Isère : il entre dans une gendarmerie et essaye de poignarder un militaire aux cris d’Allah Akbar

Voici comment France 3 présente ce « fait divers régional » :
« Un gendarme de 44 ans a reçu trois coups de couteau au cou, au bras et à hauteur des jambes donnés par un déséquilibré qui a fait irruption mardi dans la matinée, dans la gendarmerie de Roussillon.
« L’agresseur a ensuite reçu une balle dans la cuisse tirée par un autre militaire. Ce dernier, âgé de 37 ans, a aussi été touché par un éclat de balle au tibia.
Tous les intervenants dans cette affaire ont été hospitalisés à Lyon et Roussillon. Aucun n’est dans un état grave.

« La famille de l’agresseur a confirmé qu’elle avait des doutes depuis quelques mois sur son état psychologique. Il se présentait de plus en plus souvent comme « guerrier de l’Islam ». Son épouse avait d’ailleurs quitté le domicile familiale alors qu’il était en pèlerinage à La Mecque. Lors de son entrée dans la brigade de gendarmerie, l’homme a crié « Allah est grand ». De nombreux livres et revues religieuses ont été retrouvés dans son logement. »
Le procureur insiste aussi dans la video ci-dessous, sur la folie de l’agresseur.
Bref, c’est une histoire de folie pure et simple, l’islam n’a en fin de compte rien à voir là-dedans, bien sûr !
Pourquoi tant de déséquilibrés cherchant à assassiner autour d’eux sont-ils musulmans ? Le hasard évidemment !

Quand les médecins fuient les Mureaux…

Une jeune femme médecin, agressée aux Mureaux, a décidé de quitter son poste. Un départ qui relance le débat sur l’avenir des praticiens en zone sensible. En janvier dernier, ce jeune médecin généraliste se faisait braquer à l’arme à feu dans son propre cabinet, situé dans le quartier de Grand-Ouest aux Mureaux. Trois mois après, elle a décidé de quitter la ville pour aller exercer autre part : « Je n’ai pas envie de risquer ma vie tous les jours, j’estime que je ne peux plus exercer mon métier dans des conditions convenables ».

Il faut dire que l’insécurité est croissante dans les banlieues : les déclarations d’incidents dans cette ville ont doublé par rapport à 2010. Ce poste de médecin ne sera pas remplacé, et s’ajoute à la fermeture d’un cabinet situé à quelques pas, à la fin du mois de mars,« en partie à cause du climat d’insécurité ».

Un autre médecin généraliste, présent dans le quartier depuis bientôt quarante ans et bientôt à la retraite, explique : « Si j’avais à m’installer, c’est évident que j’irai ailleurs ». Et il évoque un coup de boule reçu, il y a quelques semaines, de la part d’un patient en colère.

Nous avons mentionné hier deux agressions de journalistes en Seine Saint-Denis, durant la même journée. Et voilà que les chiffres révèlent que l’insécurité a doublé en trois ans aux Mureaux. Le lien social disloqué au point de faire fuir les cadres de la santé, voilà qui devient inquiétant dans ces villes touchée par l’immigration de masse. Qui voudra nous faire croire qu’il n’y a là que hasard entre le développement de l’insécurité et l’immigration ? Les faits disent pourtant le contraire. Quand l’immigration est massive, elle affecte nécessairement l’équilibre culturel et démographique de la cité. Et favorise ainsi l’émergence de situations conflictuelles, trop souvent vérifiées, comme par hasard, dans les « quartiers »…

Seine Saint-Denis : deux agressions de journalistes dans la journée d’hier

Hier, mercredi 17 avril, en Seine Saint-Denis, trois journalistes ont été attaqués par ceux que la presse appelle avec pudeur des « jeunes ». Ce sont en fait deux agressions distinctes, en deux points différents de la Seine-Saint Denis, qui se sont déroulées durant la même journée.

