24 mars, un festival de violences policières

Ici, des salopards aspergent de gaz des gens venus simplement ramasser et secourir quelqu’un.

Il y a eu des démissions de préfets et de ministres pour moins que ce qui s’est passé dimanche dernier.

Par ailleurs, pour CI, c’est très clair : la « trentaine de policiers légèrement blessés » qu’a évoquée Valls n’a tout simplement pas existé, ou alors ce sont des policiers qui ont été incommodés par les gaz et gel lacrymogènes qu’ils balançaient eux-mêmes à tout va.

Les caméras de surveillance vont maintenant servir… à vous racketter !

Magnifique quenelle de la part des autorités, qui donnent une nouvelle vie à ces caméras installées prétendument pour la sécurité des citoyens !

A partir du 2 avril prochain ces caméras de la capitale permettront en effet de verbaliser discrètement les automobilistes.

La préfecture de Police de Paris l’a annoncé hier. Un nouveau système de verbalisation des automobilistes va s’appuyer sur les 1037 caméras déployées dans la capitale dans le cadre du « plan de vidéoprotection pour Paris » (sic).

En ligne de mire : le franchissement d’un feu rouge (ou orange ?), les stationnements dits « gênants » ou dangereux et la circulation dans une voie réservée, comme les couloirs de bus.

Comment ça marche?
Quatre agents assermentés disposeront d’une cinquantaine de caméras aux heures les plus chargées (7 heures-10 heures et 17 heures-20 heures). Ils suivront aussi la circulation sur treize axes régulièrement engorgés à Paris. (cf. la carte du Parisien)
Une fois l’infraction relevée, une photographie de cette dernière sera extraite de la vidéo et conservée. Dans un délai n’excédant pas un mois après l’infraction, un PV sera adressé directement au domicile du titulaire de la carte grise du véhicule par le centre national de traitement (CNT) de Rennes.

Les axes concernés
– rue de Rivoli (1er et 4e)
– avenue de l’Opéra (1er)
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Les priorités du gouvernement en cette période de crise : la lutte contre les propos « incorrects »

François Hollande a annoncé dimanche à Toulouse qu’il veillerait à « contraindre » les réseaux sociaux à « fournir » à la justice les « noms » d’auteurs de messages « racistes ou antisémites » sur la toile, lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah.

Fin janvier, la justice française avait ordonné à Twitter de communiquer les données permettant d’identifier les auteurs de tweets antisémites, à la suite d’une action intentée par l’Union des étudiants juifs de France. Depuis, l’UEJF a déploré que cette décision soit restée lettre morte.

« Les tribunaux les ont condamnés à transmettre les données permettant l’identification des auteurs de messages antisémitismes et je veillerai à les contraindre, ces réseaux, à fournir ces noms pour qu’il y ait dissuasion et répression« , a indiqué le président de la République.
Hollande aux ordres d’un petit lobby donc, alors que la France et la majorité des Français sont touchés par de vrais problèmes, graves, que le concubin de Trierweiler n’envisage même pas d’essayer d’enrayer.

« L’espace de liberté qu’est internet ne doit en aucun cas être utilisé à des fins de propagande, de haine », a-t-il insisté.

Evidemment, la propagande antichrétienne, antifrançaise, antiblanche, mondialiste, antinaturelle (notamment issue du gouvernement) n’est pas incluse dans ces propos du socialiste.

Source

Skype dans le collimateur de Big Brother

Skype est un logiciel de Microsoft qui permet de communiquer d’ordinateur à ordinateur, par messages écrits mais aussi en téléphonant (avec une connexion internet), le tout gratuitement.

Un des points intéressants de Skype, pour les dissidents, est qu’il est impossible (ou du moins très difficile) d’intercepter les communications. Evidemment cela ne plait pas aux services français, alors que la République cherche à contrôler toujours plus les actes et même les pensées des citoyens.

