C’était un 28 juin…

1389 : bataille cruciale du « Champ des merles », dans la plaine de Kosovo, où les Serbes (menés par le prince Lazare) et leurs alliés croates sont vaincus par les Turcs.
La nouvelle parviendra jusqu’à Saint Denis, où on sonne le glas.

1914 : attentat de Sarajevo, où des extrémistes serbo-bosniaques tuent l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône d’Autriche-Hongrie. Cet événement dans la poudrière balkanique va déclencher la Première guerre mondiale.

1917 : jusqu’au 30 juin, congrès des Maçonneries alliées et neutres où sont jetées les bases de la Société des Nations (l’ancêtre de l’ONU), dont le franc-maçon Léon Bourgeois sera le premier président.

1919 : signature du Traité de Versailles dans la galerie des Glaces du château, entre les puissances alliées et l’Allemagne vaincue. Ce mauvais traité aura des conséquences calamiteuses. Le maréchal Foch dira en substance « il ne s’agit pas d’une paix mais d’un armistice de trentes ans ». Jacques Bainville l’analysera bien et de façon prémonitoire dans les Conséquences politiques de la paix : « une paix trop douce pour ce qu’elle a de dur, et trop dure pour ce qu’elle a de doux ».

1940 : Maxime Weygand, ministre de la Défense nationale et généralissime, dépose une note auprès du maréchal Pétain, affirmant qu’il faut changer d’urgence du régime : « il faut revenir au culte et à la pratique d’un idéal résumé en ces quelques mots : Dieu, Patrie, Famille et Travail ».

1944 : assassinat par un commando de FTP-MOI, à Paris, de Philippe Henriot, secrétaire national à l’Information de l’Etat français et célèbre éditorialiste de radio, qui ripostait avec une ironie déstabilisante sur Radio-Paris à la propagande gaulliste de Londres. Ce grand orateur nationaliste était bien dérangeant… Ses obsèques eurent lieu à Notre-Dame en présence du cardinal Suhard et d’une foule immense.

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Nicolas n’est pas le seul à être lourdement condamné pour des broutilles

Vincent Reynouard vient d’être condamné à payer à Laurent Sourisseau et à Charlie-Hebdo un total de 15 000 € de dommages et intérêts. Plus les frais de justice, une publication à ses frais dans « Libération » et six mois de prison avec sursis. Son crime ? L’historien a utilisé des desseins de Laurent Sourisseau pour illustrer une brochure. Dans cette vidéo, il dévoile les causes sociologiques de cette condamnation très lourde…

En 1945, pour les GI, la France était «un gigantesque bordel» où l’on pouvait violer les femmes

La chape de plomb sur les horreurs de la fin de la guerre serait-elle en train de se fissurer ?

En tout cas, la légende dorée des gentils libérateurs américains prend du plomb dans l’aile, même dans les médias du Système.
Il y a certainement eu beaucoup plus de viols de Françaises par les Américains que par les Allemands.

« Des soldats américains qui ont libéré la France en 1945, la mémoire collective n’a retenu que des souvenirs teintés de mélancolie; la saveur des chewing-gums ou de la première gorgée de Coca-Cola, le satiné des bas en nylon, les mots doux susurrés à l’oreille des jeunes filles avec un accent délicieusement étranger… Ces images d’Epinal cachent pourtant une réalité bien sombre, que l’historienne américaine Mary Louise Roberts révèle dans son nouveau livre What soldiers do, rapporte le quotidien allemand Die Welt.

L’armée américaine faisait miroiter un paradis terrestre à ses soldats pendant la Seconde Guerre mondiale, leur promettant que leur courage serait récompensé en nature par de lascives jeunes femmes une fois débarqués en France, au pire contre de l’argent:

«Les prix pour la “marchandise moyenne”, c’est de cette façon que le journal des GI Panther Tracks menait l’enquête à l’époque, démarraient à 150 francs; pour les services de femmes particulièrement capricieuses et de toute beauté, il fallait s’acquitter de 600 francs. Les Françaises étaient négociées entre soldats américains en tant que “cold cuts”: «tranche» –des morceaux de viande vivants, plus ou moins chers.»

Le journal de l’Armée américaine, Stars and Stripes, expliquait aux GI comment prononcer des phrases telles que «Tu es belle!» ou «Est-ce que tes parents sont à la maison?», tandis que le magazine Life présentait à l’époque la France comme «un gigantesque bordel dans lequel [vivaient] 40 millions d’hédonistes».

Comme l’explique Die Welt, les soldats américains sont vite passés aux yeux des Français du statut de libérateurs à celui d’occupants:
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Histoire : les bombardements alliés de 1944 en Normandie sont-ils défendables ?

