Zapatero propose une autorité religieuse mondiale…

Zapatero

L’ancien président espagnol José Luis Rodriguez Zapatero proposait mardi dernier, lors du symposium international sur la Paix mondiale à l’Université de Nebrija de Madrid, la création d’une« alliance permanente entre les confessions religieuses » reliée à l’ « Alliance des civilisations », une de ses créations, et à l’ONU.

« Aujourd’hui l’alliance ne suffit plus. Il faut l’union. L’union des religions, des cultures, en faveur de la paix » a-t-il déclaré. « Une autorité religieuse globale » qui aurait pour « principes » le respect du pluralisme religieux et la liberté religieuse, afin d’en finir avec les guerres.

Le site espagnol Infocatolica n’en croit pas un mot : « Zapatero propose son modèle d’Antichrist » titre-t-il.

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L’ONU oblige l’Irlande à un référendum sur l’avortement

Frances Fitzgerald

Le ministre de la Justice Irlandaise, Frances Fitzgerald, tête de la délégation du pays au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, a été entendu dans le cadre de l’examen de la conformité de l’Irlande avec certaines normes internationales.

Il a notamment été interroger « avec fermeté » sur le Protection of Life During Pregnancy Act (Acte de protection de la vie pendant la grossesse) de 2013, avant que l’Irlande ne soit accusée d’être en « violation de Droits de l’Homme » puisqu’il est interdit d’avorter en Irlande en cas de viol, d’anomalie foetale, ou de risques en termes de santé.

Le Conseil des Droits de l’Homme a également reproché au gouvernement de ne pas prendre intégralement en charge les dépenses de transport des femmes allant avorter à l’étranger.

Les Droits de l’Homme sont donc pour la puissante institution qu’est l’ONU, une négation des Droits de l’Enfant à naître, ce qui n’est pas une grande nouvelle. Mais non contente de le penser, elle l’encourage vivement par l’intimidation…

L’Irlande n’est en effet pas tenue de se plier à ces demandes, mais le gouvernement ne semble pas avoir l’intention de les ignorer, puisque la délégation a promis au Conseil un référendum constitutionnel sur la question.

 

9 mois ferme pour un photomontage…

Taubira photomontage

Anne-Sophie Leclère, ancienne candidate du Front National aux municipales de Rethel (Ardennes) a été condamnée hier par le tribunal de Cayenne à neuf mois de prison ferme, 5 ans d’inéligibilité et 50.000 euros d’amende pour… un photomontage « liké » sur Facebook comparant Christiane Taubira à un petit singe.

Et s’il était besoin de déceler encore une forme peu commune d’acharnement, le Front National a lui-même été condamné à 30.000 euros d’amende, alors que la candidate avait alors été exclue du parti.
Les avocats du mouvement Walwari qui avait porté plainte avaient demandé que la décision « fasse jurisprudence inscrite en lettre d’or ». Ils doivent être ravis… Leur jurisprudence ils l’ont : on peut désormais aller en prison pour une blague, au lendemain d’une réforme pénale insistant pour que la prison ne soit pas une solution pour les agresseurs, violeurs ou autres ordures en tous genres…

A noter également que si vous profanez ou vandalisez une église, vous risquez quelques 1500 euros d’amende, mais se moquer aussi bêtement qu’innocemment de l’idole du progressisme et de l’anti-France qu’est devenue Christiane Taubira, c’est la prison.

Et il se trouve des remparts de la bien-pensance pour défendre cette condamnation, oubliant sans doute que dans un pays libre, personne ne va en prison pour un photomontage, aussi bête soit-il.

L’ex-femen Amina, mythomane, en garde-à-vue !

Amina Agression

L’ex-Femen qui avait déposé plainte pour avoir été agressée et tondue par cinq salafistes s’est retrouvée en garde-à-vue pour dénonciation d’un délit imaginaire…

Une issue que tout le monde prévoyait tant le récit de l’agression était farfelu : Amina avait écrit avoir été agressée à 5h à la sortie du métro, avant de réaliser sans doute qu’il n’y avait pas de métro à cette heure-ci et de changer l’heure pour 6h30…

Elle avait posté une photo montrant ses cheveux soit-disant « rasé », avec exactement la même coupe que la veille…

Bref, la seule chose plausible dans son histoire était la présence de salafistes place de Clichy, mais apparemment même eux ne s’intéressent pas à elle. La pauvre petite devait manquer d’attention, ou de lecteurs pour son livre, comme nous le pressentions le jour même de l’agression !