Nous venons d’apprendre que le président de l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) pleurniche auprès du procureur de la République.
Un petit passage au sein de son communiqué (souligné par nous) nous laisse deviner la vraie motivation de cette démarche :

« Le président de l’ARCEP informe le Procureur de la République de Paris d’un manquement possible de la société SKYPE à son obligation de se déclarer en tant qu’opérateur de communications électroniques en France 

Les socialistes veulent encore restreindre la liberté d’expression !

Le gouvernement et les sénateurs socialistes préparent la constitution d’un groupe de réflexion sur la liberté d’expression. Il s’agit de mettre en place des réformes afin d’encadrer plus fermement, autrement dit de limiter, ce droit fondamental à la liberté d’expression. En particulier sur Internet. Pour parvenir à cette fin, les socialistes envisagent la révision de la loi de 1881 sur la liberté de la presse.

Très amusant. A l’heure où l’on nous explique sur tous les tons qu’il n’y a aucune norme naturelle, aucune norme morale, que le bien et le mal sont des notions dépassées, conventionnelles, et que la liberté est précisément un facteur d’émancipation trop précieux pour être limité par des conventions. Dans le même temps, cette liberté, absolutisée sur le terrain de la morale, se voit limitée dans le champ de l’expression, accréditant ainsi l’idée qu’il existe en effet une doxa, celle d’une petite caste, mais qu’elle doit s’imposer à tous les esprits, s’il le faut par la force de la loi…

La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a manifesté son intérêt et souhaite participer aux discussions. « Nous aurons peut-être la main tremblante au moment de modifier la loi de 1881, mais sachez que cette main sera néanmoins ferme et déterminée« . Voilà donc l’ombre de Staline qui plane sur le projet socialiste. La plume devra désormais être aux ordres. Seuls les journalistes accrédités auront donc loisir de développer librement la vulgate dominante, à l’aune de laquelle seront d’ailleurs fixées les balises au delà desquelles tout propos sera considéré comme un dérapage scandaleux, méritant une sanction pénale…

INDECT : un projet européiste totalitaire

INDECT est un projet de recherche qui doit déboucher à l’élaboration d’outils innovants, permettant d’assurer la protection des citoyens européens.

Un priorité donc : renforcer la vidéosurveillance, automatiser la reconnaissance des menaces via une analyse intelligente du comportement des citoyens. Dans cette optique, le projet Indect vise aussi à renforcer la surveillance du web : analyse des données, des vidéos, des photos, des textes…

Bref, sous couvert de protection des citoyens, Big Brother is watching you !

Algérie : un musulman se convertit au christianisme et se retrouve devant les tribunaux

Un jeune kabyle, I. Mohamed, est poursuivi par le tribunal de Bechar pour apostasie et incitation, avec pressions exercées sur des jeunes musulmans, à changer de religion. Ce jeune chrétien , originaire des At Wagnun (Ouaguenoun), et travaillant au sud de l’Algérie, vient ainsi d’être condamné par la justice algérienne à 100.000 DA d’amende et le payement de tous les frais générés par la procédure judiciaire.

Ce n’est la première fois que des chrétiens sont condamnés par la justice algérienne : car cette dernière postule que les algériens ne peuvent être autre chose que musulmans. En réaction à cette condamnation, les responsables de l’EPA jugent que cette décision judiciaire est atteinte à la liberté de conscience et d’expression : l’injustice du verdict justifie donc, selon eux, leur décision de faire appel. Ils signalent que l’ordonnance régissant le culte autre que musulman n’est « qu’un instrument de pression sur les chrétiens ».

A noté qu’en première instance, le jeune kabyle chrétien avait été condamné à une année de prison ferme assorti d’une amende de 50.000 DA.

