L’ancien chef de la DST dénonce l’usage de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite

L’ex-patron de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire), Yves Bonnet, met en cause l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le financement des réseaux islamistes radicaux, notamment dans les pays salafistes. « Il y a un vrai problème » estime-t-il, évoquant leur investissement financier dans « un certain nombre d’actions préocuppantes ». Interview à lire ici.

Manuel Valls à propos des nouveaux terroristes : « Il ne s’agit pas d’étrangers, il s’agit de français musulmans »

[Tribune libre] Manuel Valls s’inquiète. Après le démantèlement, samedi, d’une cellule islamiste radicale, le ministre de l’intérieur a reconnu qu’en France, le premier risque terroriste était représenté par des jeunes qui y avaient grandi, moins que par des étrangers. Comment peut-il feindre cependant d’ignorer les implications d’un tel constat ? Car ces Français ne le sont pas devenus par voie de filiation, pas davantage qu’ils n’ont  recherché à être adoptés par une nation dont ils refusent obstinément l’héritage historique et culturel. Ces gens ne sont fils de France ni par le sang reçu, ni même par l’assimilation; ils ne s’inscrivent assurément pas dans la lignée de nos pères, ces héros qui ont façonné la France en faisant de leurs enfants des dépositaires. La France n’est pourtant pas un terrain vague où toutes les communautés peuvent venir planter leur tente, elle n’est pas une simple addition de catégories : elle est une terre chargée d’histoire qui fait de nous des héritiers; elle est une communauté de destin qui s’enracine dans un passé commun. Or ces terroristes, devenus français par voie migratoire puis administrative, ne sont pas issus de ce passé français, ni ne se le sont appropriés pour faire leur le destin commun que nous construisons sur le socle de notre histoire séculaire. Français de papier, ils ne le sont pas devenus de coeur.
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Arroseur arrosé : Jean-François Dérec condamné pour racisme

L’« humoriste » Jean-François Dérec, accusé d’injure raciste par un agent de sécurité, a été condamné jeudi à une amende de 2 000 euros avec sursis et un euro de dommages et intérêts à la partie civile.
L’agent de sécurité assure en effet que Dérec l’a traité de « sale nègre » à l’issue d’un spectacle au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, le 21 novembre dernier, alors qu’il venait de lui refuser l’accès à la loge de Guy Carlier.
Le comédien, « scandalisé par ce jugement », nie farouchement les faits, estimant que « se voir traiter de raciste, c’est la pire des choses ». A souligner que Jean-François Dérec est un juif polonais, parrain de SOS racisme.

Voilà donc les chantres de l’« antiracisme » rattrapés eux-mêmes par le système qu’ils ont mis en place. Dans son malheur, cet agent de sécurité a de la chance quelque part : s’il avait été blanc, et traité de « sale blanc », sa plainte eût été irrecevable.
Et pour cause, le racisme anti-blanc n’existe pas officiellement, comme le confirme cet ancien cadre de SOS-racisme :

Le Pen poursuivi par le lobby juif

L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a annoncé hier avoir porté plainte contre Jean-Marie le Pen, auprès du tribunal correctionnel de Saint Nazaire, pour « provocation à la haine raciale » et « diffamation raciale ». Le 22 septembre dernier, le président d’honneur du Front National avait en effet attribué aux Roms, lors de l’université d’été du mouvement qui se déroulait à la Baule, cette phrase : « Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement ». L’affaire sera examinée le 5 février à 14h00.

Est-ce le déracinement des Roms en terre étrangère qui leur attire les faveurs du lobby juif ? Pour quelle motif en effet, et à quel titre,  l’UEJF s’intéresse-t-elle, au point de convoquer la justice, à des propos concernant une autre communauté que celle qu’elle est censée représenter ? Faut-il y voir  le signe d’une communion de sentiments, voire d’une convergence d’intérêts, entre les apatrides vivant sur le sol français ? Étrange en tout cas…

Voir la vidéo :

Seuls les Européens sont-ils racistes ?

Quel scandale ! Que font les professionnels de l’indignation ??
Cela s’est déroulé le 1er octobre dernier, lors de l’émission « C dans l’air » (France 5). Une émission consacrée à l’évacuation d’un campement de Roms à Marseille par des riverains. Ecoutez les propos du journaliste José D’Arrigo, professeur à l’Université de Provence (on imagine comment sont formés ses successeurs) :

Cette évacuation de Roms n’a donc aucun caractère raciste puisque, nous explique-t-il, « ce ne sont pas des Européens qui ont fait ça ». Ou comment suggérer que seuls les Européens peuvent faire preuve de racisme… Imagine-t-on un instant un intervenant tenir les propos inverses sur le même plateau ? Ce même journaliste aurait-il pu affirmer qu’un geste d’hostilité à l’adresse d’un étranger ne pouvait recouvrir une dimension raciste dans la mesure où il était accompli par des Européens ? Quelles cascades de réactions cela aurait-il suscité auprès des associations dites anti-racistes…

