A lire et à faire lire : « Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide »

Alors que nous commémorions hier la mort du lieutenant-colonel Jean Bastien-Thiry, rappelons la sortie, il y a quelques mois, d’un petit livre à lire.

Sous la plume de l’abbé Rioult, il s’agit d’une excellente étude historique et morale, appuyée sur la doctrine de Saint Thomas d’Aquin concernant le « tyrannicide », à propos de l’action de ce militaire chrétien.
Était-elle morale ? Bien sûr…

Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, aspect moral d’un acte politique. 62 pages, 8 €. Editions des Cimes. Disponible ici.

4e de couverture :

« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif.
Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre du général De Gaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?
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Salaires oligarchiques : Dominique de Villepin payé (avec nos impôts) 100 000 € la journée de travail

L’ancien Premier ministre Dominique de Villepin aurait touché 100 000 euros grâce à un jour de travail au ministère des Affaires étrangères, selon The Telegraph.

Après 20 ans d’absence dans ce ministère, il est revenu « travailler » une journée, en septembre dernier.

Cette somme de 100 000 euros correspondrait à sa retraite de haut fonctionnaire, dont il n’aurait pu bénéficier dans sa totalité sans ce jour supplémentaire, selon le quotidien The Telegraph qui a publié cette information mardi soir.

Villepin (fondateur d’un club nommé « République solidaire » [sic]) aurait pour cela passé un accord avec l’actuel ministre Laurent Fabius.

Pauvreté ne coïncide pas avec délinquance

A gauche : répartition géographique de la misère en France, à droite : répartition de la délinquance.

Pour justifier l’extrême délinquance de la Seine-Saint-Denis ou de Marseille, on nous présente toujours la misère comme unique responsable.

Il suffit de jeter un œil sur la carte ci dessous pour voir que la raison de la délinquance est à chercher ailleurs.

Source

Douai : un élu communiste tabassé par « des gens de la cité »

Extrait d’un article savoureux paru dans la Voix du Nord :

« Gérard Delhaye est élu, adjoint aux affaires sociales à la mairie d’Auby, pas boxeur. Pourtant, à voir sa tête, on jurerait qu’il a été compté par l’arbitre sur un ring. Outre le pansement posé sur neuf points de suture qui lui barre le front, le sexagénaire a les deux yeux au beurre noir. Et la tête comme un compteur à gaz. […]

« Je suppose qu’ils devaient me connaître car ils ont cité mon nom : Delhaye, bâtard, branleur d’élu », raconte l’élu sortant, candidat sur la liste « Unis pour Auby » conduite par le maire Freddy Kaczmarek. Faut-il y voir un rapport direct avec son mandat ? Gérard Delhaye s’interdit toute conclusion hâtive [sic !]. Tout juste se permet-il de dire qu’« ils doivent être de la cité » du Bon-Air. »

Pédophilie sur internet : l’explosion des chiffres – par Laurent Glauzy

Il y a dix ans, dans l’article Pedofilia on line raddoppiata negli ultimi due anni, (La pédophilie sur Internet a doublé ces deux dernières années), la journaliste italienne Mariangela Berretti menant la lutte contre la pédophilie, montrait déjà l’incroyable explosion des sites pédopornographiques sur Internet. La « toile » allait rapidement devenir un support idéal pour la propagation de la perversité.

En 2004, ils atteignaient à l’échelle mondiale le triste chiffre de 19 246. Ces statistiques sont en constante progression. Car, en 2003, 17 016 sites pédopornographiques étaient déjà dénombrés, contre 9 989 en 2002. Entre 2003 et 2004, la croissance enregistrée est donc de 92,67 %. En Italie, en 2004, 89 sites pédophiles étaient dénombrés, contre environ dix mille aux États-Unis.

Cette augmentation exponentielle est également observée quant au nombre de visiteurs de ces sites. L’Italie se trouve parmi les dix principaux pays abritant des sites signalés comme pédo-criminels.

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Un jeune dissident lourdement condamné

La nouvelle est tombée ce matin : Maxime, lyonnais de 24 ans, apprenti frigoriste, a été condamné en appel à une peine incompréhensible pour avoir prétendument agressé un policier (qui s’est vu octroyer…. aucun jour d’ITT !) et une journaliste d’extrême-gauche (6 jours d’ITT).
Le parquet avait fait appel du jugement en première instance, le trouvant trop clément.

Une peine évidemment sans aucun rapport avec celles dont écope la racaille pour des faits plus graves.

Source

Rappel à Dieu d’Olivier Grimaldi

Olivier GrimaldiMise-à-jour : les obsèques d’Olivier Grimaldi seront célébrés en l’église Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins à Paris (Ve arrt), jeudi 13 mars à 10 h 30.

Olivier Grimaldi est décédé ce dimanche 9 mars.
Ce militant nationaliste français était né en 1953 à Alger.