Curieusement, les élites françaises, si promptes habituellement à condamner l’intolérance qui sévit dans le monde entier, au point de na pas hésiter parfois à s’ingérer dans les politiques étrangères et à lancer leur troupes dans des guerres ou l’intérêt français n’est pourtant pas en jeu, restent étrangement silencieuses lorsque l’islam supprime, dans leurs anciennes colonies, le droit fondamental de croire, en l’occurrence dans la religion de leurs ancêtres. Le président français s’affiche volontiers avec le président algérien, le laisse facilement culpabiliser les français sur leur histoire coloniale, mais n’a jamais un mot sur le terrorisme que la justice exerce sur la conscience religieuse des algériens…

Fermeture définitive des Intransigeants

El Cristero animateur du célèbre blog « les intransigeants » nous fait parvenir ce communiqué :

Le combat continue …

La Paix de Jésus-Christ soit avec vous,

Nos lecteurs ont pu découvrir aujourd’hui 23 Janvier que Les Intransigeants étaient à nouveau fermés … Cette fois-ci, apparemment, c’est la bonne …

Nous prions nos lecteurs de ne pas s’inquiéter pour nous … Le combat continue … Cependant, pour l’instant, nous ne comptons pas relancer à court et à moyen terme Les Intransigeants … Nous allons à présent travailler au développement d’autres projets et nous espérons qu’ils seront, avec l’aide de Dieu, tout aussi fructueux …

Vous pouvez nous écrire un petit courriel de réconfort à l’adresse elcristero777 ( @ ) gmail (.) com … N’hésitez pas à l’accompagner d’une brève et courte présentation, cela fait toujours plaisir …

A bientôt pour de nouvelles aventures !

A bas la république ! Vive le Christ-Roi !

En Union de Prières,
Les Intransigeants

 

Affaire Le Pen : il est désormais illégal de dénoncer des comportements illégaux

Le 10 décembre 2010, à Lyon, Marine Le Pen avait tenu les propos suivants, évoquant les prières de rue :

« Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça c’est une occupation du territoire. C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes il n’y a pas de blindés, il n’y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants. »

Ce parallèle entre les prières de rue et l’Occupation allemande n’a pas plus à tout le monde. Suite au dépôt d’une plainte du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), le parquet de Lyon avait ouvert en janvier 2011 une enquête préliminaire pour « incitation à la haine raciale ».

Hier, le ministère de la Justice a transmis au Parlement européen une demande de levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Procédure classique, à partir du moment où le parquet de Lyon avait ouvert une enquête sur ses propos.

Quoiqu’il en soit, l’affaire est délirante. Car enfin, l’Islam n’est pas une race : aussi bien l’accusation d' »incitation à la haine raciale » n’a aucun sens. Par ailleurs, personne n’appelle à la haine des personnes. Marine le Pen est un homme politique, et elle soulève un problème politique : l’envahissement illégal de l’espace public par une communauté. Alors que ses détracteurs utilisent le levier affectif pour tenter de la culpabiliser, faut-il rappeler qu’en politique, il faut prendre de la hauteur et discerner à l’aune du bien public ? Désormais, comble du paradoxe, chacun saura qu’en France, pays prétendu de la liberté d’expression, l’on est susceptible d’être poursuivi en justice pour avoir dénoncé une action illégale…

Démocratie totalitaire : vers l’interdiction du NPD ?

L’Allemagne s’apprête à interdire le Parti national-démocrate (NPD) : mercredi les ministres de l’Intérieur des 16 Länder ont voté la poursuite de la procédure judiciaire contre le mouvement nationaliste. Une procédure qui n’est cependant pas aboutie, car les démarches sont nombreuses : le souhait des ministres des Etats fédérés doit être approuvé, jeudi, par les ministres-présidents. Puis un vote aura lieu le 14 décembre, à la Chambre haute (Bundesrat), laquelle représente les 16 Länder. Il faudra ensuite patienter trois mois avant que la Cour constitutionnelle de Karlsruhe examine la requête du système.