Que ce journaliste ne craigne cependant rien. Il est convenu de nos jours de distiller la haine de l’Occidental, ce « salaud » de Blanc si cher à l’imagerie post-coloniale…

François Lebel (UMP), à propos du « mariage » gay : « Comment s’opposer demain à la polygamie en France ? »

François Lebel, maire UMP du 8ème arrondissement de Paris, s’oppose fermement au projet de législation du « mariage » homosexuel. Dans une tribune, déclarant qu’il ne procèdera « personnellement à aucun mariage de cette nature« , il exprime ses craintes à propos « des pires dérives » polygame, pédophile et incestueuse, auxquelles la société sera désormais exposée « si le tabou immémorial du mariage hétérosexuel vient à sauter« .

Paroles fermes, à rebours de l’idéologie destructrice des valeurs et des structures traditionnelles, laquelle domine aujourd’hui l’opinion et les médias, elles valent déjà à son auteur les invectives éculées d’une certaine presse bien pensante : « Un élu UMP dérape sur le mariage homosexuel » titre ainsi Libération. Oui, mais pour constater un dérapage, il faut d’abord admettre l’existence d’un sentier balisé, duquel on se détournerait en dérapant.
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« Casse-toi de là sale français ! T’es pas chez toi ici, casse-toi ! »

« Comment décrire l’état d’esprit qui est celui, actuel, de Michel del Burgo ? Colère ? Dégoût ? Incompréhension ? C’est un peu tout à la fois. Mardi soir, vers 18 h 30, le grand chef cuisinier qui s’apprête à ouvrir un restaurant de grand prestige à Carcassonne a été victime d’une agression qu’il ne s’explique pas. Et qui le rend malade. Il raconte.

«Je sortais de mon établissement et me rendais en centre-ville en voiture en passant par le quartier la Conte. Je me suis arrêté à hauteur du bureau de tabac, de l’autre côté de la chaussée, pour répondre à un appel téléphonique… Tandis que je discutais, j’ai entendu des cris : «casse-toi de là, sale Français. T’es pas chez toi ici, casse toi !», raconte-t-il. «Sur le moment, ajoute-t-il, je n’ai pas pris ces invectives pour moi». Et de poursuivre sa conversation… «Tout d’un coup, une pierre est venue briser la vitre latérale du véhicule utilitaire, un petit camion frigo. Et puis une seconde a fait exploser le pare-brise», raconte Michel Del Burgo qui n’a eu d’autre choix que de démarrer et partir.

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Le réveil des esprits libres ?

Décidément, entre le Boulevard Voltaire de Robert Ménard qui, sur le terrain journalistique, entend s’émanciper du « médiatiquement correct« , et la « Droite Forte » de Guillaume Peltier qui, sur le terrain politique, désire « démocratiser les chaînes du service public » et « libérer l’information en garantissant l’embauche de journalistes de droite« , il semble qu’un vent de réaction souffle à droite, et que certains feignent de découvrir la domination culturelle de la gauche sur l’opinion, la politique, et les médias…

Il reste qu’invoquer la liberté d’expression, si chère à Robert Ménard, lorsque le rapport de force est défavorable, relève de la stratégie ; mais l’ériger en principe idéologique, c’est sombrer dans le relativisme dès lors que l’on ne voit derrière les idées que des opinions, toutes égales, et qu’on laisse ainsi entendre que la vérité en tant que telle est inaccessible, voire inexistante. Si en revanche toutes les idées ne se valent pas, qu’elles n’ont pas la même valeur, alors elles ne sauraient jouïr non plus des mêmes droits de diffusion. « Chacun voit midi à sa porte », nous rétorquera-t-on. Mais le même s’indignera que les idées nazies puissent faire l’objet d’une profusion sans entraves : une telle indignation ne suggère-t-elle pas, fût-ce tacitement, l’existence d’une échelle des valeurs ?

Là est toute la contradiction :
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Quand l’Union Européenne s’en prend à nos vins…

On se souvient comment les technocrates bruxellois avaient pensé, de leurs bureaux, la fabrication du rosé à partir de vin blanc coupé de rouge. Désormais, les voilà qui s’attaquent à nos étiquettes de vins, tout disposés à sacrifier ce qui participait encore de l’exception française : ainsi la terminologie viticole française va être étendue aux vignobles américains ; les «château», «clos» et  autres «cru» pourront être récupérés pour la commercialisation des vins américains.  A lire ici .

On se rappelle aussi le rachat par les chinois, en Côte d’Or, d’un vignoble de 8 millions d’euros, au château de Gevrey-Chambertin. Le cas n’est pas isolé. Un phénomène qui se répand et qui, selon les experts, augurerait « une vague d’achats qui pourrait à l’avenir s’élargir à d’autres crus prestigieux« .

