Livre : Le Pacte germano – sioniste (7 août 1933)

Ce livre, disponible ici, jette une lumière crue sur une vérité que les grands prêtres de la religion mondiale veulent passer sous silence.

En effet, si la collaboration entre les dignitaires nazis et les chefs du mouvement sionistes est largement connue dans la mouvance nationale, elle reste largement ignorée par le grand public, et systématiquement tue dans le récit enseigné par la (dés)Education (anti)Nationale.

Ce livre est donc d’une valeur inestimable pour démonter la mécanique du discours victimaire du peuple élu, et pour aborder cette période d’un œil neutre.

Le pacte concerne le transfert en Palestine de capitaux que les juifs allemands candidats à l’émigration souhaitaient conserver. Les historiens autorisés appellent cette disposition de manière pudique l’accord de la haavara (transfert en hébreux), et sont bien forcés d’admettre que ces fonds ont permis de créer une économie moderne sur cette terre auparavant pastorale.

Il est aisé de comprendre le voile pudique jeté sur cet accord par les élites : en effet, la Shoah étant le crime des crimes, et donc les nazis l’incarnation du Mal Absolu, il est impensable de lier la naissance de l’Etat d’Israël au IIIe Reich.

medaillePour finir, il est intéressant de noter qu’il est encore possible de trouver des exemplaires d’époque de la médaille commémorative éditée par Der Angriff (L’Attaque, hebdomadaire national-socialiste berlinois créé en juillet 1927 à l’initiative de Joseph Goebbels), à l’occasion d’une visite d’une délégation nazie dans les implantations juives financées par l’argent allemand.

Le roman de saint Louis

Philippe de Villiers est incontestablement meilleur écrivain que politicien, c’est le moins que l’on puisse dire.

Après le succès de son Roman de Charette paru l’année dernière, voici qu’il revient avec le roman de saint Louis (éd. Albin Michel, 448 p. 22 €, commandable ici).

Là encore, une biographie romancée mais solidement documentée.

Villiers est interrogé à ce sujet dans l’émission de Radio Courtoisie audible ci-dessous, avec Henry de Lesquen.

De la Gnose au Graal. Aperçus sur une tradition initiatique

Tels sont les titre et sous-titre du dernier ouvrage du professeur Lozac’hmeur, consacré au mystérieux conte du graal.
« Voyageant à travers le temps et les continents, ce travail universitaire pointu lève le voile sur l’une des plus célèbres énigmes ! »

176 p. 16 €. Editions des Cimes. Disponible ici.

4e de couverture :
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« Les 13 lignées sataniques » : le 2e tome vient de sortir !

Après le succès de son livre Les 13 lignées sataniques : les causes de la misère et du mal sur Terre, sorte de « bible des complotistes » -, Robin de Ruiter vient de faire paraître le deuxième volume de cette série :
Les 13 lignées sataniques : les illuminatis et les Protocoles des Sages de Sion.

Un ouvrage explosif comme son titre le laisse supposer, dont la sortie réjouira de nombreux lecteurs.

212 pages, Mayra Publications, 24,95 €. En vente ici.

Présentation de l’éditeur :
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Lorant Deutsch dans la polémique : il a osé évoquer Charles Martel dans son nouveau livre !

Choc : dans son tout nouveau livre, Lorant Deutsch ose évoquer cet épisode horrible de xénophobie qu’est la victoire de Charles Martel à Poitiers, sur les Sarrasins qui venaient simplement profiter de cette terre d’accueil qu’a toujours été la France, paraît-il…

« Le grand public mérite mieux en guise d’histoire que ce récit identitaire, jouant sur les fantasmes les plus caricaturaux » : dans une tribune publiée le 30 septembre sur Le Huffington Post, trois prétendus « historiens » – mais vrais militants de gauche – remettent ainsi en cause le travail de Lorànt Deutsch dans son ouvrage « Hexagone« , paru chez Michel Lafon quelques jours plus tôt et disponible ici.
Le comédien a répondu aux critiques jeudi 3 octobre dans l’émission « C à vous » sur France 5 :

Les « historiens » gauchistes dénoncent « une étrange corrélation entre le discours et le vocabulaire de Deutsch sur cette bataille, et celui de l’extrême droite la plus dure » (sic).
En fait, pas si étrange : c’est peut-être parce que Deutsch fait preuve d’objectivité ?

C’est à lire : « Jules l’imposteur » de François Brigneau

Alors que l’école est comme rarement au centre des enjeux pour les républicains fanatiques, ci-dessous la recension,  avec de beaux passages, de Jules l’imposteur de François Brigneau, par le bulletin de l’Action familiale et scolaire[1]. Ouvrage que l’on peut se procurer ici. 180 p. 18 euros.