« Nous courons le risque politique de redorer le blason d’un parti qui est déjà en train de disparaître« , a concédé Hans-Peter Friedrich, le ministre de l’Intérieur : « Il faudra que tout le monde se demande: en quoi cela sera-t-il profitable au NPD en terme de propagande ? »

En démocratie, chaque courant peut donc s’exprimer pourvu qu’il pense comme le système lui impose de penser. Normal. Et les partis politiques admettent la contradiction, pourvu qu’elle soit portée par des gens qui pensent comme eux ; ils acceptent le débat, pourvu que ce soit avec des gens qui souscrivent aux mêmes choix idéologiques qu’eux…

Skype nous surveillerait…

« C’est terrifiant et nauséabond que Microsoft puisse maintenant écouter tous mes appels Skype » s’agace un contributeur de Forbes. De quoi susciter la colère des utilisateurs. Skype est en effet accusé d’espionner les conversations des utilisateurs du service : depuis la modification de l’architecture, l’accès aux informations personnelles des membres serait possible.

Chaim Haas, chargé des relations du service d’appels, a reconnu que Skype « coopère avec les organismes d’application de la loi autant qu’il est juridiquement et techniquement possible ».

Selon LeFigaro, les informations émises par les utilisateurs sont cryptées et transmises par le biais de l’ordinateur des membres : sans serveur central, l’écoute et l’interception paraissent donc difficiles.

Pourtant, avec le rachat de la société par Microsoft l’année dernière, des experts ont expliqué que l’architecture du réseau avait changé, entrainant la mise en place de serveurs centraux. Auquel cas les informations peuvent en effet être espionnées par Skype, et communiquée à la justice comme certains le suggèrent..

Quoiqu’il en soit, la politique de confidentialité de Skype explique que celui-ci mémorise les messages instantanés de tous les utilisateurs « pour une durée maximale de 30 jours », les messages vocaux sont gardés 60 jours…

Affaire Femen : la chasse aux catholiques commence (mis à jour)

MAJ 29/11, 19h20 : mauvaise nouvelle. Les gardés à vue passent la nuit au commissariat et seront déférés demain au parquet. C’est suite à cette convocation que l’on saura s’ils sont relâchés ou écroués (prison préventive dans l’attente du procès). « La République gouverne mal, mais elle se défend bien ».  Prions bien pour eux. Pensez à les soutenir : ici.

MAJ 29/11, 9h30 : une cinquième personne a été mise en garde à vue ce matin (sa femme vient de nous le confirmer). De plus, la lesbienne extrémiste Caroline Fourest annonce s’être rendu au commissariat du SIT (Service d’Investigation Transversale) hier pour reconnaître les gardés à vue.

MAJ 29/11, 9h00: ce ne sont pas 2 personnes en garde à vue mais 4.

Article du 28/11. Selon nos informations, au moins un participant de la manifestation du 18 novembre contre le « mariage » homosexuel a été interpellée ce matin à son domicile. Probablement accusé d’avoir repoussé énergiquement les agresseurs (Femen), il serait toujours en garde à vue. De plus, un manifestant catholique est convoqué ce soir par la police. Nous vous tiendrons informés des suites de l’affaire.

A notre connaissance, aucune militante « Femen » n’a été interpellée pour avoir agressé physiquement et verbalement les participants à la manifestation, y compris les enfants.

Grande Bretagne : 8 millions d’enfants fichés en secret

Dans l’obscurité la plus totale, une base de données géante vient de voir le jour en Grande Bretagne. Toutes les informations administratives, scolaires ou comportementales des enfants y sont stockées. Avec possibilité de consultation et d’enrichissement par divers services (police, services sociaux, médecins)… Les parents n’ont pas été informés. Pourtant, le système, répondant au doux nom de « One », développé par la société Capita, un gros prestataire du gouvernent, est déjà en place et des milliers de professeurs s’en donnent à coeur joie. Tandis qu’une centaine d’autorités locales est dès à présent en mesure de consulter les données. Tout ce qui peut concerner la scolarité de l’enfant y est enregistré : son adresse, ses fiches de présences, ses notes, son comportement, ses photos, les remarques de l’encadrement scolaire… Ces données pourront être conservées indéfiniment, et… enrichies par d’autres intervenants autorisés : la police ou les services sociaux notamment… Bref, une vaste base de données généralisée où tout pourra être consigné, tout au long de la vie des personnes, et consultable à volonté. La modernité…

Sources : thesundaytimes.co.uk, dailymail.co.uk via lesmoutonsenrages.fr