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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard s’intéresse au Droit international (en vigueur en 1944) ainsi qu’aux préceptes de la morale afin de savoir si les bombardements alliés de 1944 au-dessus de la Normandie étaient, ou non, défendables.
Puis il cite une partie des protestations élevées en 1944 par les évêques afin de condamner les bombardements alliés meurtriers. Il rappelle ensuite comment, en 1945, les Alliés ont détourné l’attention des peuples de leurs crimes en orchestrant une gigantesque propagande autour des photos prises à la libération des camps. Enfin, il pointe du doigt les terribles conséquences actuelles de cette stratégie alliée qui, finalement, reposait sur un faux précepte moral : « la fin justifie les moyens ».

Oradour-sur-Glane : la contre-enquête

Dans cette vidéo, V. Reynouard expose les résultats de sa contre-enquête sur le drame d’Oradour-sur-Glane (sans cesse utilisé par la classe politique), le 6 juin 1944.

C’était un 8 juin 1959 : mort de La Varende

C’est à Paris que s’éteint le grand écrivain Jean Mallard, vicomte de La Varende, qui a longuement et magnifiquement décrit la géographie, l’histoire et les mentalités de la Normandie, où il était né le 22 mai 1887.

Monarchiste, La Varende dut démissionner de l’Académie Goncourt lors de la « Libération », victime de l’épuration comme une bonne partie de l’élite de notre pays.

Un grand auteur français qui mérite d’être connu.
Attention, le virus La Varende s’attrape facilement et l’on ne peut refréner ensuite l’envie de dévorer toute l’œuvre !

Une association lui est consacrée, Présence de la Varende.

Patrick Delon lui a consacré une biographie synthétique disponible ici. On peut trouver divers ouvrages de et sur La Varende ici, notamment son roman le plus emblématique, Nez de cuir, ainsi que les Manants du roi.

29 mai 1453 : chute de Constantinople, tueries, viols et sacrilèges. La fin d’un monde

Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople, accompagnée de massacres des civils, tueries, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.

« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.

‘… Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions’.

… Ils prenaient les trésors et les vases sacrés, dépeçaient les reliques et les jetaient au vent; ils exhibaient dans les rues puis dans leurs camps, le soir, des crucifix montrant le Christ coiffé de l’un de leurs bonnets rouges. De Sainte-Sophie, ils firent d’abord une écurie. Un nombre incalculable de manuscrits précieux, ouvrages des auteurs grecs ou latins de l’Antiquité, furent brûlés ou déchirés.

Les religieuses, violées par les équipages des galères, étaient vendues aux enchères. … ‘Cette cohue de toutes les nations, ces brutes effrénées, se ruaient dans les maisons, arrachaient les femmes, les traînaient, les déchiraient ou les forçaient, les déshonoraient, les violentaient de cent façons aux yeux de tous dans les carrefours’.

Pendant trois jours, ce fut aussi une terrible chasse et un immense marché aux esclaves. … Aucune bataille, aucune conquête n’avait jamais donné en si peu de temps autant de captifs. Ils furent vendus et revendus par la soldatesque puis par les mercantis de toutes sortes, séparés les uns des autres, promis aux travaux misérables jusqu’aux plus lointaines provinces du monde musulman.
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Bonne fête aux mères !

La rédaction de Contre-info souhaite une très bonne fête aux mères françaises.

Cette journée prend un sens particulier alors que la République essaie de détruire le mariage, et donc la famille, ainsi que la fonction essentielle et magnifique de « mère de famille ».

Cette journée a été instaurée il y a maintenant 73 ans par l’ Etat français, du maréchal Pétain.
Elle s’inscrivait dans le cadre de son efficace politique familiale et nataliste.

La rédaction vous souhaite une bonne fête de Pentecôte

La Pentecôte est l’une des plus grandes fêtes chrétiennes.

Elle commémore le don (promis par le Christ avant Son Ascension) de l’Esprit Saint aux apôtres.
En grec, pentêkostê signifie « cinquantième », car l’événement est survenu cinquante jours après Pâques.

En France, avant la Révolution, la semaine qui suivait la Pentecôte était fériée.
Les autorités républicaines ont maintenant depuis des années en ligne de mire le lundi de Pentecôte, traditionnellement férié.
Chrétien ou simplement Français non renié, il faut s’efforcer, autant que possible, de ne pas travailler ce lundi, ni d’acheter dans les grandes surfaces (comme les dimanches et autres jours fériés).

L’hymne de circonstance est bien sûr le Veni Creator :

Paroles :
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Jeanne d’Arc et Femen, même combat ?