« L’un des premiers gestes de François Hollande devenu chef de l’Etat fut de rendre hommage à Jules Ferry.
Les éditions DMM, à très juste titre, ont profité de l’occasion pour rééditer le livre sur Jules Ferry de François Brigneau, intitulé Jules l’Imposteur [2].
François Brigneau était particulièrement qualifié pour écrire ce livre, car sa famille a été cassée par le laïcisme introduit massivement dans les écoles par Jules Ferry et ses collègues. Il explique la chose dans les dernières pages du livre :

J’ai compris assez tôt qu’il y avait deux hommes dans mon père. Ou, pour mieux dire, qu’il était la juxtaposition de deux hommes : un Breton traditionnel et d’héritage, un internationaliste libertaire fabriqué à l’École normale d’instituteurs. La manière dont il faisait son métier révélait cette dualité. (…)
Déraciné à et par l’École Normale, arraché à la tradition et d’abord à la tradition catholique, coulé dans le moule laïque, mon père comme des milliers d’autres instituteurs aussi honnêtes, dévoués, droits et généreux et purs que lui, avaient mis au service des idées de désordre inculquées par les maîtres occultes de l’École Normale les remarquables techniques de l’ordre enseignant enseignées par les maîtres connus de l’École Normale. (…)
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  1. [1]Bulletin n°222, juillet-août 2012.
  2. [2]Jules l’Imposteur a été publié pour la première fois par la revue Itinéraires dans les n°251 à 256, mars à juillet-août 1981

Un nouveau livre sur Vercingétorix, réhabilitant le chef gaulois

Il vient de sortir aux éditions Ellipses. 528 pages, 24,4 €, disponible ici.

La 4e de couverture est explicite :

« Alésia, 52 av. J.-C. Un pays se soulève à l’appel d’un jeune homme. Moins de dix mois de lutte. La réussite, si proche… et la célèbre reddition du vaincu.
Les études sur Vercingétorix et César sont nombreuses. Pourtant la controverse actuelle sur l’emplacement d’Alésia pourrait remettre en cause bon nombre d’idées reçues sur le jeune Arverne. Entre les tenants de l’Alésia bourguignonne (Alise-Sainte-Reine) et les défenseurs d’une Alésia jurassienne, une âpre guerre s’est déclenchée.
Il ne s’agit pas là d’une simple affaire de spécialistes car l’appréciation que l’on peut porter sur Vercingétorix est intimement, absolument, irrévocablement liée à la question de l’emplacement d’Alésia. Dès lors qu’il n’est plus gibier mais chasseur, Vercingétorix acquiert une autre envergure, ses desseins une autre profondeur, sa lutte juvénile et généreuse une plus grave autorité. Et ce nouveau personnage mérite la découverte.
Dans un style alerte et savoureux, l’auteur examine une à une les pièces du dossier, en commençant par une relecture attentive de la Guerre des Gaules confrontée à des observations géographiques, archéologiques et stratégiques. Elle nous livre la biographie d’un Vercingétorix audacieux, énergique et fin stratège, qui aurait pu vaincre Rome. »

« Shoah Story » : un nouveau livre sur le sujet préféré des médias

mais qui se permet une certaine liberté, et une approche intéressante, basée sur l’étude de l’évolution du « récit ».

Il est sorti aux éditions DIE, et est disponible ici. 232 pages, 23 euros.

Sur la 4e de couverture :

« Le sort des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale pèse sur la conscience occidentale, il a fait l’objet d’un très grand nombre de films, livres, articles et rapports. Mais le récit qui en ressort a beaucoup évolué en soixante-dix ans, dès les premières rumeurs, aux thèses d’aujourd’hui.

La politique s’y est greffée, donc les polémiques, souvent douloureuses : en particulier entre les mémoires des survivants et ceux qui nient l’existence des chambres à gaz.

Ce livre rappelle de telles controverses mais n’y entre pas. Il décrit avec soin l’évolution du récit à travers ses contradictions, faisant ainsi l’histoire des variations de la Shoah, ou encore l’histoire de l’histoire de la Shoah.

Par le biais de l’historiologie, le lecteur se trouve amené à la vérité d’un récit aujourd’hui fondamental.
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« Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan »

Tel est le titre du nouvel ouvrage du journaliste Laurent Glauzy (articles sur Contre-info ici), qui s’est associé à l’écrivain néerlandais Robin de Ruiter (auteur des fameuses 13 lignées sataniques et qui a infiltré les Témoins de Jéhovah pendant plusieurs années).

Un sujet peu abordé sur lequel il y a beaucoup à dire, et d’étonnantes révélations…

290p. Ed. Maison du Salat. 23 €. Disponible ici.

