L’Union européenne s’attaque aux chasseurs et tireurs sportifs

M1_Garand_competitionVoilà l’avenir qui se profile en Europe pour les possesseurs d’armes qui ont déclaré en avoir une ! Les chasseurs et tireurs sportifs sont-ils les plus grands dangers à l’heure actuelle ? Car ce sont bien eux qui sont maintenant visés, et pas spécialement les « migrants » de Calais qui pour certains sont armés, et cela sans déclaration administrative… Ni les bandits des banlieues ethniques, qui ne vont pas venir déposer leur kalachnikov au commissariat. En réalité les gouvernants ont peur de la colère populaire et de possibles soulèvements.

Le plus inquiétant pour les possesseurs d’armes, c’est que la catégorie D devrait même être supprimée, c’est à dire « les armes soumises à enregistrement et les armes à détention libre » suivant l’ONCFS.

Voici le communiqué du Comité Guillaume Tell, diffusé par la Fédération française de tir :

« Le Conseil européen déclare la guerre aux tireurs sportifs et aux chasseurs

Au nom de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, la Présidence hollandaise du Conseil vient de soumettre des propositions inadmissibles aux 28 Etats membres.

A la dernière minute et sans la moindre concertation, la présidence hollandaise du Conseil vient de prendre pour cible les tireurs sportifs avec des contraintes nouvelles imposées sur la taille des chargeurs et sur les dérogations exclusivement limitées aux compétitions sportives.

En parallèle, le même acharnement a lieu contre les chasseurs en supprimant purement et simplement la catégorie D afin que toutes les armes, y compris de chasse, déjà soumises à enregistrement, passent dans un régime lourd.Qui va nous faire croire que la suppression de la catégorie D va permettre de lutter plus efficacement contre le crime organisé et le terrorisme.

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Les services anti-terroristes s’attendent à de nouveaux attentats islamistes et à une riposte des patriotes

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Lors de son audition devant la Commission de la défense nationale et des forces armées, mardi 10 mai 2016, Patrick Calvar, le directeur de la DGSI a lâché cette information :  » les extrémismes montent partout et nous sommes, nous, services intérieurs, en train de déplacer des ressources pour nous intéresser à l’ultra-droite qui n’attend que la confrontation. Vous rappeliez que je tenais toujours un langage direct ; eh bien, cette confrontation, je pense qu’elle va avoir lieu. Encore un ou deux attentats et elle adviendra. Il nous appartient donc d’anticiper et de bloquer tous ces groupes qui voudraient, à un moment ou à un autre, déclencher des affrontements intercommunautaires. »

Bref, l’état républicain sait qu’il y aura de nouveaux attentats mais sa priorité sera de combattre les patriotes qui réagiront.

Compte rendu complet de la Commission

Voiture de police incendiée : l’enquête mène au groupe Action Anti-Fasciste Paris Banlieue

MAJ : l’un des interpelés dans l’affaire de la voiture de police incendiée s’appelle Antonin Bernanos (photo ci-contre).
C’était un proche de Clément Méric.
Témoin de la décadence de notre peuple, c’est un arrière-petit-fils de… Georges Bernanos, qui doit se retourner dans sa tombe.

Le JDD le décrit comme « fils de bonne famille, domicilié dans le quartier de Montparnasse et travaillant à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) ». L’extrême-gauche quoi…

Ces gens se font passer pour des prolétaires alors qu’ils sont généralement issus de milieux bourgeois, ils se font passer pour des gentils et des victimes (cf affaire Méric) alors qu’ils sont violents, remplis de haine et de volonté d’éliminer une partie de la population.

A ce sujet, on notera le silence médiatique assourdissant concernant la véritable tentative de meurtre avec préméditation dont a été victime un jeune homme à Paris il y a quelques jours, par des éléments de cette mouvance « antifa ».

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Précédemment, nous relations :
parmi les cinq personnes gardées à vue, deux frères de 21 et 32 ans appartiennent au groupe action Anti-Fasciste Paris Banlieue. Le plus jeune, Antonin, avait fait un recours devant le Tribunal administratif contre l’interdiction de manifester mardi dernier émise par le préfet.

