Bruno Le Maire confirme la hausse des taxes sur les carburants au 1er janvier malgré la grogne et Macron « assume »

Alors que l’exaspération des Français se fait sentir concernant les prix à la pompe qui atteignent des prix extrêmes (surtout le diesel), le gouvernement entend encore augmenter les taxes sur le carburant !
Sous le prétexte hypocrite d’écologie, le gouvernement utilise la violence fiscale pour renflouer ses caisses (avant le dépenser comme on sait…)
Le Maire avoue dans le même temps, qu’il ne trouve pas, ou ne veut pas trouver de solution pour taxer les géants du web (Apple, Facebook, Google, LinkedIn, Microsoft etc..). La « Start Up Nation », dont les politicards ressemblent pour beaucoup aux jeunes cadres ambitieux et arrogants des multinationales anglo-saxonnes, se moquent à nouveau des Français.

« Ce lundi, c’était au tour de Bruno Le Maire, invité de BFMTV et RMC, de le réaffirmer. Interrogé sur la future hausse des taxes sur le carburant, qui interviendra le 1er janvier prochain, le ministre de l’Économie s’est montré clair: « Non, elle ne sera pas suspendue. On ne suspend pas la transition écologique, la conversion du parc automobile français, qui est nécessaire ».

« La bonne solution, ce n’est pas de revenir en arrière, c’est d’accompagner cette transition, a-t-il encore déclaré. « Nous ne devons pas renoncer à notre objectif d’avoir des transports moins polluants ». » (source BFMTV)

De son côté le président Emmanuel Macron prétend « assumer parfaitement » son racket fiscal par la hausse de la taxation sur le diesel, dans un entretien aux journaux du groupe Ebra à paraître lundi : « J’assume parfaitement que la fiscalité due au diesel soit au niveau de celle de l’essence et je préfère la taxation du carburant à la taxation du travail ».
Mais il dit aussi «J’ai demandé aussi au gouvernement de trouver de solutions pour qu’avec les employeurs, les salariés qui doivent utiliser au quotidien leur voiture puissent être aidés davantage. » En clair, les entreprises risquent de devoir payer pour aider les employés qui doivent prendre la route à faire face à la hausse. Ce qui revient bien sûr à « taxer le travail ».