La Mairie de Paris fait travailler ses employés sur des affiches anti-Hidalgo

Depuis quelques jours à Paris, des affiches d’opposition à Anne Hidalgo (candidate PS aux municipales) sont apposées ça et là.

Les services de nettoyage n’ont pas tardé à réagir et, alors que les affiches en tout genre pullulent, ont fait passer une note disant :

« Merci aux divisions d’engager des tournées de surveillance et de procéder dans les meilleurs délais aux signalements des sites concernés [par ces affiches mettant en cause à Anne Hidalgo »] à la circonscription fonctionnelle afin que les équipes de désaffichage puissent intervenir ».

Source LaLabEurope1

Aide pour une liste patriote à Asnières

Un lecteur nous informe qu’il n’y a pas de liste patriotique prévue à Asnières-sur-Seine (92) pour les prochaines municipales, et qu’il essaie d’en monter une.
Il a réussi l’exploit de trouver la presque totalité de la cinquantaine de participants à sa liste autonome d’union patriotique, mais il lui manque encore 2 ou 3 noms d’hommes (parité oblige…).

Nous relayons volontiers sa demande et si votre carte d’électeur ou une facture vous relie à la ville d’Asnières, n’hésitez pas à le contacter très rapidement à h.massol@laposte.net

Inauguration d’une rue Mouloud Aounit, dans Aubervilliers occupée

En hommage à Mouloud Aounit, la municipalité d’Aubervilliers a décidé de donner son nom à la voie reliant les rues Schæffer et Crèvecoeur. Cette inauguration a eu lieu le 15 février 2014 en présence de la famille de Mouloud Aounit, du maire Jacques Salvator (PS), de la 1ère adjointe Evelyne Yonnet, et de personnalités dont « Monseigneur » Gaillot.

Aubervilliers est un bon symbole de la colonisation de la France, à laquelle a travaillé Aounit.

Pour rappel, ce dernier a dirigé pendant 20 ans le MRAP (« Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples »), une officine « antiraciste » et crypto-communiste qui a pour but d’éradiquer toute forme de résistance à la destruction de la France française, en multipliant les procès. Comme « SOS-Racisme ».

Communiste, Aounit n’a jamais vraiment travaillé : ayant poursuivi des études jusqu’à tard, il est devenu permanent associatif du MRAP et se payait avec l’argent extorqué aux Français résistants, dans les tribunaux, ou grâce aux subventions.

Victime – contre toute attente – d’une tumeur au cerveau, il a passé l’arme à gauche en août 2012 et les médias avaient sorti les mouchoirs pour cette belle figure de citoyen républicain.
Naturellement, il avait été promu chevalier de l’ordre national du Mérite (sic) puis chevalier de la Légion d’honneur (sic).

« La mairie de Kiev contrôlée par l’extrême-droite »

pianisteDes militants, notamment de « Secteur droit », contrôlent toujours la mairie de la capitale ukrainienne, alors que le pays semble encore largement désorganisé.

Des journalistes gauchistes de France 2 (pardon pour le pléonasme) y font un véritable voyage en enfer et n’en croient pas leurs yeux.
Il est vrai qu’il y a un côté un peu surréaliste.

A quand la même chose à la mairie de Paris ?
Le talentueux pianiste ferait-il une tournée ?

Ouganda : un pays à contre-courant

Le président ougandais Yoweri Museveni a promulgué lundi cette loi qui durcit la pénalisation de l’homosexualité et qu’il avait un temps renoncé à signer (à cause des pressions de l’Occident). Une décision qui a bien sûr provoqué des réactions politico-médiatiques très négatives à travers le monde.

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a demandé aujourd’hui « au gouvernement ougandais d’amender ou de supprimer dès que possible sa loi réprimant l’homosexualité ».

Le ministre de l’Ethique et de l’intégrité Simon Lokodo a ajouté qu’il préférait «être pauvre qu’immoral»: «nous n’avons que faire de perdre le soutien financier de nos partenaires commerciaux. Les Ougandais préfèrent mourir pauvres plutôt que de vivre dans un pays immoral».

Les relations homosexuelles sont déjà passibles de la prison à vie en Ouganda. Mais la nouvelle législation, adoptée mi-décembre par le Parlement, interdit notamment toute « promotion » de l’homosexualité et rend obligatoire la dénonciation de quiconque l’étant.

Les dispositions les plus controversées, prévoyant la peine de mort en cas de récidive ou de rapport avec un mineur ou en se sachant porteur du virus du sida ont toutefois été abandonnées.

Les politiques ougandais ne veulent pas que ce pays, majoritairement catholique, ne ressemble à l’Occident dégénéré.

L’Afrique a-t-elle dépassé l’Occident en termes de (vraie) civilisation ?

Angleterre : meurtre antiblanc dans la rue, filmé

La video vient de sortir et le drame s’est produit en novembre, à Charminster.

Ce jour-là, Andrew Young, 40 ans, échange quelques mots avec un cycliste africain qui roulait sur le trottoir et arrivait face à lui. M. Young signalant au cycliste qu’il trouvait cela dangereux. Après ce bref moment, le cycliste reprend son chemin, sur le trottoir.
C’est alors qu’un ami du cycliste, africain lui aussi, assène par surprise un violent coup de poing au visage d’Andrew Young, probablement mû par une haine instinctive…
Le crâne d’Andrew Young va heurter le bitume lourdement, et il décèdera dans les jours suivants. Son agresseur ne s’est même pas retourné.
Il n’a été condamné qu’à 4 ans de prison, qu’il ne fera probablement pas entièrement.