Il fallait attendre que les (nombreuses) caméras de la place de Clichy parlent : elles ont rendu leur verdict, aucune agression n’a été filmée…

Il faudra tenter de trouver une version des faits un peu plus cohérente pour la prochaine tentative d’intox ou de buzz ! Décidément, rien ne va plus pour les Femen ou ex-Femen !

Amende ridicule requise contre les Femen, encore une mauvaise « blague ».

Femen 1500 euros

Cela fait déjà de trop longues années que la justice française crache son injustice et sa partialité sur tout opposant un peu zelé au système politico-médiatique en place, mais le phénomène s’accélère et gagne en obscure clarté.

1500 euros d’amende requis contre les Femen pour avoir vandalisé Notre-Dame peinturlurée de slogans haineux envers le Pape, l’Eglise et l’ensemble des catholiques. Cette modique somme ressemble fort à un encouragement à poursuivre cette lutte anti-chrétienne primaire, vulgaire et destructrice.

Les Femen sont pathétiques et leurs soutiens de moins en moins nombreux. C’est la Justice, et ce qu’elle incarne, qui est inquiétante.

Relaxe pour l’empoisonnement de sept patients, relaxe pour le viol collectif d’une handicapée, amende ridicule pour ces profanatrices multi-récidivistes… Pendant qu’un Hommen encoure 6 mois de prison ferme pour avoir déployé une banderole à Rolland-Garros, pendant qu’une mère de famille encoure 4 mois de ferme pour avoir « aimé » un photo-montage ridicule comparant Taubira à une guenon sur Facebook, que des jeunes sont mis en examen et placés sous contrôle judiciaire pour être montés sur le toit d’une mosquée en chantier ou pendant qu’Esteban croupit toujours en prison alors que tout prouve qu’il n’a fait que se défendre

Les exemples sont légion et le message est clair : ce sont les résistants à ce gouvernement, et plus largement à l’idéologie largement partagée à « droite » comme à « gauche » qu’il sert, qui sont poursuivis et condamnés, eux seuls.

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le cas d’Ali n’est pas isolé, prévient le juge Marc Trévic. En prison depuis un an, le jeune homme est enfermé dans le cadre de l’information judiciaire pour « association de malfaiteurs » ouverte à son encontre depuis son arrestation par les enquêteurs de la DGSI alors qu’il s’apprêtait à gagner un maquis du Sud algérien pour s’y entraîner.

L’enquête vient de révéler des messages cryptés que le fameux Ali échangeait avec un haut dignitaire d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) dans lesquels il suggérait de viser un large éventail d’objectifs parmi lesquels la Tour Eiffel, le Musée du Louvres, des centrales nucléaires, le Festival d’Avignon ou encore des bars ou boîtes de nuit.

Des candidats au djihad toujours plus nombreux

Difficile de savoir si le jeune homme, que son avocate décrit (évidemment…) comme un jeune homme faible et victime d’un véritable endoctrinement, serait passé à l’acte, mais la DGSI, elle, insiste sur son zèle.

Aqmi reste la menace principale mais chaque zone de conflit « en terre d’islam » fait naître de nouvelles vocations, de nouvelles filières de djihadistes qui deviennent terroristes potentiels à leur retour en France. Les atrocités d’Abou Bakr al-Baghdadi qui vient de proclamer la création d’un califat en Irak attire déjà de nouvelles recrues.

A quand la surveillance des imams et des mosquées ?

Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a choisi d’élargir l’arsenal juridique pour l’adapter au mieux à ces nouvelles menaces. Il propose, notamment, de renforcer la surveillance d’Internet, qu’un enquêteur de la DGSI qualifie de « principal lieu d’endoctrinement et de radicalisation des jeunes candidats au départ ». Ce n’est donc plus la prison ?

Le renforcement de la surveillance internet est aussi une façon d’accroître les contrôles et la surveillance des citoyens Français, au nom de leur sécurité… Si on essayait de renforcer la surveillance des frontières, des banlieues, des imams et des mosquées pour commencer ?

L’Algérie défilera le 14 juillet !

ALGERIEAprès des semaines de rumeurs imprécises, de démentis et d’hésitations, c’est officiel, Alger a accepté de défiler le 14 Juillet et participera donc aux cérémonies à Paris a annoncé son chef de la diplomatie, Ramtane Lamamra.