Il présidait, dans une optique unitaire, le Cercle franco-hispanique depuis la création de celui-ci en 1982.
Il avait auparavant milité notamment à Ordre Nouveau et au Parti des forces nouvelles.

Le Cercle franco-hispanique diffusait au sein de la droite nationale et nationaliste française les idées de José Antonio Primo de Rivera ainsi que des informations sur la droite franquiste en Espagne, notamment via un bulletin d’informations trimestriel, La Lettre des amitiés franco espagnoles.

Catholique traditionaliste, Olivier Grimaldi a rendu son âme à Dieu entouré des siens, après deux ans d’une âpre lutte contre la maladie.

Requiescat in pace !

Olivier Grimaldi lors d’un banquet en Espagne (à sa droite, Léon Degrelle)

Charleroi : les parents non musulmans n’osent plus mettre de bonbons dans les sacs des enfants

« C’est le quotidien d’une petite école du nord de Charleroi [Wallonie – NDCI], au sein de laquelle la majorité des écoliers sont musulmans. Il n’est plus question, pour les parents, de préparer des tartines au jambon pour leur enfant, ni même… de glisser un bonbon dans la boîte à tartine. Les témoignages de ce genre affluent.

Les repas servis à la cantine de cette école sont halal. Cela ne surprend plus, car c’est devenu la règle dans les écoles à majorité musulmane. Plus grave, les bonbons semblent désormais également interdits. Et la raison n’est pas qu’ils favorisent les caries.

« Les enfants doivent manger leurs bonbons en cachette, sinon les remarques tombent. La raison ? Il y a de la gelatine dans les confiseries, ce qui n’est pas halal », déplore Laurence, prénom d’emprunt, une maman sous le coup de l’indignation.

« Mon fils vit dans son monde, donc il ne se laisse pas intimider, mais d’autres enfants n’en mangent plus. Ils reçoivent des remarques de leurs copains de classe. Leurs parents n’osent tout simplement plus en mettre dans la boîte à tartine », poursuit-elle. Des témoignages de cette nature sont de plus en plus fréquents.

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La maîtresse de Hollande dans un clip anticatholique et antiblanc

Très bon commentaire vu sur le site du Renouveau français :

gayet

« Pour la « Journée de la femme », des féministes ont produit une brève vidéo dénonçant les mariages forcés de fillettes.
Pourquoi pas.
Mais dans notre pays, ce phénomène ne concerne pas les Français, contrairement à une partie de la population immigrée.
Dans le monde, il est quasi-uniquement le fait de non-catholiques et de non-Blancs.

Or dans ce clip au contenu indigent (où la mère de famille est interprétée par Julie Gayet, la nouvelle première maîtresse de François Hollande, qui apparaît pour une fois habillée), on ne voit que des Blancs !
Les quotas ethniques en usage aujourd’hui devant la caméra ne doivent-ils être employés que pour montrer les étrangers sous un jour aimable ?

Il est ici présenté une famille française bourgeoise et catholique (avec une grande image du Christ dans son appartement, mais qui célèbre le mariage à la mairie : pas très crédible) qui livre une fillette à un vieil homme.

Un tel décalage (cette inversion même) par rapport à la réalité constitue une odieuse offense aux Français, qui sont encore une fois stigmatisés pour des comportements dont ils ne sont nullement coupables, si ce n’est d’avoir laissé entrer chez eux quinze millions d’immigrés.

Qui est la cible de ce court-métrage surréaliste ? Qui veut-on convaincre ?

Il faut rappeler que l’Occident fut pionnier dans le domaine de la liberté du mariage, l’Eglise ayant imposé la nécessité du consentement des époux pour qu’un mariage soit valide.

On notera aussi l’incohérence de ces donneurs de leçons de l’oligarchie politico-médiatique qui affirment (comme en fin du clip) que « les petites filles ne sont pas des femmes », alors que notre société de vulgarité et de pornographie s’évertue à tuer l’innocence des jeunes et à vêtir (ou plutôt « dévêtir ») les fillettes comme des femmes, en sexualisant leur apparence et leur comportement dès le plus jeune âge.

Stéphane Jarret »

Il refuse de donner un euro dans la rue et reçoit un coup de couteau au visage

Un « fait divers » révélateur de l’insécurité croissante de la « France d’après », et qui peut arriver à chacun d’entre nous.

« Violente agression hier matin à la sortie d’un bureau de tabac situé avenue de la Vénus-d’Arles dans les cités de la Rocade à Avignon. Un homme de 78 ans est abordé par un individu qui lui demande un euro.

Refusant de lui donner une pièce, l’individu lui porte un coup de lame de cutter ou de couteau au visage.
La victime a été secourue par les passants et transportée à l’hôpital. Il s’en tire avec six jours d’ITT et neuf points de suture. Une enquête est ouverte. » d’après Le Dauphiné, qui n’a pas précisé l’apparence de l’agresseur.