Video de l’agression ci-dessous (images pouvant heurter la sensibilité de certains) :
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Ukraine, un point en bref

\bullet Le président déchu Viktor Ianoukovitch reste introuvable. Il aurait déjà tenté en vain de s’envoler vers la Russie, et l’on suppose qu’il se cache dans une région russophone  de l’Est ou du Sud de l’Ukraine (il a été vu pour la dernière fois en Crimée). Le nouveau ministère de l’Intérieur a émis un mandat d’arrêt à son encontre – il est donc théoriquement recherché – pour « meurtre de masse ».

\bullet Probablement occupée par les Jeux Olympiques, Moscou semble avoir été prise de court par l’accélération des événements et par la fuite du président. « Sonnée, la Russie prend acte de l’impensable. En témoigne le ton des présentateurs des principales chaînes de télévision, sous contrôle de l’État: après avoir vilipendé à longueur d’antenne les «nazis» du Maïdan, les voici à court d’arguments. Bafouilles et hésitations se multiplient, signe que la ligne éditoriale n’est pas fixée. »  (source)

\bullet L’ancien premier ministre et rivale de Ianoukovitch, Ioulia Timoshenko, une oligarque libérale réputée pro-Occident, est hélas en bonne position pour prendre sa suite. Un choix dont s’accommoderait bien le Kremlin ! Eh oui ! En 2009, quand il a fallu renégocier les contrats gaziers, elle s’est très bien entendue avec Vladimir Pou­tine. « Timochenko convient aussi bien à Vladimir Poutine qu’à l’Union européenne. Récemment, Poutine a redit publiquement qu’il avait très bien travaillé avec le gouvernement Timochenko. Dans son langage, cela signifie qu’il est prêt à recommencer si elle donne des garanties », assure Alexeï Venediktov, rédacteur en chef de la radio Échos de Moscou.

\bullet Côté nationaliste, Oleg Tyagnibok, président du parti nationaliste Svoboda, espère récolter les fruits de la mobilisation de son parti – élément essentiel de la contestation de ces derniers mois – lors des prochaines élections, qu’il envisage dans le cadre d’une coalition électorale large.
Les activistes nationalistes de « Secteur droit », s’ils n’entendent pour l’heure pas participer aux élections, souhaitent que la révolution continue.

\bullet Des statues de Lénine ont été (enfin !) abattues à travers le pays (comme sur la video ci-contre), de même que des locaux du Parti communiste ukrainien ont été attaqués comme ci-dessous ; la lutte contre le régime de Ianoukovitch étant aussi envisagée comme un combat contre le soviétisme…

Ukraine : attention à l’intox

Les partisans du régime désormais déchu de Ianoukovytch privilégient une stratégie de diabolisation, face aux révolutionnaires de Maïdan.
Le puissant parti nationaliste Svoboda a particulièrement droit à ce type de rhétorique s’embarrassant peu de réalité historique.
Le Kremlin, sans surprise, taxe incessamment les nationalistes ukrainiens d’horribles antisémites, d’affreux fascistes,  d’ignobles néo-nazis.
On s’étonnera davantage que de nombreux sites, blogs ou émissions patriotiques françaises reprennent cette argumentation  à base d’amalgame, de déformation ou de nets mensonges, dont la droite nationaliste française a elle-même été longtemps (et est toujours) victime.
Il ne faudra plus qu’ils se plaignent de subir la diabolisation/nazification après l’avoir utilisée sans vergogne à l’encontre des nationalistes ukrainiens…
Quoique l’on pense du bien-fondé de l’engagement des nationalistes ukrainiens, qui ont été le fer de lance de la « révolution » place Maïdan, il faudrait utiliser, pour discuter de ce sujet qui a divisé les patriotes français, des moyens honnêtes.

On rappelera donc ici que le parti Svoboda ne s’est jamais appelé Parti national-socialiste ukrainien, mais Parti social-national d’Ukraine (SNPU), en écho avec le nationalisme historique local.

On s’affligera aussi qu’ait été largement repris dans nos milieux un montage photo – en dépit de son énormité – montrant un portrait géant d’Hitler affiché sur la mairie de Kiev par les manifestants.

Quelle naïveté pour reprendre telle quelle une telle image, sans vérification…

Il s’agissait en réalité d’un portrait de Stepan Bandera, figure historique du nationalisme ukrainien et de l’indépendance de ce pays :

De quoi Hollande a-t-il peur ?

C’est samedi dernier que s’inaugurait le 51ème salon de l’agriculture, porte de Versailles. Les conclusions de la presse sont unanimes, ce rendez -vous fut étonnamment calme, et pour cause:
« Sauf que cette fois, le risque était limité, tant la visite était encadrée. Par ses services de sécurité d’abord, extrêmement présents autour de lui, par son programme ensuite, très bordé et ne lui laissant que peu de place pour improviser comme il aime d’ordinaire le faire. Le passage dans le hall des bovins s’est effectué avant l’ouverture du salon au public, sans que François Hollande y retourne par la suite. Puis le président s’est rendu dans le hall 4, plutôt réservé aux exposants institutionnels où il s’est enfermé un long moment avec des organisations professionnelles pour un petit déjeuner à huis clos.