« L’Algérie participera, dans le même format et dans les mêmes conditions que 80 autres nations dont des citoyens sont tombés sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, à la manifestation prévue à Paris à cet effet », a dit le ministre.  « Le peuple algérien assume toute son Histoire et honore ses propres contributions à la liberté à travers le monde », a-t-il ajouté.

Une présence qui engendre des polémiques en France comme en Algérie. Simplement parce que non, l’armée algérienne défilant sur les Champs Elysées ne se lit pas comme la participation de « 80 autres nations ».

Il s’agit d’abord de l’armée de tous ces ressortissants qui confient haïr la France tout en y habitant. Mais ce sera aussi le drapeau du FLN, inchangé depuis, qui défilera sur les Champs Elysées alors même que la France n’a pas été capable de se souvenir, le 5 juillet, des massacrés d’Oran.

C’est aussi un hymne national qui prend directement la France à partie, comme aucun autre hymne dans le monde ne le fait, et qui révèle que l’esprit de contre-colonisation est toujours vif :

Ô France ! le temps des palabres est révolu
Nous l’avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre Révolution le rendra
Car Nous avons décidé que l’Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !

Le ministre Français des Affaires étrangères Laurent Fabius avait pourtant estimé le 20 juin dernier, répondant déjà aux polémiques naissantes, que la présence de soldats algériens lors des cérémonies du 14 juillet sur les Champs-Elysées n’avait « rien de choquant », puisqu’il s’agit de commémorer tous les sacrifices qui ont été faits durant la Première Guerre mondiale. Intéressant de lire à ce sujet l’entretien de Jean-Dominique Merchet qui remet largement les choses à leur place quant à ces « sacrifices ».

En France, un collectif baptisé « Non au défilé des troupes algériennes le 14 juillet 2014 »  s’est constitué pour protester contre cette présence.
En Algérie, la puissante organisation des moudjahidines (ONM, anciens combattants) s’est opposée publiquement à la présence de militaires algériens au défilé à Paris.

M. Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, a par ailleurs indiqué que l’Algérie condamnait « fermement » la « profanation » en France du drapeau algérien le 30 juin avant le match Algérie-Allemagne en huitième de finale de la Coupe du Monde de football au Brésil. Les autorités algériennes souhaitent que l’enquête ouverte à ce sujet « aboutisse afin que l’auteur de ce crime subisse la rigueur de la loi ». 

Silence assourdissant en revanche du côté de nos « élites » sur les centaines de drapeaux Français brûlés par ces Algériens qui répètent en insultant la France, qu’ils sont là pour « se venger »…

L’Algérie avait déjà pris les Champs-Elysées pendant la Coupe du Monde par la biais de ses ressortissants sans un mot de la part des autorités françaises… Etant donné les multiples dégradations durant ce mondial, les affronts quotidiens que font les ressortissants algériens à la France sur son propre sol, et l’histoire commune des deux pays, cette invitation ressemble fort à une trahison.

La police affirme que Barbès « se transforme en Etat de non-droit »

BARBES

Dans les colonnes du Parisien, des policiers, presque tous sous couvert d’anonymat, livrent des témoignages accablants : le quartier du XVIIIème arrondissement de la Goutte-d’ Or à Paris, déjà classé en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP), est en passe de devenir une zone de non-droit.

Des témoignages édifiants

Le récit que font les policiers de certaines scènes qui se déroulent à Barbès est édifiant. Les témoignages se passent de commentaire : « Jeudi dernier, on est arrivé à une situation extrême » confie un policier. « Un contrôle sur une bagarre au couteau s’est terminé en révolte de rue. Les policiers ont dû dégoupiller une grenade de désencerclement afin de pouvoir rejoindre entiers leur voiture qui était à 30 mètres ! » poursuit le fonctionnaire de police. Un témoignage à peine croyable. Manque de moyen, sous-effectif… le commissariat du quartier de la Goutte-d’ Or, dans le XVIIIème arrondissement, est « au bord de l’implosion » selon le quotidien, qui précise que «plusieurs fois, le commissariat de la Goutte d’Or a dû diffuser au micro son appel à toutes les unités». Un policier a précisé : «200 policiers sur tout Paris ont été appelés à la rescousse. Samedi le quartier s’est à nouveau embrasé… »

Unsa-Police déclare l’« état d’urgence »

Le syndicat de policiers, Unsa-Police, dénonce une situation qui ne peut plus durer. Il diffuse depuis vendredi un tract « Etat d’urgence ! ZSP du XVIIIème »  pour dénoncer la situation. « Ce sont des voyous qui tiennent le quartier ».