La première agression a eu lieu peu avant midi, à Sevran. Un journaliste de la chaîne d’information en continu BFM TV tournait un reportage devant l’école primaire Emile Zola où des enfants s’étaient piqués en jouant avec une seringue la veille : « il a été molesté par un groupe de cinq jeunes« , « a été blessé au visage« , et « sa caméra a été jetée à terre » a précisé la préfecture du département. Le journaliste a été conduit à l’hôpital.

Quant à la deuxième agression, elle eu lieu vers 17 heures, à Pierrefitte-sur-Seine. Ce sont cette fois deux journalistes de M6 qui ont été pris à partie alors qu’ils tournaient un reportage. Ils interviewaient le gérant d’un magasin d’alimentation de la ville, situé proche d’une cité sensible et victime de plusieurs braquages ces derniers mois. L’un des journalistes a reçu des coups sur le visage et souffre d’un hématome à l’oeil gauche.

Deux possibilités : ou bien la violence des banlieues se banalise, et la capacité d’indignation de la population s’estompe avec le temps qui passe. Ou bien s’opère une prise de conscience au sein de la population, et celle-ci prendra les moyens de reconquérir les territoires perdus de la nation. Ou bien on subit et on meurt, on bien on réagit.

Il reste que la deuxième solution suppose que les causes de la violence dans les banlieues ne soient plus ignorées ni occultées. Quand des territoires entiers sont dépourvus d’autochtones et que des bandes ethniques issues de l’immigration y règnent en maître, on ne nous fera pas croire que l’immigration de peuplement et de substitution est un mythe. Et on ne nous fera pas croire qu’elle n’est pas génératrice de violence. Et ce n’est pas en voilant la réalité par des éléments de langage -du type « des jeunes » pour désigner les immigrés- que la réalité elle-même cessera d’exister…

Redoine Faïd est-il en fuite en Israël ?

L’Etat d’Israël est connu pour être le refuge international de nombreux criminels en fuite. Mais on aurait pas forcément imaginé, au premier abord, qu’une racaille maghrébine puisse y être attiré.

Pour Redoine Faïd, qui s’est échappé spectaculairement de prison samedi (pose d’explosifs sur cinq portes, prise d’otages) et qui profitait des largesses de la justice française,  le rapport avec Israël va plus loin.

« Redoine Faïd a entretenu, à la fin des années 90, un lien étroit avec la mafia israélienne. A tel point qu’il  avait « fait le projet », comme le rapporta Le Parisien en 2002, de se convertir au judaïsme afin de pouvoir s’installer discrètement dans l’Etat hébreu.

Le journaliste Frédéric Ploquin, proche des services de police et des institutions judiciaires, avait évoqué la question sur son blog hébergé par Marianne. A propos de sa disparition -début 2011- consécutive à un braquage raté qui s’est soldé par la mort d’une policière municipale, il écrivait ceci :

« On le disait en Israël, pays où il s’était adroitement replié lors d’une première cavale, prompt à porter la kippa et à apprendre l’hébreu.
Autodidacte du braquage, il avait vite appris, peaufinant son savoir technique auprès d’un ancien militaire israélien.
Et s’était rapidement hissé dans le petit cercle des braqueurs de fourgons blindés, l’aristocratie du crime organisé ».

Curieusement, cette mention truculente d’un fugitif prêt -dans le passé- à se fondre dans la population israélienne a été reprise par l’antenne anglophone de l’Agence France-Presse (et dans les médias anglo-saxons par la suite) mais demeure ignorée ce weekend par sa contrepartie francophone.

En janvier 2011, Le Parisien était plus explicite que Marianne :
Continuer la lecture de « Redoine Faïd est-il en fuite en Israël ? »

Redoine Faid, une « chance pour la France »

« Parmi tous les commentaires sur l’évasion de Redoine Faïd (qui s’est échappé de prison ce samedi – NDCI), il y a un fait qu’on ne vous dira probablement pas. Ce gangster multirécidiviste, qui a commis un nombre incalculable de braquages et d’attaques de fourgons blindés, avec tirs à la kalachnikov sur les policiers, a été condamné au début des années 2000 à des peines qui auraient dû le maintenir en détention jusqu’en 2032. Mais il a été libéré en 2009.