Revenons sur l’incident d’hier, provoqué par les Femen, en marge du défilé pour Jeanne d’Arc. Sur twitter, les Femen, ces femmes dénudées et exhibées qui avilissent et dégradent l’image de la femme, ont commenté leur action, en expliquant que « les nationalistes n’ont pas le monopole de Jeanne d’Arc. Elle est un symbole de liberté et non pas de haine« . Au delà du poncif mille fois éculé, on se demande en quoi ces prostituées peuvent ressembler, de près ou de loin, à la pucelle d’Orléans.

Jeanne d’Arc était vierge ; les Femen, impudiques, se complaisent dans la grossièreté, l’indécence et la laideur. Elle était pieuse, entendait la messe chaque jour, agissait au nom de Dieu et ne croyait pas à l’épanouissement de l’homme en dehors de sa relation à Dieu; elles sont athées, insultent l’Église, promeuvent le laïcisme le plus radical et croient que l’émancipation de l’homme par rapport à Dieu est un facteur de progrès. Elle voulait rétablir l’héritier de la couronne de France sur le trône de ses pères, elle sont les filles et les dignes héritières de 1789 dont elles se réclament avec ferveur.

Bref, les profils sont pour le moins divergents, et personne ne croit une seconde que Jeanne d’Arc aurait pu se reconnaître dans ces idéologues de mauvaise vie. Si d’ailleurs Jeanne d’Arc avait été pour elles un modèle, que ne l’ont-elles pas fêtée également? Personne n’a dit avoir le monopole de Jeanne d’Arc : mais qu’y peut-on si seuls les nationalistes se sentent suffisamment proches de son message pour l’honorer ?

Humour : Najat Vallaud-Belkacem vient fêter Jeanne d’Arc à Rouen

Les fêtes de Jeanne d’Arc 2013 seront cette année présidées à Rouen par Najat Vallaud-Belkacem. Le samedi 25 mai, à l’issue d’une messe célébrée par l’archevêque de Rouen en la cathédrale de la capitale normande, Mgr Descubes, assisté du nonce apostolique en France, Luigi Ventura, le ministre des Droits de la femme prononcera un discours en l’honneur de cette héroïne nationale, brûlée sur une place de la ville le 30 mai 1431.

On se demande bien ce que le ministre peut avoir en commun avec sainte Jeanne d’Arc ! D’abord, Jeanne d’Arc agit « en nom Dieu« , « au nom Christ qui est Roi de France« . Pas de quoi ravir le chantre de la laïcité qu’est Madame Najat Vallaud-Belkacem.

Ensuite, Jeanne d’Arc agit pour rétablir dans ses droits, sur le trône de ses pères, « le gentil dauphin« , « lieutenant du Christ« . La encore, rien qui ne rentre en consonance avec les aspirations très républicaines de madame le ministre.

Enfin, Jeanne d’Arc met en fuite l’envahisseur anglais, assurant qu' »elle aime les anglais, mais chez eux« . Pas de quoi flatter non plus l’universalisme républicain du ministre cosmopolite, son sens de l’accueil de l’autre et de la différence, son ouverture à l’étranger. Car en fait d’invasion, celle que subit imperceptiblement la France d’aujourd’hui a pour levier l’immigration de masse et la démographie : et cette invasion, beaucoup plus sournoise, a la bénédiction du ministre…

En un mot, madame Vallaud-Belkacem est l’anti-Jeanne d’Arc.

Une rare nécropole gauloise de 2.200 ans mise au jour près de Troyes

Plus de 2 200 ans après leur inhumation dans une nécropole gauloise, guerriers à épée de fer et femmes portant torque et fibules en bronze ont revu le jour grâce à des fouilles préventives menées près de Troyes, à l’est de Paris.

Ils viennent nous rappeler, en ces temps de reniement et de suicide, que notre identité a des racines profondes…

Source et détails

Destruction de l’église saint Jacques d’Abbeville !

Depuis mardi dernier, 2 avril, l’église saint Jacques d’Abbeville, dans la Somme, est finalement détruite. Dans la vidéo qui suit, filmée mercredi, les ouvriers d’Apinor, la société en charge du chantier de déconstruction, attaquent la démolition de la façade est de l’édifice religieux, après avoir éventré l’ouest mardi. Toitures, vitraux et autres pierres sont ainsi tombées sous les assauts de la pelle mécanique.

Ce merveilleux joyau de notre patrimoine spirituel et culturel, ce témoin de notre histoire, trace d’une Foi qui a habité tout un peuple, est en train de disparaître avec ce qu’il reste, semble-t-il, de notre mémoire nationale et de nos racines chrétiennes. Derniers vestiges de ce que nous fûmes, d’un passé apparemment révolu dont le souvenir paraît s’estomper inexorablement avec le temps qui passe…

Et pendant que l’on détruit nos églises, on construit des mosquées, sous la pression d’une immigration massive, aujourd’hui de peuplement, demain de substitution…


Démolition de la façade est de l’église Saint… par courrier-picard