Le Parisien décrit des scènes étonnantes en plein Paris, où des « supermarchés à ciel ouvert » se tiennent dans ces quartiers. On peut y acheter drogues, mais aussi « vélos fraîchement volés »  ou encore des« vêtements de marque neuf à même le sol »… Le quotidien révèle aussi le contenu des procès-verbaux des derniers jours. Le constat est sans appel : « ils attestant de ce trafic et de la montée en violence du quartier ».

La fin de l’article, là encore, se passe de commentaires. Un fonctionnaire de police témoigne que « jeudi dernier, certains policiers ont reçu la consigne de laisser tomber les contrôles des marchés à la sauvette ».

Lu sur Valeurs Actuelles

 

Léonarda et sa famille continuent à défier la France…

Leonarda et son père

Léonarda Dibrani, expulsée avec fracas médiatique l’année dernière, se trouve avec sa mère et trois de ses frères en Croatie, pays membre de l’Union européenne, a déclaré aujourd’hui son père, Resat Dibrani.

La famille avait réclamé fin mai à l’ambassade de Croatie au Kosovo des passeports croates, ils ont obtenu les titres de voyage et n’ont donc plus qu’à terminer la procédure en Croatie. Mme Dibrani et quatre de ses six enfants possédaient déjà des passeports croates dont la validité avait expiré.

Bientôt en France grâce à l’espace Schenghen

« Nous avons une énorme occasion de quitter le Kosovo, la plus grande depuis que nous avons été expulsés de France. J’ai de l’espoir », a déclaré Resat Dibrani au Figaro. En devenant des ressortissants croates, les Dibrani pourraient théoriquement revenir en France à cause du principe de la libre circulation des personnes dans l’espace Schenghen…

« Attention, j’arrive en France ! », lâchait Resat Dibrani toujours au Figaro.

« Lundi (aujourd’hui Ndlr), ils auront les passeports, et dans une semaine, quinze jours, on partira, toute la famille ensemble!  Comme ça, ma femme – enceinte de huit mois et demi – accouchera à l’hôpital de Pontarlier, là où est née Medina (une autre de leurs filles Ndlr)». Ils jouent donc contre la montre pour bénéficier du droit du sol…

Resat Dibrani veut « faire payer la France »

 «On va leur montrer à Hollande et à Valls qui est le chef ! On va leur dire en face ! Ils ne me croyaient pas quand on disait qu’on était européens. Ils nous ont renvoyés au Kosovo comme des animaux, avec de faux papiers. Ah, le préfet du Doubs, il va être bien dans la merde ! » affirme tranquillement le clandestin qui défie le gouvernement depuis maintenant des mois…

Il n’a aucune limite dans ses revendications portées par une législation européenne destructrice de toute souveraineté : « Il faut que toute l’Europe sache ce qu’a fait la France, tonne-t-il. Nous allons aller à la Cour de Strasbourg, pour demander des dommages et intérêts. La France, maintenant, on va la faire payer ! » Oubliant au passage que la famille Dibrani avait déjà coûté 594 697,118 euros au contribuable Français…

Fabienne, institutrice de 34 ans, assassinée par Rachida à Albi.

Fabienne tuée

Vendredi matin, dernier jour de l’année scolaire, une institutrice de grande section de maternelle a été poignardée par Rachida, le mère d’une élève de la classe de cette jeune maman de 34 ans.

Rachida, auteur du crime, était déjà connue des services de police : elle avait été signalée au début de l’année au parquet pour des « troubles psychiques » et une enquête pour délaissement de mineur avait alors été ouverte. Elle avait été hospitalisée jusqu’au 18 mars dernier avant de récupéré la plus jeune de ses deux filles en Espagne, avant de la scolariser dans cette petite école d’Albi, en mai.

Vendredi, elle est venue à l’école avec un couteau de cuisine dans son sac à main et a tué la jeune institutrice devant tous ses élèves « parce qu’elle n’était pas gentille avec sa fille », laissant deux fillettes de 6 ans et 9 mois orphelines.

Comme d’habitude, les troubles psychiatriques sont mis en avant, et personne ne relève qu’il s’agit encore une fois du meurtre d’une Française par une étrangère, aux origines marocaines cette fois-ci.

