En septembre, en territoire helvétique, Adeline Morel, éducatrice de 34 ans, a disparu alors qu’elle accompagnait en « sortie éducative » Fabrice Anthamatten, condamné à 20 ans de prison pour viol.
Cette sortie dans un centre équestre faisait partie du programme de « resociabilisation » du criminel, pourtant de toute évidence irrécupérable.
En effet, son « palmarès » parle pour lui : comdamné à cinq ans de prison à Genève pour viol en 2001, il se trouve en liberté provisoire, et récidive de l’autre côté de la frontière, à Ferney-Voltaire.
« C’est un bon trip » : cette déclaration lors de son procès est symptomatique de son état d’esprit, à mille lieux de toute rédemption.
Pourtant, après avoir été transféré en Suisse où le régime carcéral est plus plaisant qu’en France après sa condamnation, il est transféré en 2012 à la Pâquerette, une unité de la prison de Genève réservée aux détenus perturbés, rattachée aux hôpitaux universitaires.
Dans le cadre de sa thérapie équestre (sic), l’homme s’est vu le droit d’acheter un couteau pour nettoyer les sabots de cheval, alors que c’était son arme de prédilection…
Continuer la lecture de « Bientôt en France : le viol et l’assassinat d’une éducatrice par un repris de justice »