Dès 2010, c’est Aurélie Fouquet, une jeune policière municipale, mère de famille, qui en a payé le prix. Car Redoine Faïd est accusé d’avoir planifié le braquage qui lui a coûté la vie. La Justice le soupçonne même d’être l’homme qui, dans l’équipe des braqueurs, a personnellement tiré sur la policière.

Autre fait capital : en 2005, Redoine Faïd avait été condamné à 3 ans de prison (supplémentaires !) pour avoir, depuis sa prison, planifié… un projet d’évasion ! Il avait notamment demandé, par téléphone, que ses complices achètent des armes et des explosifs.

Cette conduite, pour le moins peu exemplaire, n’a pas empêché Redoine Faïd d’être remis en liberté 4 ans plus tard, 20 ans avant la fin théorique de sa peine. Et cela ne l’a pas empêché, samedi dernier, de se procurer des explosifs en prison et de s’évader, lui que la police avait finalement réussi à interpeller en 2012, après des mois de cavale. »

Source

La criminalité s’étend désormais à la campagne…

Il existe un point commun entre les deux villes du Rhône, Saint-Laurent-de-Mure et Ecully, Veauche, dans la Loire, et Trévoux, dans l’Ain. Depuis la nuit de vendredi à samedi, les quatre distributeurs d’argent de leurs banques respectives ont été attaqués au gaz explosif. Des attaques qui ont entraînés des dégâts matériels importants, témoignant ainsi d’une hausse perceptible de la criminalité.

Mais l’enseignement de ces incidents groupés est davantage inquiétant : car ils révèlent que la criminalité et l’insécurité s’installent désormais à la campagne !

Le groupe Front National au Conseil régional de Villeurbanne déplore avec raison cet état de fait et analyse les causes profondes de la prolifération du crime dont il constate qu’il demeure trop souvent impuni : « Que ce soit la non-application des condamnations, l’impunité croissante, la tolérance des multirécidivismes, le manque de places dans les prisons, la diminution du nombre de policiers, le refus d’expulser les délinquants étrangers ou la complaisance de certaines institutions (Sénat) vis-à-vis de certains actes violents (commis par des syndicalistes), l’UMP, le PS et leurs alliés portent l’entière responsabilité de cette situation« .

Il importe bien sûr de rajouter à l’énumération de ces différentes causes, celles qui se situent en amont du crime, et dont le traitement pourrait prévenir la déliquescence du lien social. Et la communautarisation, nourrie par l’immigration de masse, est un facteur évident d’un ciment social fissuré de toutes parts…

 

 

Quelques échos de « la France d’après »

Un petit coup d’oeil à trois extrémités de notre doux pays, pour observer l’actualité locale.

Dans la belle Alsace : une émeute a lieu à Wittelsheim dans la nuit de jeudi à vendredi. « Un groupe de jeunes » a brûlé des voitures puis caillassé les pompiers venus sur place. Se déplaçant, ils sont ensuite allés sur un pont et ont « jeté des pavés et des pierres » sur une route très fréquentée. Les policiers ont du couper la circulation puis appeler des renforts pour « pacifier la zone ». Aucune arrestation cette nuit-là.
Les raisons de la colère des « jeunes » ? 5 de leurs congénères avaient été interpellés quelques jours plus tôt, pour une histoire de viol collectif sur une fille de moins de 15 ans…. (source)

En Flandres, la boulangerie de la place de Béthune à Lille existe depuis 500 ans. La semaine prochaine, Myriam et Alain Sieuw arrêtent. C’est un kebab qui prend le relais. (source)