Lire l’article sur I-Télé

Privatisation des radars embarqués

radar-embarqueBig Brother et capitalisme font bon ménage : les automobilistes seront bientôt flashés par des sociétés privées qui prendront le relai des gendarmes et policiers. Objectif : multiplier par quatre le temps de conduite des véhicules achetés par l’État et donc multiplier d’autant leur rentabilité en sanctionnant le moindre écart de vitesse.

Le traitement des procès-verbaux issus des radars fixes est déjà effectué par des sociétés privées.

Source

Le Sénat vote l’interdiction pénale de lire certains sites Web sans bonne foi

« Le Sénat a adopté mercredi soir une disposition qui obligera les internautes qui consultent des sites avec de la propagande terroriste à prouver leur bonne foi. Sinon, trois ans de prison.

Contre l’avis du gouvernement qui sait l’article probablement inconstitutionnel, le Sénat a adopté jeudi un amendement présenté par le groupe des Républicains dans le cadre de l’examen du projet de loi de réforme pénale, qui vise à condamner la lecture répétée de sites de propagande terroriste. Le même texte avait été précédemment rejeté par l’Assemblée nationale.

Que dit le texte interdisant la visite de sites ?

L’article amendé punit de deux ans de prison et 30 000 euros d’amende que « le fait de consulter habituellement un service de communication au public en ligne mettant à disposition des messages, images ou représentations soit provoquant directement à la commission d’actes de terrorisme, soit faisant l’apologie de ces actes lorsque, à cette fin, ce service comporte des images ou représentations montrant la commission de tels actes consistant en des atteintes volontaires à la vie est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ».

Source (Numerama) et suite

La surveillance de masse d’internet pousse les internautes à s’autocensurer

De plus en plus les gouvernements mettent en place une surveillance généralisée d’internet et des réseaux sociaux, surveillance qui vise tout le monde sans distinction, pour officiellement lutter contre la criminalité. Cet argument ne tient pas car on sait que les terroristes ou autres grands criminels savent contourner cette surveillance, ce qui leur permet -hélas- de continuer leurs méfaits comme le prouvent les attentats dont nous sommes témoins, sachant du reste que le gouvernement lui-même nous avertit que d’autres attentats auront lieu. Dès lors se pose la question de savoir pourquoi maintient-on et même renforce-t-on cette surveillance inefficace ? Une étude réalisée aux Etats Unis et dont s’est fait écho le Monde nous donne une explication, beaucoup plus vraisemblable : La surveillance de masse conduit les internautes à s’auto-censurer, ce qui permet aux gouvernements de limiter l’expression d’opinions politiquement incorrectes. Ainsi, la surveillance généralisée, loin de lutter contre le terrorisme, permet un contrôle de l’opinion et de limiter le développement d’idées dissidentes.

Pour étudier ce phénomène, la chercheuse Elizabeth Stoycheff, de l’université de Wayne State (Michigan), a mené une expérience sur 255 personnes, à qui elle a fait remplir un questionnaire. Pour la moitié des participants, ce questionnaire était accompagné d’un message rappelant que « même si nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour que vos opinions restent confidentielles, il est important de garder à l’esprit que la National Security Agency surveille les activités en ligne des citoyens, ce qui est hors de notre contrôle ». Tous les participants devaient répondre à des questions sur leur personnalité, puis étaient confrontés à un article de presse sur la poursuite des frappes américaines contre l’organisation Etat islamique en Irak. Ils devaient ensuite donner leur opinion sur le sujet, dire ce qu’ils pensaient être l’opinion majoritaire parmi les Américains, et s’ils comptaient partager leur propre point de vue sur la question.

Résultat : les personnes à qui l’on a rappelé la surveillance d’Etat étaient moins enclines à parler de leurs idées, si elles les jugeaient non conformes à l’opinion majoritaire. Même parmi les participants qui, selon leur profil psychologique, étaient les moins sujets à l’autocensure.