Troubles psychiatriques sans doute, qui ne l’empêchaient pourtant pas d’avoir la garde de se petite fille de 6 ans…

L’invocation de cette excuse psychiatrique est devenue le signe évident d’un meurtre commis par des étrangers, cachant la réalité d’une part, déresponsabilisant ces agresseurs d’autre part.

Ironie bien triste de cette histoire  : Fabienne Terral-Calmès était engagée au sein du Réseau Education Sans Frontière (RESF) et accompagnait notamment une famille béninoise de cinq enfants menacée d’expulsion, et militait pour sa régularisation. 

Dans la foulée du meurtre atroce de cette jeune femme, la famille a demandé à la préfecture, « en mémoire de Fabienne », la régularisation de cette famille. Les services préfectoraux auraient donné une réponse favorable…

Des décennies d’immigration de masse, de laxisme judiciaire, et de culture de l’excuse systématique envers les immigrés ont encore une fois abouti à un meurtre. Mais les politiques successives sont également responsables de la culpabilisation de cette famille qui choisit, souffrant de la mort d’une des leurs, d’accentuer – au moins symboliquement – le problème en pensant participer à sa résolution…

 

Ouverture d’une école « musulmane » dans le Rhône

Capture d’écran 2014-07-04 à 12.28.11

« Beaucoup de familles de confession musulmane ne se reconnaissent plus dans le système public » a affirmé le directeur de cette future école, Abdelmajid Lekki.

Les raisons évoquées sont d’abord la qualité de l’enseignement dispensé et les difficultés d’encadrement. Mais rapidement une motivation majeure apparaît, celle de la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l’école. A La Plume, dans cette nouvelle école, les petites filles pourront porter leur voile. (Photo groupe scolaire la Plume prise lors de la rentrée test).

La motivation s’est attisée, de ses aveux, au moment le la légalisation du mariage pour tous, un refus grandissant de la décadence occidentale qui ne fait que renforcer le repli identitaire de ces populations déjà déracinées.

L’école a reçu son agrément au printemps et fonctionnera hors contrat. Une rentrée « test » a eu lieu le 5 mai avec 11 élèves. En septembre 75 enfants seront accueillis de la grande section de maternelle au CM1.

Le matin, les cours classique seront dispensés, l’après-midi : apprentissage de la langue arabe, du Coran et des sciences religieuses. Une école coranique en somme.

Le directeur insiste : « à l’exception de quelques éléments qui nous semblent trahir la vérité historique, on peut dire qu’à plus de 80%, les programmes officiels de l’Education nationale seront respectés ». Un enseignement qui se fera donc en fonction de cette patrie qu’est l’islam, rejettant probablement des pans de l’Histoire de France allant contre son avantage…

Des enseignants agréés par l’Education nationale et des professeurs spécialisés et reconnus dans les domaines religieux ont été recrutés.

Le budget annuel est de l’ordre de 135 000€ : Des frais de scolarité à 130€ par mois, le reste financé par des dons privés…

Bien naïf celui qui peut croire une seconde que les enfants ressortiront parfaits petits Français…

Séquestrée, frappée et violée par deux hommes « en situation irrégulière »

Capture d’écran 2014-07-02 à 14.38.45Dans la nuit de vendredi à samedi, une jeune femme de 19 ans a été séquestrée, frappée et violée par deux hommes, dans la Drôme.

Vers une heure, ils la croise, elle demande du feu pour allumer une cigarette. Ils « sympathisent » et se dirigent ensemble vers l’habitation qu’ils squattent à Bourg-lès-Valence (photo DL/Fabrice HÉBRARD).

Après son calvaire, la jeune femme est laissée « libre » et se dirige aussitôt au commissariat de la ville. Les deux hommes sont interpellés dans la matinée. Il s’agit de deux hommes en situation irrégulière dont l’identité est difficile à établir… Une fois de plus.

Ils sont depuis lundi en détention provisoire, mis en examen pour viol en réunion et séquestration.

Sarkozy en garde à vue

Nicolas Sarkozy on visit in BordeauxBygmalion, Buisson, Bettencourt, les écoutes, les sondages de l’Elysée… et maintenant, une première : un ancien chef d’Etat en garde à vue. Sarkozy est depuis quelques temps déjà dans la ligne de mire, le voilà derrière les barreaux.
Il est arrivé dans les locaux de la PJ de Nanterre peu après 8 heures ce matin et a immédiatement été mis en garde à vue dans l’affaires des écoutes, pour trafic d’influence présumé.