Décidément, même les produits du terroir les plus enracinés dans l’Histoire et dans la terre, et avec eux une partie de notre identité charnelle, sont menacés par la mondialisation…

La charcuterie n’est plus la bienvenue à Nimes…

Hugues Bousiges, préfet du Gard, a réuni en urgence, jeudi 27 septembre dernier, les élus et les représentants d’un quartier de Nimes. Motif ? Les pressions exercées par des musulmans, sur le marché du quartier du « Chemin-bas d’Avignon », pour que soit retirés de la vente l’alcool, la charcuterie et les vêtements féminins… Quant au représentant régional du Conseil français du culte musulman, convié à la réunion, il affirme, désolé, que « c’est la première fois qu'[il] entend parler d’une telle histoire« .

Evidemment, les revendications catégorielles de minorités issues de l’immigration sont absolument inexistantes sur notre sol. Bien sûr… Le malheur, c’est que nos dirigeants feignent de découvrir les désastreuses conséquences des causes qu’ils ne se lassent pourtant pas de promouvoir. Que l’immigration de masse puisse avoir une incidence sur la stabilité et l’équilibre culturel et démographique de nos sociétés, voilà qui semble avoir échappé à nos politiques. Que les faits viennent le leur rappeler et le vérifier, voilà qui paraît les déranger. Ces gens là n’ont eu de cesse, en effet, d’utiliser le ressort affectif et de susciter la compassion envers les populations immigrées extra-européennes, interdisant ainsi toute maîtrise de l’immigration. Ce faisant, ces démagogues ont agi sans considération du bien commun, lequel reste pourtant, en politique, le critère ultime de discernement.

Vont-ils aujourd’hui s’attaquer aux effets pervers de leur politique, et faire taire les revendications communautaires toujours plus nombreuses sur notre territoire ? Vont-ils rappeler à nos hôtes que, les ayant accepté sur son sol, la France a le droit d’exiger d’eux le respect de ses codes, de ses coutumes et de ses traditions ? Ou vont-ils céder devant ces groupes politico-religieux, sous le prétexte fallacieux d’une diversité qui brise aujourd’hui le ciment social et communautarise le pays ? Ils semblent manifestement embêtés à Nimes. « Dieu rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes« , s’amusait pourtant Bossuet. Mais il est vrai que l’illustre évêque de Meaux a disparu des manuels d’Histoire avec Louis XIV…

Jean de Rouen

Voltaire, chantre de la liberté d’expression… vraiment ?

[Tribune libre] Un lecteur nous adresse, en exclusivité, sa Lettre ouverte aux animateurs du nouveau site « Boulevard Voltaire », dirigé par Robert Ménard et qui se veut un nouveau vecteur de réinformation, en pointe dans le combat pour la liberté d’expression :

« Apparemment, pour vous, Voltaire est synonyme d’opposition à l’intolérance et au fanatisme.
Le problème, c’est que, dans la réalité, ce fut l’inverse : Voltaire fut ultra-intolérant et ultra-fanatique.
Le grand journaliste libre de cette époque, c’est Fréron.
Fréron contre qui Voltaire n’a pas hésité à requérir la censure et la prison.
Voltaire a d’ailleurs réussi : Fréron a vu son journal interdit plusieurs fois par la censure et il a même été embastillé à plusieurs reprises. Inutile de dire que Voltaire n’a jamais réclamé sa mise en liberté…
Voltaire a essayé de faire taire par la censure tous ceux qui le critiquaient.
Chacun sait que la fameuse phrase qui lui est attribuée sur sa prétendue résolution de se battre pour ceux qui ne pensaient pas comme lui est un FAUX. Non seulement il n’a jamais dit ça, mais il a démenti cette attitude par tous ses actes
La seule liberté de parole dont Voltaire se souciait, c’était la sienne propre et celle de ses amis. Les autres, il les écrasait.
Il s’est servi de Calas pour sa publicité personnelle, mais il a écrit, dans ses lettres privées, tout le mépris qu’il avait pour lui.

Bien sûr, Voltaire a brandi le mot « tolérance ». Mais c’était la tolérance pour lui seul. Non pour les autres. Fréron l’avait bien deviné, qui écrivait en 1772 :
« Si les sages philosophes du siècle, qui réclament la tolérance avec tant de chaleur et d’intérêt parce qu’ils en ont le plus grand besoin, étaient eux-mêmes à la tête du gouvernement et se voyaient armés du glaive de la souveraineté, ils seraient peut-être les premiers à sévir contre tous ceux qui auraient l’audace de contredire leurs opinions. »
Et encore :
« Jamais peut-être il n’a coulé autant de sang qu’ils en feraient couler eux-mêmes ! » Continuer la lecture de « Voltaire, chantre de la liberté d’expression… vraiment ? »