Plus étonnant, les personnes les plus à même de s’autocensurer sont celles qui, dans l’absolu, soutiennent les programmes de surveillance : « Ces individus ont indiqué que la surveillance était nécessaire pour la sécurité publique et qu’ils n’avaient rien à cacher. Pourtant, quand ces individus perçoivent qu’ils sont surveillés, ils modifient leur comportement en conséquence : ils expriment leur opinion quand elle est majoritaire et la taisent quand elle ne l’est pas. »

Ces conclusions sont cohérentes avec la théorie de la « spirale du silence », mise en avant dès les années 1970, qui démontre que les individus ont tendance à taire leur point de vue s’ils sentent que celui-ci n’est pas partagé par leurs pairs, par peur de l’isolement. Mais cette dernière étude apporte un nouvel élément, en s’intéressant notamment à l’expression sur Internet et à la surveillance gouvernementale : « C’est la première étude à apporter la preuve que les programmes de surveillance gouvernementaux en ligne peuvent menacer l’expression d’idées minoritaires, et contribuer au renforcement de l’opinion majoritaire. »

Cazeneuve prétend que « ceux qui nous frappent utilisent le Darknet » et veut plus de flicage du net

Lors de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale le 22 mars, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a bien sûr été invité à réagir aux attentats commis à Bruxelles.

Et le ministre de l’Intérieur d’accuser en partie Internet et la protection de la vie privée…

«  Ceux qui nous frappent utilisent le Darknet et des messages chiffrés », a ainsi affirmé Bernard Cazeneuve, sans apporter d’éléments concrets à l’appui d’une telle déclaration.
Le « Darknet » un « réseau privé virtuel » dont les utilisateurs sont considérés comme des personnes de confiance (la plupart du temps, ces réseaux sont de petite taille, souvent avec moins de dix utilisateurs chacun ; un darknet peut être créé par n’importe qui et pour n’importe quel objectif).

Donc Cazeneuve nous explique que le flicage et la censure sur internet ont été inutiles contre le terrorisme, alors que c’en était le motif…
Maintenant c’est la faute au « darknet » (mais l’internet classique restera quand même en ligne de mire…).

« Or cette affirmation n’est pas étayée » souligne Numérama : « Elle serait même contraire au contenu d’un rapport de 55 pages produit par le ministère de l’Intérieur lui-même, quelques semaines après les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, relayé cette semaine par le New York Times. Selon le quotidien américain, le rapport indique que les enquêteurs n’ont trouvé trace d’aucune utilisation de messageries chiffrées, les organisateurs des attentats ayant plutôt adopté une méthode plus traditionnelle à base de téléphones jetables.
Quant au Darknet, M. Cazeneuve affirme qu’il est utilisé pour se procurer des armes. C’est peut-être vrai, mais peu crédible. D’abord parce que se faire livrer une kalachnikov en colissimo n’est pas tout à fait discret.

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Les Républicains veulent pouvoir bloquer Facebook ou Twitter sans délai

De nombreux députés « Les Républicains » ont cosigné un amendement du député Éric Ciotti au projet de loi de réforme pénale, pour permettre au ministre de l’Intérieur d’ordonner le champ et sans aucun contrôle le blocage d’un site qui « provoquerait au terrorisme ou en ferait l’apologie » (appellation très floue qui encore une fois pourra frapper tous les dissidents, surtout après avoir été complétée au fil des ans), « y compris les réseaux sociaux ».

Vu sur Numérama :

Eric Ciotti, député droitard « sécuritaire », apprécié par une certaine extrême-droite…

« La loi sur l’état d’urgence était censée être une loi d’exception. Mais pourquoi ne pas en faire la normalité ? Le député Éric Ciotti, déjà auteur d’un amendement qui prévoit d’interdire les iPhone ou les smartphones Android en France si Apple ou Google refusent de coopérer au déblocage des téléphones, propose de faciliter le blocage sans délai des sites internet.

Avec plusieurs dizaines de collègues du groupes Les Républicains, le député a déposé un amendement n°224 au projet de loi de réforme pénale qui dispose que « le ministre de l’intérieur peut prendre toute mesure pour assurer l’interruption de tout service de communication au public en ligne provoquant à la commission d’actes de terrorisme ou en faisant l’apologie ».

« Le dispositif proposé par cet amendement est d’ores et déjà prévu dans le cadre de l’état d’urgence. Il convient de le pérenniser »

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