Angleterre : une banderole « les vies blanches comptent » créé la polémique, son auteur licencié (ainsi que son amie) !

Un avion tirant une banderole « White Lives Matter Burnley » (« les vies des Blancs comptent »), en écho au slogan à la mode «Black Lives Matter», a survolé le stade de Manchester City au tout début du match contre la ville de Burnley, lundi.

Quelques minutes après que les deux équipes, leur personnel et les arbitres ont posé genou à terre en hommage au mouvement « antiraciste » (c’est-à-dire antiblanc), l’avion a fait quelques tours dans le ciel avant de s’éloigner.

Bref, rien de méchant et rien de choquant.
Sauf pour l’extrême-gauche et les immigrés anti-blancs.
Les gros merdias, dans la même optique qu’eux, osent écrire (en reprenant l’AFP) que la banderole était « raciste » ou même « suprémaciste » pour certains des torchons les plus cosmopolites :

Ces propagandistes sont prêts à travestir totalement la langue française pour faire avancer leurs idées répugnantes.

Il faut dire « Les vies noires comptent », mais si vous dites « les vies blanches comptent », vous êtes raciste (alors qu’en Europe les victimes de crimes racistes sont presque toujours des Blancs).
En faut-il plus pour comprendre la vraie nature de cet « antiracisme » ?

Ça ne s’arrête pas là : la terreur politico-médiatique sévissant en Grande-Bretagne a fait perdre son emploi au jeune Anglais courageux et taquin à l’origine de cette action de communication…
Et même, bien qu’elle n’ait rien à voir avec l’affaire, à la jeune fille qu’il fréquente !!

Jake Hepple, à l’origine de la banderole polémique «White lives matter» apparue dans le ciel avant le match de foot entre Manchester City et Burnley lundi soir, et sa copine, ont tous les deux été licenciés par leur employeur respectif.

La société Paradigm Precision, qui employait le jeune homme de 24 ans en tant que soudeur, a indiqué «ne tolérer le racisme sous aucune forme». Quant à Megan Rambadt, 21 ans, elle a fondu en larmes en apprenant son licenciement du salon de beauté qui l’employait.

Au coeur de la polémique, Jake Hepple s’est défendu d’être raciste, expliquant ne pas avoir voulu choquer la communauté noire mais plutôt montrer «que les vies des blancs étaient tout aussi importantes».  (source)