Qui a cassé et pillé samedi à Paris ? Les médias ne veulent pas le dire

Samedi, partout en France, de très nombreux « Gilets jaunes » ont encore manifesté leur colère vis-à-vis du fiscalisme délirant qui dépouille le peuple français.

A Paris, alors que la ville était bouclée par de nombreuses forces de l’ordre tendues par les consignes qu’elles recevaient d’un ministère de l’Intérieur paniqué et furieux, des heurts ont éclaté par endroits.

Tôt le matin, les CRS ont ainsi abondamment « gazé » des centaines de Gilets jaunes pacifiques.

Puis il y eut des bousculades entre eux. Des barricades ont été à nouveau érigées. Des CRS ont pris la couleur jaune, pas forcément volontairement :

Plus tard dans l’après-midi, comme nous l’ont confirmé plusieurs témoins, des centaines de militants d’extrême-gauche sont passés à l’action, s’en prenant virulemment aux forces de l’ordre et à certaines devantures ou véhicules. Ils étaient entraînés et équipés (étant pour une partie d’entre eux des anciens de Sivens ou de la ZAD de Notre-Dame des Landes).
Dans la soirée, des « jeunes de banlieue » sont venus sur les Champs-Elysées et alentours, pour provoquer la police et piller des magasins.

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Révolte des Gilets jaunes : les pompiers s’insurgent eux aussi (videos)

Dans les Alpes-Maritimes, les pompiers ont ouvert un péage autoroutier pour que les conducteurs passent sans se faire racketter.
Voilà une action efficace !

A Cholet (Maine-et-Loir), se tenait ce samedi la cérémonie de la Sainte Barbe (patronne des pompiers).
Étaient notamment présents le maire de Cholet, le député du Maine-et-Loire et le président du Service départemental d’incendie et de secours. C’était ce dernier qui était particulièrement visé par l’action des soldats du feu : lorsque la cérémonie solennelle a commencé, les sapeurs-pompiers avaient le dos tourné aux autorités.
L’action des sapeurs-pompiers visait à alerter sur le sous-effectif chronique qu’ils subissent. Ils ont, par ailleurs, déroulé une banderole supportant l’inscription : « Moins de pompiers, secours en danger ».