blogs.com de jeudi :

« Est-ce parce qu’on ne pardonne pas à Viktor Orban d’avoir courageusement, à 26 ans, tenu tête au pouvoir communiste qui écrasait son pays que « sa » Hongrie est aujourd’hui sous le coup d’une mobilisation politico-médiatique d’une ampleur ahurissante ? Parce que le Premier ministre hongrois est pro-vie ? Parce que sa Constitution musclée et centrée sur l’identité chrétienne rompt avec le relativisme ambiant ? Un peu de tout cela, sans doute… […] « L’Europe pourrait laisser la Hongrie faire faillite » titrait mardi Le Figaro – un peu vite au regard du contenu de l’interview qui suivait, mais enfin c’est l’idée qui reste. On ne tient pas tête impunément à Bruxelles.

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1er janvier 2012 : 10 ans d’euro

Triste anniversaire. Nous fêtons ce 1er janvier le dixième anniversaire de l’instauration de la monnaie d’occupation européenne.
Celle-ci a, sans surprise, causé de lourds dégâts économiques et sociaux. Elle a aussi porté un terrible coup à notre indépendance, notamment économique et budgétaire.

On peut raisonnablement espérer, et en tout cas souhaiter, que nous serons débarrassés de ce boulet très prochainement, et que nous retrouverons notre bon vieux franc, symbole national incontournable.

La République, elle, veut entérer définitivement le franc : le 17 février 2012, les dernières coupures ne seront plus échangeables.
Au passage, l’Etat va se mettre quelques 500 millions d’euros dans la poche, correspondant aux francs non restitués (oubliés).
Après le 17 février en effet, ces billets auront perdu toute valeur, mais ils resteront inscrits à l’actif du bilan de la Banque de France. C’est ce que l’on appelle, dans le jargon des finances publiques, le « culot d’émission ». Pour annuler cette créance, la Banque de France est donc tenue de rembourser immédiatement cette somme à l’Etat. (source et détails)

Une extrême-droite totalement perdue

Il s’agit certes d’une anecdote, mais cela reste révélateur de la confusion qui règne dans les mentalités de ce qu’on appelle l’« extrême-droite ».
Le groupe Bloc identitaire propose à ses militants de décider de l’attitude du mouvement pendant les élections présidentielles. A défaut de pouvoir participer à la consultation nationale, il veut en organiser une en interne.  Il est demandé aux adhérents de choisir entre : personne, Marine Le Pen, Frédéric Nihous (du mouvement para-umpiste CPNT) et … le politicard centriste François Bayrou.
L’atout de ce dernier étant, à en croire le Bloc identitaire, son européisme…
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Des banques nationales se préparent à l’après-euro

Un article du Wall Street journal l’évoque timidement : au moins une des dix-sept banques nationales de la zone euro, la Banque d’Irlande, réfléchirait à la possibilité d’imprimer ses propres billets et relancer ainsi sa propre monnaie. Et selon certaines rumeurs, la Banque de Grèce frapperait secrètement des drachmes, la monnaie officielle grecque avant l’adoption de l’euro.

Ajoutons que dans les milieux bien informés, la rumeur court, selon laquelle l’Allemagne réimprimerait déjà des Deutschmarks.

La monnaie d’occupation européiste n’en a plus pour longtemps, et le plan d’établissement du nouvel ordre mondial va subir un revers.

Ci-dessous l’avis pertinent d’un économiste de renom, qui explique que le principe même de l’euro est économiquement foireux.