A Avignon, a lieu un procès avec des jeunes immigrés. Les plus malchanceux d’entre eux vont s’en tirer avec quelques mois de prison, qu’ils ne feront probablement pas.
« Le 7 janvier 2009, Serge Juillard, qui rentrait chez lui a été ralenti par un embouteillage dû à la neige. Au niveau de la Barbière, des jeunes de la cité s’amusaient à lancer sur les voitures des boules de neige « farcies avec des pierres ». Après avoir entendu un choc, M. Juillard est sorti constater les dégâts. Il a alors été victime d’une agression sauvage. Une dizaine de jeunes l’ont insulté, fait chuter au sol et l’ont passé à tabac. »
Il lui ont baissé son pantalon pour mieux le frapper dans les parties génitales. Ils le maintenaient écartelé pour mieux le frapper à coup de barres de fer, en commençant par la tête.
« J’ai essayé de faire le mort mais vous savez c’est difficile », témoigne avec une vive émotion M. Juillard, aujourd’hui cloué dans un fauteuil roulant. « Ils m’ont bourré la bouche avec de la neige, j’arrivais plus à respirer. » « Aujourd’hui, son quotidien, ce sont des crises et des souffrances terribles qu’il soulage avec de la morphine et le soutien indéfectible de son épouse.  »
Une dizaine de suspects ont été interpellés mais seulement trois ont été renvoyés devant le tribunal pour enfants. (source)
Notons que la motivation « raciale » – si souvent invoquée contre des Français -, n’a pas été retenue par la « justice » dans cette affaire.
Pourtant, les mots dont se souvient la victime et qui résonnent encore dans sa tête sont « Finissons cette face de craie »

A quand la révolution nationaliste ?!

Nouvelle étape du progrès républicain : les attaques de train

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Petit à petit le pays s’enfonce dans la barbarie.

Cela s’est passé samedi, mais l’info n’a circulé que tardivement :
« Un groupe d’une vingtaine de jeunes a attaqué une rame du RER D samedi au niveau de la gare de Grigny-Centre dans l’Essonne, agressant plusieurs passagers, indiquent aujourd’hui des sources concordantes. Samedi vers 22 heures, entre 20 et 30 personnes ont attaqué un RER stationné en gare de Grigny-Centre. Ils sont entrés dans la rame et s’en sont pris aux gens qui s’y trouvaient pour les forcer à leur remettre portables et argent, a expliqué une source policière. » selon le Figaro.
Evidemment, il n’est pas nécessaire que nous traduisions pour nos lecteurs le terme « jeunes » : tout le monde sait maintenant quelle réalité ethnique se cache derrière ce vocabulaire de la Novlangue.

Un témoin raconte : « J’étais dans le RER en direction de Corbeil-Essonnes, et à Grigny nous avons entendu beaucoup de bruits et de cris et nous avons vu des gens courir sur les quais ». Après avoir tiré le signal d’alarme, les jeunes gens, qui avaient le visage dissimulé, sont passés de wagon en wagon et ont attaqué « le plus de monde possible », a-t-il expliqué. « Moi j’ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie et m’ont pris mon argent. C’était rapide, violent et cela avait l’air très organisé », a ajouté ce jeune homme, étudiant à Evry.

Pendant ce temps, et au grand dam de la gauche bienpensante, le livre de Laurent Obertone, La France Orange mécanique, qui décrit « l’ensauvagement d’une nation », continue de se vendre comme des petits pains.
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Nigel Farage: « Les économies française et allemande divergent : nous allons vers un désastre »

Nigel Farage, le député européen britannique, vient de dénoncer au parlement européen le déni de réalité des députés européens d’Italie, de France et d’Allemagne : leurs pays respectifs n’ayant pas les mêmes niveaux économiques, et l’uniformisation contrainte et imposée par l’Union européenne les menant ainsi à la ruine. Il évoque également l’insécurité grandissante en Grande-Bretagne : en cause, les gangs roumains.

Ils la frappent à cinq, à coup de crosse et au visage !