4e de couverture :

« La secte des Témoins de Jéhovah, issue du groupe des Étudiants de la Bible fondé dans les années 1870 par le pasteur et homme d’affaires nord-américain Charles Taze Russell, se présente comme une formation apolitique et chrétienne. Implantée à Brooklyn, elle s’engage avec ferveur dans les premières revendications sionistes en 1880.
Russell, qui entretient des liens étroits avec les Morgan, Rockefeller, Rothschild et Warburg, entreprend plusieurs voyages aux États-Unis et en Europe pour appeler la population juive à un retour sur la Terre promise. À ce titre, il est considéré comme un des chantres du sionisme.

Autres temps, autres mœurs : en 1933, en Allemagne, Adolf Hitler est nommé chancelier. Sans renier ses premiers engagements, le mouvement occulte et anticlérical des « Témoins de Jéhovah » – appellation adoptée en 1931 – défend sans ambages l’idéologie de l’Allemagne national-socialiste. Le président Rutherford se plaît alors à exalter les thèses antisémites.
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Kosovo : une guerre « juste » pour un Etat mafieux

460 pages. 24 euros. Cliquez sur l’image pour le commander.

« Un pavé noir pour le Kosovo.
Le Kosovo, sa guerre, ses épurations ethniques, fut le dernier épisode du démembrement de l’ancienne Yougoslavie. Les années ont passé, cette ancienne province serbe n’est rappelée à notre mémoire que timidement, par quelques organisations humanitaires qui se dévouent auprès des communautés serbes chrétiennes demeurées sur place et concentrées dans le nord du pays. Devenues une minorité à la suite de la mise sous administration de l’ONU en juin 1999 et de l’indépendance de l’ancienne province en février 2008, ces populations vivent sous le joug d’un pseudo gouvernement corrompu et maffieux. Pierre Péan, dans son livre Kosovo, se livre à un véritable reportage sur des manipulations et des intérêts masqués derrière le prétendu miracle kosovar. Mais les oppositions ethniques sont toujours présentes et le Kosovo reste « une poudrière ». »

Source Polémia


« Pierre Péan nous donne une leçon de courage.
Le nouveau livre de Pierre Péan, paru cette semaine chez Fayard, est un pavé noir de cinq cents pages. Sur la couverture nous dévisage un homme masqué par une cagoule frappée de l’emblème de l’UÇK. Au-dessus, un sous-titre rouge: « Une guerre « juste » pour un État mafieux ». Et surplombant le tout, en grosses lettres blanches : Kosovo.Le nouveau Péan est plus qu’un pavé : un monument de lucidité. Un temple du courage intellectuel et physique. Une brique d’amertume. Il s’ouvre et s’achève par le récit d’un épisode parmi les plus horribles de la guerre civile yougoslave: l’extraction, à vif, du cœur d’un jeune homme serbe par un jeune médecin albanais, tremblant de terreur, qui finira par se rendre et se confesser des années plus tard, hanté par son crime et traqué comme témoin gênant par ses ex-patrons, trafiquants de chair humaine. Lesquels patrons, Péan l’affirme à la suite de Dick Marty, sont des personnages de premier plan de l’État mort-né du Kosovo, issu de l’union passionnée de l’OTAN et d’une mafia sans merci.

Le voici dans toute sa hideuse vérité, belles âmes humanitaires, le fruit de vos songes creux.

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Témoins de Jéhovah : le prochain ouvrage de Laurent Glauzy

Glauzy_TDJMissionnairesSatan_CouvLe journaliste Laurent Glauzy (articles sur Contre-info ici) s’est associé à l’écrivain néerlandais Robin de Ruiter (auteur des fameuses 13 lignées sataniques) qui a infiltré les Témoins de Jéhovah pendant plusieurs années.

Ce livre inédit – dont la sortie est imminente – révèle les nombreux points sombres de la secte, considérée comme une religion en Italie.
Nous vous tiendrons informés de sa parution.

C’était un 8 juin 1959 : mort de La Varende

C’est à Paris que s’éteint le grand écrivain Jean Mallard, vicomte de La Varende, qui a longuement et magnifiquement décrit la géographie, l’histoire et les mentalités de la Normandie, où il était né le 22 mai 1887.

Monarchiste, La Varende dut démissionner de l’Académie Goncourt lors de la « Libération », victime de l’épuration comme une bonne partie de l’élite de notre pays.

Un grand auteur français qui mérite d’être connu.
Attention, le virus La Varende s’attrape facilement et l’on ne peut refréner ensuite l’envie de dévorer toute l’œuvre !

Une association lui est consacrée, Présence de la Varende.

Patrick Delon lui a consacré une biographie synthétique disponible ici. On peut trouver divers ouvrages de et sur La Varende ici, notamment son roman le plus emblématique, Nez de cuir, ainsi que les Manants du roi.