Les gardes à vue de son avocat, maître Herzog et de deux autres magistrats (Gilbert Azibert, ex-avocat général à la chambre civile de la Cour de cassation, et Patrick Sassoust, qui tient les mêmes fonctions à la chambre criminelle de cette haute juridiction) qui duraient depuis lundi ont été prolongées.

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ABCD de l’égalité : la même chose, en pire…

Hamon NajatBenoît Hamon et Najat Vallaud-Belkacem ont enfin compris que la pilule ne passait pas et que les initiatives contre les ABCD de l’égalité, expérimentés dans 600 écoles françaises, continuaient à se multiplier…

Mais au lieu d’écouter les Français, et en l’occurrence des parents légitimement inquiets pour leurs enfants, les deux ministres ont décidé de les prendre pour des imbéciles.

« Le nom « ABCD de l’égalité » attaché à l’expérimentation n’apparaîtra plus » affirme Najat, puisque « nous allons passer à une étape où toutes les écoles, tous les enseignants, tous les élèves sont concernés » avec un dispositif « très ambieux », a-t-elle assuré.

Voilà la solution : on change le nom mais on continue, en pire et en accéléré, en restant bien cachés derrière le mot fourre-tout d' »égalité ».

Mais l’égalité de l’homme et de la femme est un principe acquis par notre civilisation… Il n’y a pas besoin de plan d’action spécial…

S’ils voulaient vraiment lutter pour l’égalité, il serait bon de commencer par ces quartiers où les filles n’osent plus sortir en jupe, par exemple…

Il ne s’agit évidemment pas plus aujourd’hui qu’hier d’égalité mais bien toujours de cet égalitarisme qui prétend que les différences naturelles entre un homme et une femme ne sont que des constructions de la société.

Donc on continue, mais on accélère. Benoît Hamon, ministre de l’Education Nationale a lui même a insisté : ce ne sont plus 600 enseignants qui seront formés, mais les 330.000 que compte la France… Les nouveaux « modules pédagogiques » sont bien les clones des « ABCD de l’égalité », rebaptisés pour tenter de museler l’opposition.

Le niveau de l’école se révèle chaque année de plus en plus catastrophique, le rapport Pisa (publié par l’OCDE) épinglait la France cette année encore… Mais le Ministre refuse de concentrer l’école sur son rôle premier d’instruction pour continuer à se substituer aux parents en matière d’éducation…

Ce n’est pas comme ça qu’ils feront cesser la grogne de ces parents inquiets…

La Mairie de Paris aux couleurs LGBT !

Mairie de Paris LGBTAnne Hidalgo, à l’instar de sa famille politique, n’en finit pas de choyer une infime minorité de militants LGBT aux revendications incessantes et à la propagande destructrice, pendant que Paris se tiermondise à une vitesse effrayante.

Anne Hidalgo a décidé de « décorer » la Mairie de Paris aux couleurs LGBT pour « fêter » les « fiertés ». Comprendre la fierté des homosexuels, lesbiennes, bi, trans… qui défilent demain à Paris lors de la GayPride annuelle.

Une question se pose : fierté de quoi ? Les militants LGBT n’ont eu de cesse de répéter qu’ils ne pouvaient rien à leur sexualité pendant l’absence de débat qui a précédé le vote de la loi Taubira. Or l’on est fier de ce que l’on a accomplit.

S’ils n’y peuvent rien, il n’y a pas de quoi être fier. Personne n’est fier d’être « homme » ou « femme ».

Fierté de quoi, donc ? La vérité c’est que c’est précisément pour ces quelques militants un choix, celui de la propagande homosexualiste largement relayée par le gouvernement et ses chiens de garde.

Ils sont fiers de ce qu’ils appellent le « progrès », et qui consiste à détruire la famille, à priver des enfants de mère ou de père, à réduire toute personne à sa seule sexualité, à encourager une sexualité désorientée…

Anne Hidalgo donnait une interview à Yagg pour expliquer ce choix et rappeler « son engagement auprès de la communauté LGBT ».  

Il y a quelques jours, les Parisiens apprenaient qu’Anne Hidalgo devait trouver 400 millions d’euros pour boucler son budget 2015. En attendant, leurs impôts continuent à alimenter la propagande d’Etat et satisfaire quelques capricieux qui ne représentent qu’eux-mêmes, et auprès de qui le Maire de Paris affirme avoir des « engagements ».

Anne Hidalgo voudrait créer de l’homophobie, elle ne s’y prendrait pas autrement.