Jeudi soir, à Maubeuge, dans le Hainaut,  cinq individus se sont introduits dans le domicile d’une dame d’une cinquantaine d’années, et l’ont violemment agressée en la frappant à coups de crosse, la blessant au niveau de la tête. Il sont finalement repartis après avoir fouillé la maison, prenant la fuite avec le véhicule du propriétaire, et emportant avec eux ses papiers d’identité.

L’agression était manifestement ciblée et préméditée puisque les cinq agresseurs s’étaient auparavant rendus par erreur chez les voisins, quelques instants juste avant l’agression : le nom du voisin ne correspondant pas à leur recherche, ils sont ressortis, non sans prendre le temps de lui délivrer une décharge électrique avec un pistolet Taser.

Voilà l’état de la France en 2013. Rongée par une insécurité grandissante, notre pays semble sombrer parfois dans la barbarie. Il fut un temps où même les criminels avaient un code d’honneur et ne s’en prenaient pas aux femmes et aux enfants. Mais là, ils s’y prennent à cinq pour frapper une dame à coup de crosse au visage ! Mais où vit-on ? Il est vrai que le laxisme en matière de justice est devenu une institution dont se vante quasiment le garde des sceaux. Il reste que dans une société où le crime demeure impuni, ou en tout cas en deça de ce qu’il vaut, il trouve un terreau favorable pour proliférer…

Amnistie des syndicalistes déliquants : la gauche s’enfonce dans la démagogie et le laxisme…

Une proposition de loi, adoptée par les sénateurs, prévoit d’amnistier les syndicalistes qui s’adonnent à des détournements de fonds, du recel ou même des abus de confiance. « Ce texte pourrait permettre aux élus du CE de la SNCF et d’EDF-GDF actuellement devant la justice pour malversations de s’en tirer sans condamnation« , prévient en effet Pierre-Edouard du Cray, de l’association Sauvegarde Retraites.

Le groupe communiste du Sénat avait déjà déposé, mercredi dernier, une proposition de loi « portant amnistie des faits commis à l’occasion de mouvements sociaux et d’activités syndicales et revendicatives« . Un texte qui autorise l’amnistie les syndicalistes condamnés pour des violences et des dégradations commises à l’occasion d’une manifestation ou d’une grève, dans la période allant du 1er janvier 2007 au 1er février 2013. Mais le débat se poursuivant plus avant, une batterie d’amendements a été examinée…

Ainsi, la sénatrice socialiste d’Ille-et-Vilaine, Virginie Klès, a déposé un amendement afin d’éclairer le sens du texte : à l’aune de cet amendement, le terme d’ »infraction » qui figurait dans la proposition de loi a été remplacé par « les contraventions et délits prévus au livre III du code pénal « . Or ce livre définit ces contraventions et ces délits comme « des destructions et dégradations matérielles commises au cours des mouvements sociaux« . »Sachant que ce livre III est aussi beaucoup plus exhaustif et fait explicitement référence à tous les délits financiers : vols, détournements, abus de confiance, recel…« , souligne et précise Pierre-Edouard du Cray.

Et que Manuel Valls vienne donc nous expliquer qu’il combat encore le laxisme de toutes les forces que lui confère le gouvernement ! Laisser le crime impuni, c’est le laisser prospérer, c’est l’encourager. Comment comprendre autrement la démarche des socialistes et des communistes, ici main dans la main ? Car si la gauche n’est pas laxiste sur ce coup là, il faut retirer le mot « laxisme » du dictionnaire : car il n’a plus aucun sens !

En retirant la clé de voûte du système pénal en 1981, laquelle était la garantie d’une proportion entre l’échelle des peines et celle des délits, la gauche a permis l’effondrement quasi-mécanique de la pyramide des peines, et le laxisme qui s’ensuit et dans lequel se vautrent aujourd’hui les élus de gauche.

Retour à la barbarie près de Lille

Nous évoquions tout à l’heure l’insécurité grandissante dans l’un des quartiers de Lille, et les nouvelles mesures policières mises en place pour y faire face. Hé bien, dans la banlieue lilloise cette fois ci, dans la nuit du vendredi au samedi 23 février dernier, vers 5H00 du matin, les « Barbares » sont entrés dans Houplin-Ancoisne, petite ville d’un peu plus de 3000 habitants. L’objectif de ces vandales ? Piller la réserve de bouteilles de gaz sur le parking d’un petit supermarché situé à proximité.

Sans doute déranger dans l’exercice de leur « profession », ou bien incapables de forcer la cage où étaient entreposées les bonbonnes, les « Barbares » ont pratiqué comme leurs ancêtres jadis, la politique de la terre brulée : ils ont mis le feu aux bonbonnes ! Par miracle, celles-ci n’ont pas explosé !

Ce n’est pas là un acte de délinquance si banal. Si l’explosion avait eu lieu, en plus d’y laisser leurs vies, ces criminels -car il s’agit d’un acte délibérément criminel- auraient entrainé avec eux dans la mort, tous ceux qui auraient eu le malheur de se hasarder sur le parking. C’eût été un terrible spectacle de désolation ! Mais que se passe-t-il à Lille, que la criminalité soit à ce point à la hausse ? On aurait bien quelques éléments de réponse, mais bon …

Lille : l’insécurité grandissante suscite de nouvelles mesures policières

A Lille, dans le quartier festif de Masséna-Solférino, l’insécurité galopante,  la recrudescence des agressions et des vols, contraint aujourd’hui la police à prendre de nouvelles mesures et à multiplier ses patrouilles pédestres de lutte contre la délinquance.

Masséna-Solférino est en train de perdre L’ambiance bon enfant qui a fait La réputation de Masséna-Solférino est en train de disparaître : vols avec violence, bagarres, coups gratuits sur des fêtards ou des policiers en service, voire agressions sexuelles sur des jeunes filles, voilà le lot de ces dernières semaines… Les agresseurs visent en particulier les fêtards rendus vulnérables par l’alcoolisation massive. Et les témoignages sont nombreux.

« Je revenais seul de Masséna, lorsqu’un individu m’a fait une clé de bras par surprise pendant qu’un autre me prenait mon téléphone dans ma poche« , se rappelle Guillaume, un habitué du quartier dont deux autres amis proches ont vécu une mésaventure similaire durant ces dernières semaines. « Passé certaines heures, il y a des racailles qui nous attendent pour nous dépouiller. Ça devient grave !« , indique-t-il.

Un tel phénomène fait réagir la police.
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France, 2013 : « Au tribunal, il frappe le procureur à coups de Coran et mord un policier »

« Le procureur de la République de Cusset (Allier) a porté plainte après avoir été agressé dans son tribunal, mardi, par un homme qui l’a frappé avec un Coran après avoir tenté de se faire passer pour un avocat. C’est ce qu’a indiqué une source proche de l’enquête, ce mercredi.

Mardi matin, peu avant 8 heures, cet homme se présente devant le tribunal de grande instance de Cusset qui n’est pas encore ouvert au public. Il assure qu’il est avocat et qu’il a rendez-vous dans quelques minutes dans l’enceinte.
Deux personnes affectées à la sécurité du tribunal tentent de l’empêcher de rentrer « mais il parvient tout de même à s’introduire dans la salle des pas perdus », raconte cette source.

Averti, le procureur va alors à sa rencontre et lui demande de partir. À ce moment-là, l’intrus sort un Coran de son sac « et s’en sert pour frapper le magistrat »… Il tente ensuite de prendre la fuite et bouscule au passage une greffière, avant d’être arrêté par les personnels du tribunal.

La police arrive sur place. Mais l’homme, âgé de 36 ans et connu des services de police, résiste à son interpellation et « mord sévèrement un policier », selon cette source.

Placé en garde à vue, il a ensuite été hospitalisé d’office en psychiatrie. »

Source